je tiens! bon sang moi même je m'étonne de la rage qui m'a prise et conduite à stopper net la pompe ..faut dire que la dernière
injection fut tellement un enfer, que j'ai fini par écraser rageusement la pompe, piétiner l'ensemble, avec le sang dégoulinant des bras, des mains, des pieds...une rage folle qui fut certes salutaire mais atroce à vivre...j'ai vraiment bien cru que j'allais me foutre en l'air...
la tempête est passée...les jours passent, le corps en chie un max, surtout au petit matin où c'est les grandes eaux, la chiasse, peu de crampes...
le plus dur c'est quand même le moral.....
peut être parce que ma seule perspective c'est de me préparer à l'hospitalisation alors que je
rêve de partir au soleil...