« Codéine et tramadol, l'héroïne de monsieur et madame tout le monde » : différence entre les versions

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Nous avons ainsi voulu parler aujourd'hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés avec ces substances sur  le [http://www.psychoactif.org forum Psychoactif] d'où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
Nous avons ainsi voulu parler aujourd'hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlent de leurs difficultés avec ces substances sur  le [http://www.psychoactif.org forum Psychoactif] d'où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).


Depuis 2007, la consommation du tramadol a augmenté de 36,2 % et de 76,4% en association avec le paracétamol. Celle de codéine associée au même paracétamol a augmenté de 96,6%. L'interdiction du dextropropoxyphène, le médicament le plus remboursé en France en 2007 avec 7,4 millions de boîtes prescrites (Di-Antalvic® ou le Propofan®) n'y est pas étrangère, poussant dès 2009 l’Agence National du Médicament a en renforcer la surveillance par un suivi national de pharmacovigilance et d’addictovigilance. Car le tramadol et la codéine, lorsqu'ils sont utilisés hors de l’indication d’origine, peuvent induire des effets secondaires et addictions sévères.
Depuis 2007, la consommation du tramadol a augmenté de 36,2 % et de 76,4% en association avec le paracétamol. Celle de codéine associée au même paracétamol a augmenté de 96,6%. L'interdiction du dextropropoxyphène, le médicament le plus remboursé en France en 2007 avec 7,4 millions de boîtes prescrites (Di-Antalvic® ou le Propofan®) n'y est pas étrangère, poussant dès 2009 l’Agence National du Médicament a en renforcer la surveillance par un suivi national de pharmacovigilance et d’addictovigilance. Car le tramadol et la codéine, lorsqu'ils sont utilisés hors de l’indication d’origine, peuvent induire des effets secondaires et addictions sévères.
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