Aaaaaah quand tu rentres le soir de Paname, avec un bon gramme snifé. Rien n'était prevu, surtout pas de la c. Puis voilà, ton pote te dit j'en ai. Mais tu as déjà quatre pintes de binouze qui t'ont fait dérailler. Tu peux te dire un trait pas plus... Mais non, la c c'est toujours plus. Et le plus c'est installé au point d'en arriver à dire en fin de soirée"il t'en reste ?: mais il n'en reste plus. Donc tu rentres... à une heure pas possible. Puis la
descente. Gérable, tu as connu pire mais tu n'es pas fier.
Je suis rarement fier de moi dans ces séquences. Puis je sais que derrière je peux rester 4 mois sans taper.
Mais bon... il y a cette ritournelle du bon pote qui te dit "mon gars? La c une fois que tu y z goûté, c'est pour la vie" certes tu n'es plus addict mais la coquine t'accompagne.