Reprise de sub après 3 ans d'arrêt

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Anarchiste homme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Ciao bambini.

Peut être c'est un peu hors sujet, mais je serais bref. J'avais arrêté le sub il y a 3ans, mais j'en ai repris la semaine dernière, j'ai continué d'en reprendre durant 5 jours, 1-2mg par jour en IV.
Bon je me suis dit que vaut mieux que j'arrête avant que ca ne soit pas tres tard et ne prend pas l'air sérieux comme a l'époque.
Alors depuis 3 jours je suis sobre mais pas d'énergie, pas d'envie bref cela ressemble au début de la manque donc donc je me demande est-ce possible que ca soit une manque alors que j'ai fait seulemnt 5 iv de 1 à 2 mg durant 5 jours?.

Ca me fait de plus chier car je ne vit plus en France, mais en Géorgie ou telle situation sont de plus aggravé par differents faits.


J'ai vraiment peur de retomber dans le sevrage a cause de seulementt de 5 joirs de rappel de bon vieux temps

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prescripteur homme
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champi vert102champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour, tu avais squatté un autre post avec cette question. Je rappelle la reponse de cependant que j'approuve totalement.

Salut, oui c'est un peu HS...il vaut mieux ouvrir un nouveau fil pour avoir des réponses personnalisés, non ?

Je n'ai jamais été sous TSO, mais parmi toutes les personnes que je connais qu'ils ont eu une bonne dépendance aux opis c'est vraiment ce que j'ai vu : le manque arrive bien plus vite, même après une petite session. Et même pour moi, que je consomme depuis longtemps, mais avec des pauses, je m'aperçois qu'après des petites sessions je de plus en plus de symptômes...

Après j'ai quand même l'impression que ça reste proportionnel à la conso et sa durée...du coup, ça devrait passer bien plus vite et avec des effets plus légers qu'en arrêtant après des années de TSO...

Bon courage et à un autre fil


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Mister No homme
Pussy time
champi vert15champijaune0cxhampi rouge0
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Salut, à part une panique de revivre le sevrage, ça devrait passer finger in the nose.
Les extras, c'est pas l'assurance de replonger si tu parviens à mettre un cadre de durée et quantité pour pas souffrir en sortie.
Il n'y a aucune raison physiologique que tu repartes pour un sevrage au bout de 5 jours mais pour moi c'est une durée un peu trop importante.
En espaçant mes extras qui durent de 24 à 78 heures, je n'ai jamais eu de souci. J'ai même beaucoup plus consommé à une période où j'avais full accès à la morphine sans jamais réactiver le manque.
Pourtant, une fois, j'avais mis de côté des skénan 200 mg pour me faire un extra. Un bail que je n'avais pas consommé, de plusieurs semaines à quelques mois, et vlatipa que je pense avoir égaré mes gélules que je ne retrouve pas...
Ça a pas duré, mais le temps que je retrouve les gélules,  j'ai commencé à vivre les premiers instants du manque avec ce mal être psychologique teinté d'un sentiment d'injustice, tremblements, suées, chaud froid, mal au ventre, aux os, malade.

Arrêt net des symptôme des que je retrouve la gélule avant même de les sniffer ou parachuter. fume_une_joint

J'attendais un peu plus, je me vidais certainement comme si mon transit avait été bridé par des semaines d'opis. boulet

Il n'y a pas de raison physiologique en théorie de ressentir des symptômes avec peu, mais en pratique psychologiquement le trauma du sevrage ou des sevrage avant laisse des traces ou peut laisser des traces.

Just say no prohibition !

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Anarchiste homme
Nouveau Psycho
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 03 Feb 2016
74 messages
Merci pour vos réponses. Je pense que cette session de 5 jours a joué fortement sur ma morale. Vu que pendant ces 5 jours j'étais hyperproductif, toujours en bon humeur etc. et quand j'ai décidé stop, c'était difficile d'accepter que la vie sobre est partie de nouveau et cela a eu des répercussions sur la physique. Aujourd'hui je me sens beaucoup mieux.
C'est vraiment difficile de vivre sans se droguer quand on aime tellement ce procès. Franchement je crois la seul chose qui m'arrête toujours c'est que j'ai un très fort sentiment de la responsabilité envers ma famille et mon boulot, et j'en suis heureux, car sinon je pense j'aurais jamais arrêté

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