« PAWS, le syndrome prolongé de sevrage » : différence entre les versions

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Notamment l'inutilité des AD, la nécessité de prendre du temps et de se protéger, l'utilité de l'exercice physique sont des notions qui appartiennent aux deux mondes.
Notamment l'inutilité des AD, la nécessité de prendre du temps et de se protéger, l'utilité de l'exercice physique sont des notions qui appartiennent aux deux mondes.


Toutefois, bien entendu, il ne faut pas oublier que les produits exercent également un effet sur ce système neuro-immuno-endocrine et que cela entraîne des spécificités.
Toutefois, bien entendu, il ne faut pas oublier que les produits exercent également un effet sur ce système neuro-immuno-endocrine et que cela entraîne des spécificités.  


Pour les opiacés c'est probablement en faveur de la prescription prolongée d'opiacés à petites doses (TSO) , pour l'alcool cela peut expliquer l'effet positif de l'Acamprosate (Aotal) et peut être du Baclofène.
Notamment pour les opiacés, une hyperalgésie prolongée après sevrage a été décrite et pourrait être à l'origine des symptomes spécifiques du post sevrage aux opiacés.
 
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3209757/
 
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11356895
 
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16115745
 
Pour les opiacés c'est probablement en faveur de la prescription prolongée d'opiacés à petites doses (TSO, Méthadone 5 mg par jour ou Subutex 1 mg/j pendant des mois ou des années par exemple)).
 
Pour l'alcool cela peut expliquer l'effet positif de l'Acamprosate (Aotal) et peut être du Baclofène.


Il faut espérer que des études ultérieures viennent modifier rapidement cette conclusion provisoire et apporter des réponses à une problématique qui concerne probablement des centaines de milliers de personnes en France.
Il faut espérer que des études ultérieures viennent modifier rapidement cette conclusion provisoire et apporter des réponses à une problématique qui concerne probablement des centaines de milliers de personnes en France.