« Usage, abus et addiction à la codéine et au tramadol » : différence entre les versions

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Cela fait maintenant une semaine que j'ai arrêté et je me sens beaucoup mieux et moins fatigué qu'avant. J'ai toujours des envies d'en reprendre, mais je suis motivé comme jamais pour ne jamais avoir a le faire.  J'ai également encore de légère impatiences le soir que je calme avec de l'euphytose.
Cela fait maintenant une semaine que j'ai arrêté et je me sens beaucoup mieux et moins fatigué qu'avant. J'ai toujours des envies d'en reprendre, mais je suis motivé comme jamais pour ne jamais avoir a le faire.  J'ai également encore de légère impatiences le soir que je calme avec de l'euphytose.
Au final, j'ai trouvé ce sevrage plus facile que ca à quoi je m'attendais. Et je suis plutot fier de moi a vrai dire tongue big_smile }}
Au final, j'ai trouvé ce sevrage plus facile que ca à quoi je m'attendais. Et je suis plutot fier de moi a vrai dire tongue big_smile }}
====PAWS====
Au sevrage aigu de la Codéine ou du Tramadol peut succéder une période de PAWS (Syndrome  prolongé de sevrage) qui peut durer des semaines ou des mois, voire des années.
Notamment avec le tramadol une sensation de déprime ou un syndrome dépressif authentique peuvent survenir après l'arrêt complet, surtout avec le tramadol.
C'est même assez fréquent.
Le traitement peut faire appel à des Anti-Dépresseurs IRS ou mieux IRSN, notamment la Venlafaxine qui est très proche du Tramadol. Ce traitement est efficace dans certains cas, mais il n'y a pas d'étude systématique à l'appui.
Le plus important est surtout de reconnaitre le syndrome et ainsi de rassurer les patients sur le caractère limité dan s le temps du PAWS.
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