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trolalol a écrit
Du coup bien que clairement situé dans ta typologie l'ami l'apo, je représente peut être un cas particulier au sein de cette catégorie des aficionados de ladite molécule! - Peut être, - ou peut-être pas, justement! :)
Je ne pense pas non, je pense au contraire que ceux qui sont capable, avec la tolérance, voir même des fois paradoxalement avec pas beaucoup de tolérance, de supporter des dosages bien au dessus de 400mg/prise et de 1g par jour font exception, d'après les témoignages que je lis beaucoup d'aficionados plus ou moins convaincus, beaucoup d'entre eux se limitent niveau doses, pour éviter les effets secondaires dus à tous les effets sérotos etc... Eviter de trembler, avoir la gerbe, sueurs froides, anxiété, etc... Qui sont des effets évidemment aussi présents chez ceux qui aiment bien.
Après faut aussi prendre en compte que les benzos sont assez puissants pour réduire l'efficacité de l'effet séroto, ça réduit pas mal les symptômes de type convulsions, risques de SS, agitation, anxiété, etc...
Et souvent l'usage de tramadol et de benzo mélangés est pratiqué, donc ça réduit les risques, mais faut un dosages en adéquation avec la dose, sa tolérance aux benzos, etc... Ne me demandez pas une fourchette ça peut nécessiter 1 cachet comme 15 ne pourrait pas suffire non plus, ça dépend trop de chacun d'entre nous, la tolérance aux bzd, la dose de trama, etc...
trolalol a écrit
(Peut être aussi que la plupart des adorateurs de cette molécule ne voient pas directement la difficulté tout simplement parce qu'ils rechignent beaucoup moins à augmenter les dosages au gré des exigences de leur physiologie et de l'état actuel de leur tolérance au produit, quitte à risquer (ou à faire) un syndrome séroto°. Disons que ce qui m'en empêche perso est l'état limite dans lequel 400mg suffisent déjà à me mettre (tremblote, hyper sudation , etc.), ne laissant guère de doute sur ce qui pourrait se produire au cas où par malheur l'envie devait me prendre d'insister encore un peu à ce niveau là...^^)
Au sein du premier tiers, combien sommes-nous (proportionnellement parlant bien-sûr) dans ce cas?
Après tu dois avoir raison doit y avoir des gens tellement hypés par la molécule qu'ils en prennent quand même à hautes doses en sachant qu'ils vont subir niveau eff sec mais qu'à coté ils auront leurs effets désirés, certes.
Mais comme je disais beaucoup d'aficionados se limitent, voir même j'ai envie de dire un vrai appréciateur du trama y va mollo, histoire de déjà passer un trip agréable, et non pas un challenge de survivre à tant d'eff secondaires mélangé à un trip agréable, c'est différent, et aussi histoire de pas s'exploser la tolérance et pouvoir en profiter pleinement plus que simplement quelque fois, avec des sérotos on a très vite fait de perdre la "magie" du début en surdosant, surdosant... A tel point qu'après même en faisant des pauses même des hautes doses nous font plus trop d'effets sympas, donc faut augmenter, se taper des eff sec, donc relou...
Sinon je pense que au sein du premier tiers il doit y avoir je sais pas trop, j'vais dire ça uuuun peu beaucoup à la louche selon critères pas tous excellents, j'dirais 80% de "raisonnables" qui même tolérants évitent de dépasser les 400/prise et on va dire environ 600/jour en étalant les prises, et 20% "d'abuseurs" qui peuvent aller largement plus haut et qui souvent ne s'en privent pas d'ailleurs
Je pense que c'est à peu près ça
Hors ligne
trolalol a écrit
Découvrir le trama c'était comme ouvrir les portes du Paradis pour moi. A plus d'un égard, niveau bien-être et efficacité au quotidien notamment, cette molécule m'en aura mis davantage encore dans la vue que la came .
Seulement l'usure se sera bien révélé elle aussi sans comparaison, en vitesse comme en intensité. Au point qu'aujourd'hui j'ai laissé tomber et depuis un moment déjà le tram, là où came et/ou métha constituent toujours mon pain quotidien.
Une découverte qui rappelle celle de la métha, justement, à cette différence près qu'ici - et outre la dimension thérapeutique de cette dernière o.c - la possibilité d'augmenter considérablement les doses dans l'espoir de retrouver l'émerveillement des débuts est toujours bel et bien là.
En fait je pense que c'est à ce niveau que se joue la difficulté (pour moi) avec le trama, l'impossibilité d'augmenter les dosages à proportion de ma tolérance actuelle aux opis, qui exigerait sans doute que je décuple au moins les dosages initiaux nécessaires à un usage récréatif, déjà relativement élevés et déjà proches de la limite sécuritaire (200-300mg, voire 400mg justement).
Du coup bien que clairement situé dans ta typologie l'ami l'apo, je représente peut être un cas particulier au sein de cette catégorie des aficionados de ladite molécule! - Peut être, - ou peut-être pas, justement!
(Peut être aussi que la plupart des adorateurs de cette molécule ne voient pas directement la difficulté tout simplement parce qu'ils rechignent beaucoup moins à augmenter les dosages au gré des exigences de leur physiologie et de l'état actuel de leur tolérance au produit, quitte à risquer (ou à faire) un syndrome séroto°. Disons que ce qui m'en empêche perso est l'état limite dans lequel 400mg suffisent déjà à me mettre (tremblote, hyper sudation , etc.), ne laissant guère de doute sur ce qui pourrait se produire au cas où par malheur l'envie devait me prendre d'insister encore un peu à ce niveau là...^^)
Au sein du premier tiers, combien sommes-nous (proportionnellement parlant bien-sûr) dans ce cas?
Personnellement je fais partie du tiers qui ne sent rien, et fini en crise d’épilepsie avec un bon black out.
Mais c’est intéressant ce que tu nous dit, avant la came et la metha moi c’etait la codéine, pas le trama.
1 boite voire 1/2 de paderyl chaque jour et j’etais l’homme le plus puissant, j’ai passé mes oraux, mon bac et jai tout reussi, après j’etais peu investi mais quand même un bon niveau.
Pour retrouver les effets d’antan avec la codeine et bien ce ne serait pas possible, deja parceque ma tolerance est trop haute à cause de la metha, mais en plus car la codo a le defaut de ne plus se metaboliser en morphine apres 400 ou 500mg.
Donc passage obligatoire dans l’augmentation (double ou triplement de la dose de metha) pour avoir un effet sympa, la metha permet de garder une euphorie opiacé bien sympa malgré ce que certains affirment.
J’ai gobé mes 420mg de methadone à 18h et ai bu 75cl de jus de pamplemousse blanc pendant les 4 heures precedent la prise
J’espère que ca marchera mieux que le rose hein sinon remboursez moi les 3€75
Comme tu dis l’apo la tolerance aux serotos est space, en étant hypersensible au dxm j’ai vite remarqué une perte de la magie des trips au fur et a mesure que je les enchainaient
Dernière modification par kokie301 (06 juillet 2022 à 18:07)
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