« Dextrométhorphane (DXM), effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

Aucun résumé des modifications
Ligne 88 : Ligne 88 :
Je suis sur cette colline, assis en tailleur, je ferme les yeux et mon esprit se retrouve comme pris au piège dans des montagnes russes, ça monte, ça descends, j'ai de fortes hallucinations visuelles les yeux fermés. Des formes, des couleurs, des motifs c'est franchement impressionnant. Mais mon ami J semble un peu contrarié. Je lui demande s'il va bien et il me réponds à peine. Je lui demande: tu as peur?, il me réponds: oui. Je le regarde dans les yeux et lui dis, tu n'a pas à avoir peur. Je comprends qu'au fond de lui il a surement peur de jamais redescendre car sur cette colline nous avons eu notre "pic", les moments les plus intenses. Je lui fais comprendre calmement qu'il va redescendre bien qu'il ai l'impression qu'il pourrait rester comme ça pour toujours. Je vois un grand sourire se dessiner sur son visage, il se lève d'un bond et me dis qu'il va mieux. On décide de redescendre dans mon appart. On a vraiment perdu la notion du temps alors on regarde régulièrement l'heure.  Arrivé à mon appart on prend la décision de tout faire pour retrouver le contact avec la réalité. Nous sommes comme propulser dans un rêve. On prend chacun un guronzan pour la vitamine C. On ouvre toutes les fenêtres pour recevoir un maximum d'air.  
Je suis sur cette colline, assis en tailleur, je ferme les yeux et mon esprit se retrouve comme pris au piège dans des montagnes russes, ça monte, ça descends, j'ai de fortes hallucinations visuelles les yeux fermés. Des formes, des couleurs, des motifs c'est franchement impressionnant. Mais mon ami J semble un peu contrarié. Je lui demande s'il va bien et il me réponds à peine. Je lui demande: tu as peur?, il me réponds: oui. Je le regarde dans les yeux et lui dis, tu n'a pas à avoir peur. Je comprends qu'au fond de lui il a surement peur de jamais redescendre car sur cette colline nous avons eu notre "pic", les moments les plus intenses. Je lui fais comprendre calmement qu'il va redescendre bien qu'il ai l'impression qu'il pourrait rester comme ça pour toujours. Je vois un grand sourire se dessiner sur son visage, il se lève d'un bond et me dis qu'il va mieux. On décide de redescendre dans mon appart. On a vraiment perdu la notion du temps alors on regarde régulièrement l'heure.  Arrivé à mon appart on prend la décision de tout faire pour retrouver le contact avec la réalité. Nous sommes comme propulser dans un rêve. On prend chacun un guronzan pour la vitamine C. On ouvre toutes les fenêtres pour recevoir un maximum d'air.  
Vers 19h30, on commence un peu descendre, je prépare 2 thés à la menthe et on se pose dans petit jardin avec une clope. On regarde le ciel, ça commence à aller mieux.}}
Vers 19h30, on commence un peu descendre, je prépare 2 thés à la menthe et on se pose dans petit jardin avec une clope. On regarde le ciel, ça commence à aller mieux.}}
{{citation|YourLatestTrick|http://www.psychoactif.org/forum/t10186-p1-Test-DxM.html#p146942|Pour la marque déjà, Tussidane, tu peux gober la boite, voire deux d'une seule traite, aucun gout, pas cher, et plutôt bien dispo.
Pour le dosage, je prend le plus souvent un peu plus de 10mg/kg, mais en deux prises à quelques heures d'intervalle (720mg au total, deux boites, quoi). Le métabolisme  du DXM joue un rôle important (je parle de son principal métabolite actif) dans la façon dont on veut orienter le trip.
Pour ce qui est de mes convenances personnelles, je prend une dose "normale" d'opi conjointement à ma première prise de DXM, puisque je n'apprécie pas trop les effets physiques de ce dernier pendant la montée (et le DXM donne la chiasse le lendemain...)
Je prend le tout à jeun, sans antihistaminique mais un antiémétique un peu avant (pas vraiment sujet aux nausées sous ce genre de produits, mais avec ce mélange, sait-on jamais ...). Le DXM me coupe très vite l'appétit et me rend la nourriture insipide, j'avale donc un tout petit en-cas 30-45 minutes après la première prise, histoire de ne pas passer 24h le ventre vide non plus.
Je profite de l'opiacé pendant quelques heures en vaquant à mes occupations/glandages habituels avant la deuxième prise, qui , elle, m'envoie dans le cosmos, donc je me prépare un coin douillet, une bonne stéréo, une playlist adéquate, et peu/pas de lumière.
Quelques heures plus tard, quand tout redescend, je me prend généralement un petit benzo pour aider, le DXM m’empêche un peu de dormir.
Genre tous les deux mois, ça me fait du bien, ça remet certains trucs en place, ça me "reboot" un peu !}}


==Les risques de sa consommation==
==Les risques de sa consommation==
6 898

modifications