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Dernière modification par janis (17 août 2019 à 18:33)
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Dernière modification par Apuussyslayer (18 août 2019 à 00:23)
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Dissociaman a écrit
Donc je cherche une drogue qui me rend plus attentif, endurant, concentrer, avec l'amélioration de la mémoire et qui boost la manière, la faculté que nous avons à apprendre. Donc qui permet un meilleur apprentissage dans ce que nous lisons, entendon, percevons...
Chez moi la methamphetamine me permet (a petite dose, après ça part dans tous les sens) d'être extrêmement focus, curieux et je retiens absolument tout.
Après cela vaut pour "moi", et en général j'ai tendance a chercher les gros rush, donc augmentation des dosages et au final j'apprend tout un tas de trucs pas forcément utile et au dernier plateau je parle avec des gens pas la
Mais j'ai lu encore récemment que malgré la période ritaline au US certains étudiants utilisent encore la meth pour les révisions...
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LLoigor a écrit
Chez moi la methamphetamine me permet (a petite dose, après ça part dans tous les sens) d'être extrêmement focus, curieux et je retiens absolument tout.
Mais rien de plus....
Dernière modification par RandallFlag (19 août 2019 à 10:41)
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Dissociaman a écrit
Salut la communauté !
Pour les connaisseurs je cherche une drogue nootropique qui boost l'intelligence. Ici je fais le lien entre le rapport d'un film qui se nomme "Limitless" dont le scénario disait que l'on utilise 10% de nos capacités intellectuels et cérébrales et que grâce à un cachet qui se nomme le "NTZ" permet d'avoir la totalité de nos faculté intelligensia.
Si je suis pas dans la bonne section les admins le diront !
Donc je cherche une drogue qui me rend plus attentif, endurant, concentrer, avec l'amélioration de la mémoire et qui boost la manière, la faculté que nous avons à apprendre. Donc qui permet un meilleur apprentissage dans ce que nous lisons, entendon, percevons...
Je pensais au methylphenidate mais il y a mieux ou pas ?
Merci de vo réponses, je cherche une drogue qui boost mon intelligence. Si vus avez des idées.
Je sais je sai je pense que ce genre de question peut avoir été posée moulte fois, m'enfin le neuf apporte des choses parfois ^^
A vous les claviers les psychos ! ^^
Alors si je peux te conseiller avec mes petites bases en pharmacologie et neuroanat', je t'inviterais à te pencher non pas sur des molécules activant le périphérique sympathique même s'il augmente la vigilance, mais plus vers des molécules purement "dopante" sans perturber les neurotransmetteurs sous-corticaux.
Pour être le plus pur possible dans une démarche d'augmenter ses facultés. Les amines sympathomimétiques sont une solution indirecte. Non. Il te faut plus propre et plus précis. Ce n'est que mon avis mais je te conseille de viser non pas une augmentation de concentration / vigilance par des psychoanaleptiques mais plutôt *je feuillette 2s le vidal là pour pas que je te donne un nom qui a pas d'AMM*.
Nan il te faut un truc le plus approprié à ton cas, un faible ratio risque et une bonne puissance. Evidemment je peux te conseiller le Piracétam mais d'autres analogues sont bien plus puissants et efficaces. Pour le coup, tu agiras directement sur ta demande sans risque de consommation de molécule à risque addictif.
Tu as le Suritozole aussi ou encore l'Oxiracétam. Etrange et récent, l'anecdote est intéressante à partager : La N-AcétylCystéine a également ce potentiel en plus d'être un antidote au paracétamol
Voilà voilà si ça peut te donner des indices :)
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Dernière modification par Heashka (22 janvier 2020 à 16:00)
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Bien que les stimulants soient vantés pour l'amélioration neurocognitive, se traduisant par une amélioration des performances académiques, les attentes et les perceptions des performances de ceux qui abusent de ces médicaments peuvent être loin de leur efficacité réelle.
Le modafinil semble avoir un certain effet sur l'apprentissage complexe pendant les états de manque de sommeil et d'alerte. Les utilisateurs de Modafinil peuvent, plus efficacement, planifier, séquencer et engager la mémoire de travail et améliorer les compétences de prise de décision et l'inhibition de la réponse adaptative. Sur les tâches de raisonnement complexe, le modafinil démontre son efficacité à réduire les erreurs persévérantes, à améliorer la capacité de former des concepts abstraits et à tirer des enseignements des commentaires afin d'apporter les changements appropriés dans les réponses comportementales. Le modafinil peut également réduire l'impulsivité en augmentant la latence de la réponse motrice dans les tâches simples. Cependant, il peut conduire à une évaluation trop confiante des capacités cognitives, de sorte que les utilisateurs peuvent être incapables de contrôler eux-mêmes les résultats réels avec précision.
Le méthylphénidate semble également avoir un certain effet sur les processus cognitifs d'ordre supérieur; cependant, il semble y avoir des limitations environnementales et de tâches. La mémoire déclarative, la flexibilité cognitive et l'augmentation du temps de réponse et de la précision des tâches auditives montrent des améliorations jusqu'à 4,5 heures après l'ingestion de méthylphénidate. En outre, des améliorations dans les tâches spatiales utilisant des compétences de planification et d'adaptation et de mémoire ont été démontrées dans de nouvelles situations. Le méthylphénidate semble avoir un effet double mais contradictoire sur l'amélioration cognitive, de sorte qu'il améliore les performances dans les tâches inconnues, mais entraîne un déficit de planification de la latence et une impulsivité accrue conduisant à de moins bonnes performances dans les tâches familières. En effet, la nouveauté semble influencer l'effet cognitif, car ceux qui prennent du méthylphénidate peuvent être mieux en mesure de porter leur attention sur les caractéristiques inconnues des stimuli avec moins d'erreurs dans la réponse à la tâche. De plus, il peut y avoir jusqu'à 10% d'amélioration de la conscience des erreurs conscientes sans changement concomitant de la vitesse de réponse. Cela a été confirmé neurophysiologiquement, avec des différences d'activation démontrées entre le dACC et le lobe pariétal inférieur dans les erreurs conscientes par rapport aux erreurs non conscientes
Certaines études suggèrent que si l'amphétamine peut avoir un petit effet sur certains aspects de la cognition, qui peuvent également être limités par des stimuli et des caractéristiques temporelles, elle n'a pas un effet d'amélioration cognitive globalement robuste. De plus, l'effet des stimulants à base d'amphétamine chez les enfants peut différer de celui des adolescents plus âgés et des jeunes adultes en raison de l'immaturité relative du développement. Les enfants / préadolescents prenant de l'amphétamine démontrent de plus grandes améliorations dans les tâches cognitives basées sur l'attention avec une augmentation du temps de réaction, de la vigilance, de la mémoire et de la capacité à rester en place. Cependant, il faut faire preuve de prudence lors de l'interprétation de ces résultats, car la cohorte d'enfants examinée incluait des enfants qui étaient «hyperactifs», de sorte qu'ils peuvent avoir eu un TDAH subsyndromal ou encore non diagnostiqué, et donc un groupe de comparaison inapproprié pour une cohorte de jeunes adultes sans Symptomatologie psychiatrique L'amphétamine peut améliorer l'acquisition des connaissances et le codage des informations, ainsi que la capacité de récupérer des informations. Cependant, ces processus peuvent, encore une fois, être limités par les caractéristiques des stimuli et la demi-vie du médicament. Des études ont montré que les informations acoustiques et sémantiques peuvent être codées et accessibles plus facilement avec l'amphétamine.
Temporalement, l'amphétamine doit être prise avant l'apprentissage; l'heure après l'acquisition des connaissances peut être la plus cruciale pour la consolidation; le rappel peut être sensiblement amélioré un à trois jours après l'événement d'apprentissage initial; et la reconnaissance des informations précédemment apprises peut être maximisée 1 semaine après l'apprentissage. Ceux qui ont un fonctionnement de base inférieur dans la résolution de problèmes perspicace, la récupération sémantique et l'intelligence non verbale peuvent être aidés par l'amphétamine dans ces domaines.
Enfin, le génotype valine – valine COMT en combinaison avec l'utilisation d'amphétamines peut conférer un certain avantage dans la résolution de problèmes mathématiques.
Les trois stimulants démontrent tous un effet sur l'excitation, de sorte que les participants ont ressenti une vigilance accrue après avoir pris un stimulant. Cela peut être mal interprété comme une cognition améliorée. Cette théorie est cohérente avec la constatation que, dans l'amphétamine et le modafinil, les participants ont surestimé leurs performances cognitives en prévision ou après l'ingestion de stimulants.
Dernière modification par prescripteur (22 janvier 2020 à 17:50)
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Heashka a écrit
Comme tu peux le constater,
Hello, une légende ne serait pas de trop...
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