« Etizolam, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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{{Citation|blablaboss|https://www.psychoactif.org/forum/2019/01/22/ETIZOLAM-apres_41259_1.html|Suite à une prise consécutive d'étizolam de 12 mg pendant 5 jours chaque soir à raison de 2-3 mg par soir fin décembre, j'ai vécu une semaine horrible juste après la derniere prise, avec des symptomes typiques sevrages (DP/DR, gouts metalliques dans la bouche, beaucoup plus de reves...) qui a duré 4-5 jours. }}
{{Citation|blablaboss|https://www.psychoactif.org/forum/2019/01/22/ETIZOLAM-apres_41259_1.html|Suite à une prise consécutive d'étizolam de 12 mg pendant 5 jours chaque soir à raison de 2-3 mg par soir fin décembre, j'ai vécu une semaine horrible juste après la derniere prise, avec des symptomes typiques sevrages (DP/DR, gouts metalliques dans la bouche, beaucoup plus de reves...) qui a duré 4-5 jours. }}


{{Citation|L'Alchimiste|https://www.psychoactif.org/forum/t10781-p1-Les-Etizolam-sont-pas-M-Ms.html#divx|Et là  commence à  se refermer le piège. Depuis 3 ans que je consomme des RCs à  balle, je prends quasiment chaque week-end ces petites pilules bleues.


Quand je me contente d’une seule grosse soirée par semaine, je trouve que les Etizolam sont salvateurs, car ils me permettent de me coucher plus tôt, de mieux dormir et d’être quasi clean le lendemain.
Là  où le bas blesse, c’est quand j’abuse de stimulants plusieurs jours d’affilée, car j’ai tendance non seulement à  prendre des etizolam à  la fin de chaque session, mais aussi sur toute la durée de mon kiff, histoire de limiter les down (qui arrivent quand tu consommes à  fond sur plusieurs jours). Mes consommations de 3-MMC et d’etizolam sont devenues liées. Sur un gros week-end, je peux m’envoyer jusqu’à  6 ou 8 pilules.
Pire encore, je viens de remarquer que les sensations (que j’assimile maintanant au manque) que je ressens les jours qui suivent sont davantage dues au manque de théniodiazépine (la famille à  laquelle appartient l’etizolam) que de 3-MMC.
Je vous donne un exemple : les nuits qui suivent une grosse session 3-MMC/Etizolam, j’ai de grosses suées nocturnes. C’est dingue, je trempe littéralement mon lit et mes draps. Je transpire tellement que ça réveille ma copine (pas  glam, I know ;-) ). Je suis obligé de me réveiller et d’aller me sécher avec une serviette.
Or, j’ai aussi remarqué que quand je prenais uniquement des stim sans etizolam, je n’avais pas ces suées.
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A priori les benzos à demie-vie longue sont choisis pour un sevrage degressif.
A priori les benzos à demie-vie longue sont choisis pour un sevrage degressif.
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