Une goutte de poison dans un océan de magma et d'eau.....

Quelques poèmes sans titre de InI hier :

"Trop m'ont dit que le bonheur
Est l'oubli de soit, et du monde.
Fidèles à nous-même et à l'heure,
Vous empruntez la route des ombres.
Leurs sales combines sapent mon humeur,
Je suis un scribe pas un auteur, tant d'urnes concordent......"

369E



"C'est les souvenirs du Néant qui me font parcourir la nuit,
Dans un puit à tomber, avec un sentiment d'éternité,
Ce n'est pas rien, c'est à l'aube que je vois l'après-midi.
Coincé dans une ruche, l'être humain s'est fourvoyé.

Je n'ai jamais voulu qu'un ours s'accapare le ballon,
Mon psychisme est une arme, aux mains d'ennemis potentiels.
La planète est en feu, la dernière jachère, un ciel dans des bleus de laitière, aux yeux sous bâillon.
Frères et sœurs, il fallait me donner ce qu'il ne fallait pas, au lieu de votre secret de polichinelle.

J'ai traversé beaucoup de phase dans ma vie, et cette sphère me montre vraiment l'horizon.
La question reste de savoir si nous regardons vers le centre de l'artefact,
Ou si l'univers ne gît pas sous nos pieds, telle une performance biologique.

J'ai cru voir venir le bruit du plancton, des matons synesthésiques, la chanson que chantent tous ces cons;
Mais je ne connais ni l'Internationale, ni la Marseillaise, je sais juste où et quand se fera l'impact.
Car on me l'a dicté, je l'ai volé, jusqu'à me brûler. Ce n'était ni cire ni miel qui soutenait mes ailes magnifiques.

Ce n'était rien,
Un chance de vengeance d'apaches et d'aryens.
J'ai émergé des 7 continents, on m'avait dit "à la surface, c'est bien"..
Alors comme jeune fantôme, je sillonne ce 8ème monde, un miroir et une ankh dans chaque main,
A me demander, si mon corps, avatar d'esprits croisés dans un labyrinthe neuf, attendais sauvagement le Malin."

369E

De voir le monde par le sommet de la Tour d'Ivoire ne rassure pas quand les fondations se brisent. Si la base s'effondre, tout le terrain chutera avec...

doublon..

bug...

bug doublon, encore!