« J'ai fait un achat sur un site internet plutôt bien noté, il est le premier de la page google que j'ai trouvé et j'avais fait plusieurs recherches. Il est d'ailleurs souvent cité.Nous avons pris un pack ego-t. Le goût sucré me dérangeait, j'avais pris goût marlboro. Je suis donc allé dans une boutique d'e-cig en leur faisant voir le modèle et le flacon d'
e-liquide. Premier rire, nos ego T étaient des contre-façons. Deuxième rire de la part des vendeurs, les mentions sur le flacon : pas de pays d'origine, et liste des composants "légère" (propylène glycol, glycérine,
nicotine 11mg). La mention absente "végétal" à coté de glycérine les a aussi interpellé. »
Ce témoignage publié sur Psychoactif montre ce qu'est devenu le commerce de l’e-cig, un formidable fourre-tout. L’e-cig est aussi bien vendue dans les commerce spécialisés, que dans des bureaux de
tabac, des magasins pour téléphone, des épiceries de quartier ou sur internet. Avec comme corollaire une qualité de la mécanique et des liquides pour le moins variable. Sans parler des conseils d'utilisation ...
Faut-il pour autant classer la e-cig comme un médicament, ce que s'apprête à faire les députés européens, sur proposition de la commission, dans le cadre de la directive
Tabac? Un tel classement pourrait remettre en cause la fulgurante ascension de l’e-cig, et avec elle, du plus bel outil de
réduction des risques liés du
tabac jamais créé!
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