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La codéine a souvent été présentée comme moins addictive que les opiacés de niveau III, mais il devient de plus en plus évident qu'il existe une population non négligeable d'usagers addicts à la codéine.
La codéine a souvent été présentée comme moins addictive que les opiacés de niveau III, mais il devient de plus en plus évident qu'il existe une population non négligeable d'usagers addicts à la codéine.
Il existe deux grands groupes d'utilisateurs « abusifs » de la codéine et du tramadol,
Il existe deux grands groupes d'utilisateurs « abusifs » de la codéine  
ceux qui ont utilisé ces produits pour des douleurs et qui continuent la consommation malgré la disparition ou la diminution des douleurs (ou qui devant la persistance des douleurs augmentent les doses, parfois largement au-delà des doses « officielles »), Ce groupe peut comprendre des usagers qui ne se voient pas du tout comme « addictés », par exemple des personnes âgées qui prennent un traitement continu pour des douleurs « banales ». Toutefois elles sont relativement plus sensibles aux effets secondaires et sont liées à leur traitement par l'apparition d'un syndrome de sevrage et du retour de la douleur, si elles essaient d'arrêter le traitement.  
 
ceux qui ont un passé de toxicomanie aux opiacés et utilisent ces produits comme substituts d'autres opiacés. Le neocodion, notamment,  reste assez largement utilisé comme autoTSO (Traitement de substitution aux opiacés).[http://www.psychoactif.fr/psychowiki/index.php?title=Usage,_abus_et_addiction_%C3%A0_la_cod%C3%A9ine_et_au_tramado]l
'''ceux qui ont utilisé ces produits pour des douleurs''' et qui continuent la consommation malgré la disparition ou la diminution des douleurs (ou qui devant la persistance des douleurs augmentent les doses, parfois largement au-delà des doses « officielles »), Ce groupe peut comprendre des usagers qui ne se voient pas du tout comme « addictés », par exemple des personnes âgées qui prennent un traitement continu pour des douleurs « banales ». Toutefois elles sont relativement plus sensibles aux effets secondaires et sont liées à leur traitement par l'apparition d'un syndrome de sevrage et du retour de la douleur, si elles essaient d'arrêter le traitement.  
 
'''ceux qui ont un passé de toxicomanie aux opiacés''' et utilisent ces produits comme substituts d'autres opiacés. Le neocodion, notamment,  reste assez largement utilisé comme autoTSO (Traitement de substitution aux opiacés).[http://www.psychoactif.fr/psychowiki/index.php?title=Usage,_abus_et_addiction_%C3%A0_la_cod%C3%A9ine_et_au_tramado]l
[http://www.psychoactif.fr/psychowiki/index.php?title=La_cod%C3%A9ine,_une_soupape_de_s%C3%A9curit%C3%A9]
[http://www.psychoactif.fr/psychowiki/index.php?title=La_cod%C3%A9ine,_une_soupape_de_s%C3%A9curit%C3%A9]