« Cocaine, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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==Le sevrage de cocaïne==
==Le sevrage de cocaïne==
A l’arrêt de la consommation, un syndrome de sevrage peut être observé. '''Les symptômes apparaissent quelques jours après l’arrêt de la cocaïne et peuvent persister pendant 1 à 10 semaines.''' Ils passent souvent inaperçus. Le sujet est fatigué pendant quelques jours et « récupère » par le simple repos. Rarement, il s’agit d’un état dépressif grave avec idées suicidaires nécessitant une hospitalisation.
A l’arrêt de la consommation chronique, un syndrome de sevrage peut être observé. '''Les symptômes apparaissent quelques jours après l’arrêt de la cocaïne et peuvent persister pendant 1 à 10 semaines.''' Le syndrome de sevrage à la cocaïne peut comprendre dysphorie, ralentissement psychomoteur, irritabilité, léthargie, asthénie, désintérêt sexuel, bradypsychie, altérations cognitives, baisse de l’estime de soi, hyperphagie, hypersomnie, bradycardie et des signes physiques non spécifiques (sueurs, tremblements, polyalgies, etc.). Rarement, il s’agit d’un état dépressif grave avec idées suicidaires nécessitant une hospitalisation.
 
{{Citation|Miatcp|https://www.psychoactif.org/forum/t1721-p1-Arreter-crack.html|Je sais que pour beaucoup, il y a pas de sevrage physique au crack. Moi, quand j'arrête, je suis épuisée et me sens en manque dans ma tête. C'est un sorte de sevrage, pas physique comme l'héro mais un sevrage psychologique...}}
{{Citation|Miatcp|https://www.psychoactif.org/forum/t1721-p1-Arreter-crack.html|Je sais que pour beaucoup, il y a pas de sevrage physique au crack. Moi, quand j'arrête, je suis épuisée et me sens en manque dans ma tête. C'est un sorte de sevrage, pas physique comme l'héro mais un sevrage psychologique...}}


Certains patients après le sevrage de la Cocaïne ont une prescription d'antidépresseurs (type IRS) qui ne semblent pas avoir d'effet sur le craving mais qui sont utiles pour le traitement de la dépression associée, si elle existe.
Certains patients après le sevrage de la Cocaïne ont une prescription d'antidépresseurs (type IRS) qui ne semblent pas avoir d'effet sur le craving mais qui sont utiles pour le traitement de la dépression associée, si elle existe.
{{Citation|baddog|https://www.psychoactif.org/forum/t1721-p1-Arreter-crack.html|J'ai été aussi salement accro au crack/caillou/base (pour moi c'est kif kif c'est de la cocaïne prête à fumer) et même après des mois d'arrêt quand ça me remontait dans la tête, c'était foutu fallait que j'aille pécho même si je devais des centaines de km pour ça. Ce qui m'a aidé, c'est déjà de déménager dans 1 coin paumé (j' habitais alors à Paris à coté de Stalingrad...) et puis comme je déprimais méchant mon doc m'a prescrit du zoloft et je dois que cet antidépresseur  m'a beaucoup aidé à me libérer de cette irrésistible envie de coke qui me pourrissait la vie, paske même à la campagne y'en a d'la coke.}}
{{Citation|baddog|https://www.psychoactif.org/forum/t1721-p1-Arreter-crack.html|J'ai été aussi salement accro au crack/caillou/base (pour moi c'est kif kif c'est de la cocaïne prête à fumer) et même après des mois d'arrêt quand ça me remontait dans la tête, c'était foutu fallait que j'aille pécho même si je devais des centaines de km pour ça. Ce qui m'a aidé, c'est déjà de déménager dans 1 coin paumé (j' habitais alors à Paris à coté de Stalingrad...) et puis comme je déprimais méchant mon doc m'a prescrit du zoloft et je dois que cet antidépresseur  m'a beaucoup aidé à me libérer de cette irrésistible envie de coke qui me pourrissait la vie, paske même à la campagne y'en a d'la coke.}}


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