« GBL, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

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j'ai vite combiné les benzos pour me calmer et c'est le diazepam qui ma été utile.
j'ai vite combiné les benzos pour me calmer et c'est le diazepam qui ma été utile.
j'ai essayè le sevrage avec du baclofèn qui est utile mais le sevrage de celui ci est une autre étape flippante aussi. ne jamais prendre des doses élevé qui sont très dangereuse. ne regardè pas les post de certains qui prennent des doses hallucinantes. parlé en avec votre psychiatre qui se doit de vous aider. }}
j'ai essayè le sevrage avec du baclofèn qui est utile mais le sevrage de celui ci est une autre étape flippante aussi. ne jamais prendre des doses élevé qui sont très dangereuse. ne regardè pas les post de certains qui prennent des doses hallucinantes. parlé en avec votre psychiatre qui se doit de vous aider. }}
===Overdose===
Les GBL est difficile à manié. Il peut provoquer des overdoses, si on va au dessus de sa dose effective, d'autant plus si il est associé à l'alcool, benzodiazépine ou opiacés.
{{Citation|Trystant|https://www.psychoactif.org/forum/t7061-p1-GBL-Coma.html|Deux minutes après la prise de GBL, le mec devient un peu fébrile, s'allonge, bouge beaucoup, fait des sons avec sa bouche, incompréhensibles. Je suis là à le regarder, genre, what the f***.
Et là, crac, il s'endort, d'un coup. Je me dis que ça sent le roussi. Je tire vite une ligne et je le mets en position latérale de sécurité, au cas où il vomirait. Je tourne un peu en rond, histoire de mettre en place mes idées. Je vais vite sur le net avec mon iPhone et je tape GBL overdose sur Google. Et là je me rends compte que c'est la cata. En plus sa respiration devient irrégulière, avec des arrêts plus ou moins prolongés. Je bouge sa tête, y'a du vomi qui bloque. Je fais tout pour dégager les voies respiratoires, je stresse un peu. La respiration reprend. Je le stabilise, couché sur le coté, il a tendance à bouger dans son "sommeil". J'appelle les urgences mais je parle pas flamand. J'essaie de me faire comprendre de l'opérateur qui ne parle que néerlandais (!), en anglais, et en français. J'ai l'impression que ça dure une plombe, et avec une main j'essaie toujours de faire en sorte que l'autre respire. Je compte les secondes d'arrêt respiratoire, je me dis qu'en dessous de 30 secondes c'est pas trop grave. Et je pense a son vomi si je dois lui faire du bouche à bouche... Je stresse un peu plus.
Pour finir, les urgences sonnent en bas de l'immeuble. J'appuie sur l'interphone pour ouvrir, je tire la dernière ligne de mon paquet, j'ouvre la porte. Ils sont 5, ils le prennent en main tout de suite. Je raconte tout ce qu'il a pris.
Et voilà que derrière les ambulanciers, y'a deux flics qui rentrent. Je me sens fondre sur place. Je pense à mon boulot, à mes parents, à mes potes. Je fais bonne figure, je coopère, ils sont très sympas. Ils voient les seringues, le sachet vide, la paille. Mon pote est mal en point, il est placé sous assistance respiratoire sur place.
Quand ils s'en vont à l'hosto avec lui, les flics m'embarquent pour prendre ma déposition. Ils finiront par me mettre en garde à vue pendant 12 heures, jusqu'à ce qu'ils soient certains que mon pote s'en sort vivant (j'apprendrai qu'il est resté dans le coma plus de 8 heures, et qu'il serait mort si j'avais pas réagi). }}


===Interaction===
===Interaction===
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