« Codéine, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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10 mg de camphosulfonate de codéine (neocodion) = 6 mg de codéine base. (ainsi 1 cp de neocodion = 25 mg de sel mais 15 mg de codéine base)<ref>[http://www.institut-upsa-douleur.org/Protected/UserFiles/IgwsIudV5/Resources/Document/Livrets/institut-upsa-douleur-brochure-codeine-web.pdf]</ref>
10 mg de camphosulfonate de codéine (neocodion) = 6 mg de codéine base. (ainsi 1 cp de neocodion = 25 mg de sel mais 15 mg de codéine base)<ref>[http://www.institut-upsa-douleur.org/Protected/UserFiles/IgwsIudV5/Resources/Document/Livrets/institut-upsa-douleur-brochure-codeine-web.pdf]</ref>


'''Voies d'administration'''
La voie orale est de très loin la plus pratiquée.
Il existe des suppositoires à la codéine, dont l'effet serait un peu supérieur à celui de la voie orale. Mais cette forme ne se prête pas à un usage intensif.
Etant donné la nécessité d'un métabolisme hépatique en forme active, le sniff n'a aucun intérêt. Les témoignages d'expérimentateurs le confirment. De plus les comprimés habituels (notamment neocodion) ont un enrobage qui entraîne un résidu pâteux peu agréable.
La codéine existe en forme injectable dans les pays anglo-saxons. Toutefois l'injection intra-veineuse (IV) est particulièrement dangereuse car elle entraîne une histamino-libération massive avec choc et oedeme pulmonaire lésionnel. L'injection intra-musculaire ou sous-cutanée est pratiquée (avec des ampoules injectables de qualité pharmaceutique) mais elle n'a que peu d'intérêt si l'usager peut avaler (le seul "intérêt" est un gain de biodisponibilité d'environ 30%).
L'injection de codéine obtenue à partir des comprimés est fortement déconseillée. En IV elle peut entrainer la mort et en IM et SC des abcès aux points d'injection.


== Les effets recherchés==
== Les effets recherchés==

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