« Benzodiazépines, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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Dans les années qui suivirent, d'autres benzodiazépines furent commercialisées telles que le clorazépate (Tranxène), le lorazépam (Témesta), l'oxazépam (Seresta) ou encore le bromazépam (Lexomil). Des comportements impulsifs, par exemple, le chapardage ou autres infractions à la loi, font également partie des réactions « paradoxales » aux benzodiazépines, elles ont été répertoriées dans la littérature médicale au début des années 1960, lors de l'arrivée des premiers benzodiazépines. Ces nouveaux groupes de médicaments ont fait grandir l'optimisme dans la profession clinique, mais ont rapidement suggéré quelques controverses ; en particulier, le risque de dépendance, qui a été perçu durant les années 1980.
Dans les années qui suivirent, d'autres benzodiazépines furent commercialisées telles que le clorazépate (Tranxène), le lorazépam (Témesta), l'oxazépam (Seresta) ou encore le bromazépam (Lexomil). Des comportements impulsifs, par exemple, le chapardage ou autres infractions à la loi, font également partie des réactions « paradoxales » aux benzodiazépines, elles ont été répertoriées dans la littérature médicale au début des années 1960, lors de l'arrivée des premiers benzodiazépines. Ces nouveaux groupes de médicaments ont fait grandir l'optimisme dans la profession clinique, mais ont rapidement suggéré quelques controverses ; en particulier, le risque de dépendance, qui a été perçu durant les années 1980.


Leur usage a vite concurrencé celui des barbituriques pour rendre ceux-ci obsolètes, car ces derniers, plus toxiques, provoquaient des dépendances associées à des effets indésirables dangereux, avec risque de surdose important. Aujourd'hui, les barbituriques ne sont plus que marginalement prescrits dans un but anxiolytique ou hypnotique (bien qu'ils restent très utilisés en anesthésie notamment) car le corps médical leur préfère les benzodiazépines qui sont plus maniables que les barbituriques même si un patient en abuse, il y a vraiment moins de risques de faire une overdose.
Leur usage a vite concurrencé celui des barbituriques pour rendre ceux-ci obsolètes, car ces derniers, plus toxiques, provoquaient des dépendances associées à des effets indésirables dangereux, avec un risque de surdose mortelle important. Aujourd'hui, les barbituriques ne sont plus que marginalement prescrits dans un but anxiolytique ou hypnotique, ils restent quelques fois utilisés pour le traitement de l'épilepsie.
Le corps médical leur préfère les benzodiazépines, plus maniables que les barbituriques et ce même si un patient en abuse, il y a vraiment moins de risques de faire une overdose mortelle .


Concernant les traitements contre l'insomnie, les benzodiazépines sont devenues moins utilisés que les imizopyridines et les cyclopyrrolones (molécule non benzodiazépiniques bien que structuralement proches des benzodiazépines: ce qui inclut le zolpidem (Stilnox) et le zopiclone (Imovane), appelés plus communément les Zdrugs.
Concernant les traitements contre l'insomnie, les benzodiazépines sont devenues moins utilisés que les imizopyridines et les cyclopyrrolones (molécule non benzodiazépiniques bien que structuralement proches des benzodiazépines: ce qui inclut le zolpidem (Stilnox) et le zopiclone (Imovane), appelés plus communément les Zdrugs.
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