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L'histoire d'une vie 



Je vais raconter ici ce qui m'à conduit au diagnostic de trouble bipolaire,
C'est très long comme texte mais je peu pas synthétiser plus encore, je ferai d'autre post, pour décrire plus longuement encore chaque période de ma vie.
J'écrit ici car j'en ai besoin, ça va me soulager, mais ne t'oblige pas à tout lire ☺


Je n'ai ércrit que les grandes lignes qui je pense sont utile pour le travail que je cherche a faire sur moi, cependant je suis biensur enclin a donnée des precisions.

Un grand merci a ceux qui lirons.

Le début,
je n'ai que très peut de souvenirs des paysage, seulement quelques visages. Ceux de ma famille et de certain amis.
J'ai deux soeurs, avec lesquelles je passe mes journées, on se ballade, on s'amuse, je suis un peu leurs poupons. Mes copains sont surtout ceux de mes soeurs, et Max mon meilleurs amis, le petit frères de Fabienne, une amie à mes soeurs. Avec Max, on a beaucoup joué, on allai piqué des billes au supermarché pour faire des parties avec les plus grands, on perdai nos bille à chaque fois. On faisait des cabanes dans les roseaux près de chez nous, j'y ai même attrapé la gale des roseaux, on sortait toutes la journée tous ensemble. Une fois je suis tomber dans un bosquet de ronse, j'ai du attendre les pompier la dedans.
Papa et maman on des soucis entre eux, la femme de ménage ne fait pas le ménage dans ma chambre, en plus elle vol des objets à papa. Maman est partis.

Je fait des cauchemars de plus en plus fort et impréssionant, je vois des main, des langues, et des yeux sortir du lambris du plafond pour me prendre, toujours ce cauchemar, le même. A 4 ou 5 ans c'est très impréssionant, et maman n'est plus la pour me soulager et me prendre dans ces bras, papa est la, mais plus vraiment la non, plus il boit et dort beaucoup quand il travail pas.
Moi je ne voit plus que Max, on va à l'école ensemble et après on rentre, ma chambre es sale, moi aussi, je ne me lave plus, papa s'en fou, mes soeurs disent rien non plus donc ça doit pas être important d'être propre. J'ai souvent des crampes à l'estomac, et comme des noeuds dans la gorge et le long de ma poitrine.
Je comprends pas pourquoi, mais avec mes soeurs et papa on a dû partir, ont a fait des cartons qu'on a mit dans un très gros camion, on a traversé la mer, et on a rejoint le sud de la france, pour sortir tout ces cartons du gros camions et les mettre dans une nouvelles maison, très loin de tous ce et ceux que je connaissais.
Je suis rentré dans une nouvelle école, en CP, j'avais peur et j'étais agressif envers les autres, donc je n'avais pas de copain, j'étais toujours très sale, je sentais vraiment mauvais. J'avais un chien qui sortait pas beaucoup et avais pris l'habitude de faire ses caca dans ma chambre, je les laissai la, et le disais pas à papa, qui avait mal à ses jambes et ne pouvais pas monter l'escalier. Maman pouvait venir ici, dans la nouvelle maison, elle estait pas loin maintenant. mais elle restait en bas et parlait avec papa. J'avais toujours ces noeuds à la gorge, et en lieu et place des cauchemars, je voyais des yeux rouge sur la vitre de la fenetre, même volet fermé.

Un jour mes soeurs mon jeté dans la douche et mon nettoyé, ça m'a choqué, j'ai compris beaucoup de chose pendant cette soirée. C'était l'été de CE1 à CE2, j'ai recommencé à me laver, à aider papa, à allez voir maman, à sortir pour me faire des copains. Et ça marchai, je me suis fait des amis, j'étais propre, et au lieu d'être agressif, j'étais blagueur, charmeur, sur de moi, je me croyais incassable. J'ai même fait des test, j'estait incassable. En CE2, on était une classe plutôt soudée, tous ensemble en cour, à la recrée, et même dehors de l'école pour ceux qui était voisins. La kermesse de cette année à été géniale. J'estait sans papa et maman mais avec tous mes amis et on me regardai, je faisait le pitre souvent.
L'été qui suivis, était plutôt spécial pour moi, j'avais découvert à quoi servait l'argent et même ou s'était rangé, et je savais quoi en faire. J'ai acheter pour presque 4000francs de figurines pokemon en deux mois, je suis sortis avec mes premières vraie copines, j'ai eu mes premiers vraie bisous. Je commençai à fantasmé pour les premières fois. En CM1 et CM2, c'était beaucoup plus calme, meme si je faisait encore le pitre, et voulais être au milieu de toutes attentions, ça m'a d'ailleurs coûté quelques punitions.

je sais plus pourquoi mais avant ma 6em, j'estait partis vivre chez ma mère. j'avais atrapé tout ce qu'il y avait dans ma chambre et l'avais escampé sur les murs de toutes mes forces, j'ai brisé une a une les tirelire que je collectionais a l'epoque puis je suis monté sur le bord de la fenetre du 2em étage, et j'ai menacé ma mère de sauté, ma seur ma fait descendre et je me suis mit a sangloter, apres ca, pendant des jours je n'ai pensé qu'a ca: Qu'est qu'ils diraient tous, si je mourrai maintenant? Ca leur feraient du mal? Meme qu'un peut? Ou ils le remarquerai meme pas?
c'est passé petit a petit a la fin de l'ete, je suis entré au college.

A la rentré des classe, j'estais si fier de moi, de mes nouveaux vetements, d'etre enfin avec les grands, j'allais pouvoir leur montré a tous que j'était le meilleur. Et pendants les premiers mois j'ai ete tres assidus j'essayai de ne pas laisser sortir le flos continuels de questions que j'aurai voulus poser a mes profs, tant je voulais en apprendre . seulement ca c'est transformer en frustration, j'estait devenus plus agressifs, plus agité, je bavardai a haute voie pour provoquer meme si je parlais seul. Je suis allé vers les personnes les moins discipliner bien sur, eux, ils aimaient mon coté guerrier peur de rien, j'ai passer 4 année a passer d'heure de reteues, a exclusion, en comission ou conseil de discipline, c'est une periode ou j'ai bus mes premiers litres d'alcool j'ai fait un comas etylique a 12 ans. J'ai pris mes premieres drogue de synthèse aussi durand les année colleges, faut dire qu'a partir de ma 5em je n'allai plus vraiment au cours toutes la journée.

A la fin du college, j'avais commecer a me mutiler les bras, je coupais et coupais comme frenetique, je tapait les murs pour m'ouvrir les phalange. Je ne me suis pas inscrit au lycée, j'ai supplier mon père de payer des cours par correspondance, ce qu'il a fait, un cap eleveur de chien, que je n'ai pas passé. je suis alors partis de chez ma mere pour vivre avec mon pere. En realité, je suis surtout rester dans ma chambre enfermé pendant des mois ou j'ai fumer de l'herbe a plus en pouvoir. a cette periode, j'estait juste vide.

Des amis sont venus me voir de plus en plus et j'ai commencer a ressortir, a faire la fete, des credit pour de la drogue en tout genres, des raves partis ou je vendais pour consommer, jusqu'a mes 18ans j'ai jouis de tout ce que je trouvais de facons toujours abusive. Sans aucun réserve. J'ai habité chez plusieurs de mes amis pendant deux à trois ans. A18 ans , j'ai crus qu'on voulais me tuer, j'ai pris le train pour fuir, j'ai fait 800km pour retrouver un amis d'enfance, qui ma héberger quelque mois, mais je suis rentrer chez moi du jour au lendemain c'estait comme vital, j'ai jamais vraiment compris.

J'ai trouvé un travail, que j'ai abandonné 5 mois plus tard, pour partir vivre chez une connaissance a 200km de chez moi, j'ai recommencer les fetes, les drogues, les credit pour consommer, que je payais plus, je m'en fouttai je croyai que j'aurai toujours le dessus sur les autres, mais j'ai ete intimider par un mechant de la drogue, je me suis persuader de ramener de l'argent coute que coute, j'ai finni par arracher un sac avec un autre compagnons de fetes. J'ai biensur ete arreter, et en attendant que mon jugement se fasse je devais signer 2 fois par mois a mon comissariat, ca a duré 4 ans, ou j'ai jonglé entre culpabilité, dégout, et en meme temp envie d'avancer.

un coup je m'inscrit en bac pro pour horticulture, j'ai fait 1ans entier et deux mois de la deuxieme année, puis j'ai arrete les cours. J'ai rencontré ma compagne en allant en fete, un coup je prend un travail au noir que j'arrête, puis recommence 2 mois, puis j'ai ouvert une entreprise que j'ai fermer 1ans apres. Sans l'avoir fait tourner meme qu'un peut.
De 20ans a 24ans je crois avoir traversé le pire etat de ma vie, j'aivais envie de faires des choses que je commencais, mais j'avais pas la force de les faires evolué, ou alors j'avais envie de rien mais j'estait capable de tout a la fois, entre sentiment d'impuissance et besoin reconnaissance, j'ai finni par devenir mou j'ai de nouveau ete enfermé chez moi, dans mon petit appart pris plus tot sur un coup de tete, ma compagne allai faire les courses, faisais les repas, quand il restai de l'argent que j'avais pas depenssé dans l'herbe. Sans elle, je serait certainement passer a l'acte durand cette periode tres, trop intense pour moi, c'estait comme si je m'estait entierement abandonné.

Apres mon jugement j'ai eu un mieu, on es partis vivre ailleur, encore, je me suis inscrit a la fac, pour passer mon daeu, j'était super motivé, je voulais etre botaniste chercheur, passionnée par la flore que j'estait.Le pere de ma compagne es dcd cette annee la, elle a mal vecu, d'autant plus que j'estait incapable de l'aidé, je ne voyais pas son mal être. j'ai passer mon permis en 1 mois et demi, et mon papa est dcd à son tour 6 mos apres. on a demenagé a nouveau, oui je ne pensai plus une seul seconde au daeu que j'avais entrepris 6 ou 7 mois plu tot, a 25 ans je suis donc de nouveau chez moi sur le canapé a rien faire de mes jours, tiran ma compagne vers le meme etat d'esprit, elle s'es refugié chez nos voisins.

L'ete de mes 25ans, j'ai apris tout ce que je pouvais sur la recup de metaux, j'ai decidé de partir en vaccance, je voulais plus etre la a rien faire, je n'avais pas d'argent, mais je pensai que je vendrai les metaux que je trouverai pour avancer dans mon periple, j'ai convincu je ne sais pas comment ma compagne qui ma suivis, apres 7 jours devant l'evidence, j'ai abandonné les metaux et on es rentrer a la maison. S'en suis un nouveaux moment de contact intense avec le canape, durand laquelle j'ai fait une crise a ma compagne, j'ai casser l'etagre de mes vetement j'avais remplis un sac, je voulais la quitter car elle ne faisait rien de plus que moi. Elle ma retenu, le lendemain ca allai mieu. On a changer d'appartement, dans la meme rue.

Pendant le primtemp de mes 26ans j'ai dépenssé la totalité de nos sous du mois pour acheter un camion, je voulais le reparer, l'amenagé, et partir loin avec. J'ai passé 6 mois a le faire, je me suis transformer en mecano, j'ai completement epuiser ma compagne, je rejetai tout sur elle des que j'estait frustré ou que rien ne suivai mes pensés, mes envies, j'allais bien trop vite pour les autres, ca me rendai encore plus dingue de voir les copain aller se baigner ou discuter tranquilement entre eux, alors que moi j'estait incapable de me poser comme eux.
Le camion est tomber en panne apres que j'y es investit pendant 6mois tout notre argent.

Me revoila a 26ans, assis sur mon canape a regarder des series ou jouer sur ma tablette pour passer le temp qui ne me donne pas de plaisirs.
A la fin de l'hiver j'en ai marre de voir ce camion, alors j'ai sortis toutes les planches du camion, j'en ai fait des meubles pour l'appartement, pendant une 10aine de jours j'estait devenus menuisier.
Au printemp, j'ai connu un état incalifiable, je me levais le matin, avec des idée plein la tête, mais incapable de faire quoi que ce soit, et dans la même journée, j'avais la tête vide et pourtant mon Corp s'agitai, j'entendais comme des chuchotement, parfois j'avais des morceaux de phrases qui aparassait dans ma tête, mais avant que je dise quoi que se soit, c'estait déjà une image d'autre chose ou d'autre mots. Par moment, j'avais la même phrase en boucle encore et encore. Et ça pendant casiment 10jours, jusqu'a aller au urgence psychiatrique. 

J'ai été reçus très vite, et mis sous neuroleptiques et benzodizepine immédiatement, puis j'ai eu plusieurs consultation dans lesquelles j'ai raconter mon histoire.
S'en ai suivis d'un " Mr, vous souffre d'un trouble bipolaire de type 1."
Me voilà bien avancé, je doit maintenant apprendre à être malade et differencié cette maladie de mon vraie caractère, la mince affaire, je ne me connais donc pas.

Catégorie : Témoignages - 24 août 2018 à  11:57



Commentaires
#1 Posté par : janis 24 août 2018 à  13:23
Parstt,

dis toi que tu commences une nouvelle vie!
C'est comme un nouveau départ avec un traitement, un suivi et un diagnostic.

En te lisant, j'ai eu la sensation que tu avais passé de nombreuses années à ne pas comprendre tes actes. Maintenant, tu en as une grille de lecture, celle de la bipolarité.

Elle vaut ce qu'elle vaut mais elle peut t'aider à mieux te comprendre.

Si ce n'est déjà fait pourquoi pas un peu de lecture sur le sujet?

Merci pour ce témoignage fort
fais attention à toi
Janis

La Maladie bipolaire expliquée aux souffrants et aux proches4 octobre 2012
de Raphaël Giachetti et Dominique Vialard

Toute une vie en valses de crises bipolaires2 février 2018
de Tara Wells

Un autre regard sur la bipolarité: Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur10 décembre 2013
de Benjamin Nemopode
Format Kindle
Reputation de ce commentaire
 
Livres vitaux pour comprendre

 
#2 Posté par : psychodi 24 août 2018 à  13:41
salut Parstt

beau texte, très prenant

tu as du style quand tu écris, c'est indéniable

ça tient en haleine, j'ai eu du mal à ne pas tout lire donc j'ai tout lu

un diagnostic ne résume pas une personne
tu es sûrement bien plus qu'un "trouble bipolaire de type 1"
un écrivain en tout cas, ça c'est sûr...


amicalement

Psychodi

 
#3 Posté par : Parstt 24 août 2018 à  15:03

janis a écrit

En te lisant, j'ai eu la sensation que tu avais passé de nombreuses années à ne pas comprendre tes actes. Maintenant, tu en as une grille de lecture, celle de la bipolarité.

Elle vaut ce qu'elle vaut mais elle peut t'aider à mieux te comprendre.

Tu as raison je me suis beaucoup subit.
Merci pour là lecture

psychodi a écrit

un diagnostic ne résume pas une personne
tu es sûrement bien plus qu'un "trouble bipolaire de type 1"
un écrivain en tout cas, ça c'est sûr...


amicalement

Psychodi

Je sais que je ne me resume pas à un diagnostic mais il es quand même partie intégrante de moi même,  merci pour les compliments!


 
#4 Posté par : janis 24 août 2018 à  18:12
Bien sur que tu ne saurais être réduit à un diagnostic de bipolarité, ce n'est pas du tout ce que je voulais dire; c'est juste une clé de lecture pour toi, pour mieux te comprendre.

Je pense en écrivant cela aux personnes qui, comme moi, ne se sont jamais vraiment senti bien, toujours décalées et n'ont pas eu de diagnostic.

Je lui ai demandé à ma psychiatre, si je pouvais être bipolaire, ou autre.
Sans être à la recherche d'un diagnostic, absolument, d'autant qu'il sera toujours dépendant du contexte, de la culture et de la société à partir desquels il est énoncé, ça peut être un outil de travail sur soi.

Amicalement
Janis

 
#5 Posté par : Parstt 24 août 2018 à  18:44

janis a écrit

Bien sur que tu ne saurais être réduit à un diagnostic de bipolarité, ce n'est pas du tout ce que je voulais dire; c'est juste une clé de lecture pour toi, pour mieux te comprendre.

Je pense en écrivant cela aux personnes qui, comme moi, ne se sont jamais vraiment senti bien, toujours décalées et n'ont pas eu de diagnostic.

Je lui ai demandé à ma psychiatre, si je pouvais être bipolaire, ou autre.
Sans être à la recherche d'un diagnostic, absolument, d'autant qu'il sera toujours dépendant du contexte, de la culture et de la société à partir desquels il est énoncé, ça peut être un outil de travail sur soi.

Amicalement
Janis

Je suis tout à fait d'accord avec toi, c'est un outils de travail sur soi, le diagnostic soulage beaucoup, le fait de savoir se qui se passe, c'est un peu comme prendre enfin le contrôle de ma vie.


 
#6 Posté par : Drim 24 août 2018 à  19:12
Un super texte! Le début m'a particulièrement plus, comme tu te remet dans ta peau d'enfant.

J'espère que tu va trouver comment gérer au mieux ta maladie et avancer avec.

 
#7 Posté par : Parstt 24 août 2018 à  19:19

Drim a écrit

Un super texte! Le début m'a particulièrement plus, comme tu te remet dans ta peau d'enfant.

J'espère que tu va trouver comment gérer au mieux ta maladie et avancer avec.

Merci, oui je vais trouver, je suis bien entouré.


 
#8 Posté par : Ratounette 24 août 2018 à  19:26
Tu n'es pas résumé par ta bipolarité.

Je suis pas résumée par mon asperger

C'est courageux, ton témoignage, c'est courageux comme tu vis ta vie.

Tu m'as transmis des émotions profondes.

Tu as du talent, clair et net.

Continue d'écrire, tout tout tout, que tu sois bien ou mal, dès que tu le sens, comme tu le sens.

Courage et bravoure.

Et mon souhait : Bonheur sur toi

 
#9 Posté par : Parstt 24 août 2018 à  19:49

Ratounette a écrit

Tu n'es pas résumé par ta bipolarité.

Je suis pas résumée par mon asperger

C'est courageux, ton témoignage, c'est courageux comme tu vis ta vie.

Tu m'as transmis des émotions profondes.

Tu as du talent, clair et net.

Continue d'écrire, tout tout tout, que tu sois bien ou mal, dès que tu le sens, comme tu le sens.

Courage et bravoure.

Et mon souhait : Bonheur sur toi

Merci et encore merci !
Je vais pense a écrire plus souvent


 
#10 Posté par : Ratounette 24 août 2018 à  20:25
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, écrire, tu sais faire, c'est puissant !

Et c'est bien de se faire du bien être en donnant aux autres ça multiplie les mieux-être !

 
#11 Posté par : MIAOU44 24 août 2018 à  21:57
Ne pas être résume par sa maladie... facile de le dire mais tellement difficile à assimiler !
8 mois après mon diagnostic de borderline, j'ai toujours tendance à analyser toutes mes réactions comme étant des symptômes 

Pas évident de se retrouver cataloguer comme malade mental !! Car bipolaire, borderline, schizophrène... On rentre dans la joyeuse catégorie des malades psychiatriques.

Après faut trouver le bon psy. Psychologue ET psychiatre. Le bon traitement pour s'aider à moins souffrir.

Ton histoire me touche. Crois en l avenir. Car effectivement cet avenir n est pas défini par l étiquette qu'on nous a collé.

Bises Mia

 
#12 Posté par : Ratounette 24 août 2018 à  22:07
MIAOU44

Tu parles d'or.

Il faut trouver la bonne équipe et les bons traitements.

je me suis sans doute mal expliquée.

au delà de la souffrance, il y a la possibilité d'exprimer ce qui fait notre humanité :
Echanger, comprendre, accepter les différences.
C'est pour celà que je trouve les démarches artistiques, quelque soit l'expression utilisée, utiles et bienfaisantes pour tout le monde.

C'est en celà que nous ne somme pas résumés par nos troubles mentaux...
(enfin, je l'espère)

 
#13 Posté par : Parstt 25 août 2018 à  09:32

MIAOU44 a écrit

Ne pas être résume par sa maladie... facile de le dire mais tellement difficile à assimiler !
8 mois après mon diagnostic de borderline, j'ai toujours tendance à analyser toutes mes réactions comme étant des symptômes 

Pas évident de se retrouver cataloguer comme malade mental !! Car bipolaire, borderline, schizophrène... On rentre dans la joyeuse catégorie des malades psychiatriques.

Après faut trouver le bon psy. Psychologue ET psychiatre. Le bon traitement pour s'aider à moins souffrir.

Ton histoire me touche. Crois en l avenir. Car effectivement cet avenir n est pas défini par l étiquette qu'on nous a collé.

Bises Mia

Oh que je suis en tout point d'accord avec toi!
Le fait d'analysé le moindre écart de comportement comme étant dû à la maladie et pas à mon caractère, c'est difficile de faire la part des choses.
J'ai une bonne équipe médicale, à l'écoute, et un traitement qui évolue suivant mes retours.
Je crois en l'avenir, et pour moi l'étiquette est déjà un pas en avant même si je dois maintenant la décollé pour en faire un autre.

Merci de vos retours, pleins de bisous!


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