« Pregabaline (Lyrica), effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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{{citation|Mik13|https://www.psychoactif.org|Je tiens à  dire que pour moi le Lyrica est juste INCROYABLE pour arrêter les opiacés. Je me l'était fait prescrire pour arrêter les Benzos, mais aucun effet. Par contre, surprise, j'ai arrêté la méta à  la dure : disparition totale des impatiences dans les jambes et des sueurs froides. Mais comme un con au bout de 3 jours je me suis laissé convaincre qu'un sevrage sec n'était pas une bonne idée. Je m'en mors les doigts.}}
{{citation|Mik13|https://www.psychoactif.org|Je tiens à  dire que pour moi le Lyrica est juste INCROYABLE pour arrêter les opiacés. Je me l'était fait prescrire pour arrêter les Benzos, mais aucun effet. Par contre, surprise, j'ai arrêté la méta à  la dure : disparition totale des impatiences dans les jambes et des sueurs froides. Mais comme un con au bout de 3 jours je me suis laissé convaincre qu'un sevrage sec n'était pas une bonne idée. Je m'en mors les doigts.}}


La pregabaline est également efficace pour le syndrome des jambes sans repos provoqué par les sevrages d'opiacés.


{{Citation|Lilas24|https://www.psychoactif.org/forum/t34738-p1-Arret-Lyrica-Besoin-aide.html#divx|J'ai pris du lyrica pendant mon sevrage mais pas pour l'anxiété généralisé. C'était une coïncidence car en fait je l'ai pris à cause d'impatiences nocturnes dans les jambes qui étaient épouvantables arrivés à un certain point de mon sevrage (de codéine). Toutes les nuits, 6 à 7 heures de de décharges électriques dans les jambes, c'était franchement très difficile car je devais rester debout tant c'était désagréable (pas douloureux mais allongée ou assise, je devais gigoter frénétiquement les jambes pour que ça se calme un tout petit peu, alors que debout tout s'arrêtait).
{{Citation|Lilas24|https://www.psychoactif.org/forum/t34738-p1-Arret-Lyrica-Besoin-aide.html#divx|J'ai pris du lyrica pendant mon sevrage mais pas pour l'anxiété généralisé. C'était une coïncidence car en fait je l'ai pris à cause d'impatiences nocturnes dans les jambes qui étaient épouvantables arrivés à un certain point de mon sevrage (de codéine). Toutes les nuits, 6 à 7 heures de de décharges électriques dans les jambes, c'était franchement très difficile car je devais rester debout tant c'était désagréable (pas douloureux mais allongée ou assise, je devais gigoter frénétiquement les jambes pour que ça se calme un tout petit peu, alors que debout tout s'arrêtait).