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3-MMC, effets, risques, témoignages (voir la source)

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 Comme pour toutes les drogues la sensation désagréable de descente est inversement proportionnelle au plaisir ressentis lors de la « montée ». Dans le cas de la 3-MMC et étant donné que la montée est décrite comme plutôt « soft » - du moins par rapport à celle de la méphédrone ou de la MDMA- la descente ne semble pas poser beaucoup de problème.
-{{Citation|L'Alchimiste||Comme on a pas de réelle montée, on a pas de descente non plus. Même après 1/2g sur une nuit, je dors pénard. Et le lendemain, tranquille. Pas de déprime, pas de banqueroute de sérotonine qui te fasse broyer du noir au J+1 et J+2.}}
+{{Citation|L'Alchimiste|http://www.psychoactif.fr/forum/t6500-p1-3-MethylMethCathinone-alias-3-MMC-tres-bon-mais-tres-addictif.html|Comme on a pas de réelle montée, on a pas de descente non plus. Même après 1/2g sur une nuit, je dors pénard. Et le lendemain, tranquille. Pas de déprime, pas de banqueroute de sérotonine qui te fasse broyer du noir au J+1 et J+2.}}
 Il faut ici préciser que nous ne sommes pas tous égaux face aux drogues et que ce qui vaut pour les uns ne vaut pas forcément pour les autres.
 Selon d’autres sources, il n’est pas possible de s’endormir après 200mg consommés et certainement pas avant 2 à 3 heures après la dernière prise.
 ==Réduction des risques==