« 3-MMC, effets, risques, témoignages » : différence entre les versions

Aller à la navigation Aller à la recherche
Ligne 67 : Ligne 67 :
Le craving est plus fort lorsque la 3-MMC est sniffée. Après quelques lignes, il devient difficile de se contrôler et compte tenu de la relative « douceur » du produit et du plateau vite atteint (après 300mg), l’usager peut se laisser aller à une surconsommation qu’il pourrait regretter plus tard. Il convient donc de lui préférer un mode d’administration orale dans le mesure ou les « drops », logiquement plus espacés dans le temps, permettent de savoir grosso-modo ce que l’on a réellement consommé et de ne pas faire d’excès.  
Le craving est plus fort lorsque la 3-MMC est sniffée. Après quelques lignes, il devient difficile de se contrôler et compte tenu de la relative « douceur » du produit et du plateau vite atteint (après 300mg), l’usager peut se laisser aller à une surconsommation qu’il pourrait regretter plus tard. Il convient donc de lui préférer un mode d’administration orale dans le mesure ou les « drops », logiquement plus espacés dans le temps, permettent de savoir grosso-modo ce que l’on a réellement consommé et de ne pas faire d’excès.  


====La descente====
===La descente===


Comme pour toutes les drogues la sensation désagréable de descente est inversement proportionnelle au plaisir ressentis lors de la « montée ». Dans le cas de la 3-MMC et étant donné que la montée est décrite comme plutôt « soft » - du moins par rapport à celle de la méphédrone ou de la MDMA- la descente ne semble pas poser beaucoup de problème.
Comme pour toutes les drogues la sensation désagréable de descente est inversement proportionnelle au plaisir ressentis lors de la « montée ». Dans le cas de la 3-MMC et étant donné que la montée est décrite comme plutôt « soft » - du moins par rapport à celle de la méphédrone ou de la MDMA- la descente ne semble pas poser beaucoup de problème.
6 898

modifications

Menu de navigation