Arrêt C / Mental / Avis / Conseil

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Flo1691 homme
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France
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Bonjour à tous,

Première initiative de poster mon expérience après avoir lu bon nombre d’articles intéressants et/ou le jugement n’ai pas présent.

J’ai 33 ans, vie en couple avec une merveilleuse femme et ses deux enfants, je suis responsable de 4 agences qui demande du temps, des responsabilités, du stress, de l’angoisse et j’en passe..

J’ai commencer à consommer de la C uniquement en soirée, très occasionnel je dirai 2016. Année d’une séparation, d’un accident de voiture suivi d’une opération avec broche, que j’ai fais subir à mes parents à ce moment-là.

Depuis mes nouvelles responsabilités depuis le début du Covid, de certaines situations personnelles aussi peu être, je me suis mis à consommer de plus en plus. Sans m’en rendre compte comme j’ai déjà pu le faire auparavant l’addiction a pris le déçu. Une addiction comme j’ai pu l’être avec les joints ayant fumer durant environ 10ans, j’ai su arrêter du jour en lendemain, comme pour l’addiction des jeux balançant de l’argent pour monter ma puissance. Beaucoup d’argent..

Aujourd’hui et depuis 1 mois, prenant conscience du problème de mon addiction (C) j’ai décider d’avouer a ma femme ma consommation qui a été extrêmement difficile pour avouer, être honnête, pour arrêter de lui mentir dont l’objectif est de ne plus avoir le choix et d’avancer en laissant cette addiction derrière moi. Bien sûr, ma démarche n’étais pas sans risque et je l’avais mesurer mais je le devais, je l’es fait. Sa réaction n’étais pas celle que j’aurai voulu cela dit comment agir quand une tél chose lui tombe dessus.
Depuis, j’ai été et encore aujourd’hui honteux de moi même face à cette addiction, je vois à quel point cette situation l’as affecter en tout point. Je n’aurai pu m’imaginer qu’elle en souffre autant que moi pourtant si difficile à le vivre pour moi à me dire que peu être ma démarche n’as pas été la bonne. J’ai voulu être transparent, pour m’aider à stopper cette addiction mais le mal que je lui inflige finalement m’atteint encore plus. Je suis responsable de cette situation hors mon intention en étais tout autre.
1 mois depuis mon arrêt, une rechute début de semaine qui m’as valu des travers avec l’alcool. Ma femme qui essaye de m’apporter un maximum de soutient, reste intransigeante et dur face à cette rechute, limite qu’on revient au point de départ.. Pour moi ce n’est pas le cas cela dit la compréhension de cette addiction me paraît difficile à comprendre pour une personne n’ayant jamais eu une certaine addiction.
Je raconte mon histoire pour connaître votre avis, vos expériences, vos ressenties, pour avoir quelconques conseils de ce qui serai bon à faire, à entreprendre..
cette addiction m’as apporter que des choses néfastes, professionnellement, personnellement dans mon couple comme auprès de ma famille..
Merci de m’avoir lu et n’hésitez pas à avoir des précisions si vous le souhaitez.
Flo

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Zaki homme
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Belgique
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Inscrit le 11 Mar 2022
2 messages
Courage à toi je suis dans le même cas que toi je me comprend pas
Cette merde à envahit mon esprit

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meumeuh homme
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Jolly Roger
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Inscrit le 21 Nov 2017
5027 messages
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Zaki a écrit

Cette merde à envahit mon esprit

Sur PA on évite de diaboliser, ou dire que tel prod c'est de la merde.
C'est la personne qui vas faire ou pas de la merde...

Flo1691 a écrit

Je raconte mon histoire pour connaître votre avis, vos expériences, vos ressenties, pour avoir quelconques conseils de ce qui serai bon à faire, à entreprendre..
cette addiction m’as apporter que des choses néfastes, professionnellement, personnellement dans mon couple comme auprès de ma famille..

Tu n'as pas consulté, un médecin ou un addicto  si ça te paraît compliqué?

Surtout quand tu as une personne proche qui est comme tu dis intransigeante... puis avec moi elle n'aurait pas le choix, car je suis transparent sur ce point...
.

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Anonyme25
Psycho junior
France
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Inscrit le 27 Nov 2021
210 messages
Salut

Je suis dans la même situation que toi.
J'ai une addictions à la C et au crack, la différence que j'ai c'est que j'ai un trouble de l'attention avec hyperactivité (TDAH) donc pour la C c'est plus une conso qui me canalise et m'aide a me concentrer sur une tache.

Pour le crack là c'est plus du récréatif. Bref.

Je suis suivie par un psychiatre qui doit me prescrire du concerta, mais en attendant la prescription initiale, je me suis tourné sur un RC le 4F-MPH, c'est comme de la ritaline mais modifié bref je te laisse faire des recherche pour en savoir plus dessus.

En tout cas le 4F_MPH que j'achète en poudre la semaine je le prend par voie oral, en para quoi. Déjà sa enlève ce côté prise de drogue et sa calme le craving. Car en sniff sa agit plus vite mais moins longtemps et t'as envie d'en reprendre assez rapidement.
Je gobe 20mg le matin, 20mg à midi et 20mg en fin de journée.

Je te parle de ça car sa m'a couper l'envie de C et de crack mais vraiment.
Mais soyons bien d'accord je te parle de 4F-MPH car c'est propre à la raison de mon addiction et en aucun cas je te conseil de prendre du 4F-MPH car tu ne semble pas être TDAH.

Bien sur mon psychiatre est au courant de mon utilisation du 4F-MPH en attendant le concerta donc c'est un peu sous contrôle médicale.

En faite je t'ai raconté mon expérience pour te dire que parfois si l'addiction est forte, tu ne peux pas gérer ça tout seul, en plus tu dis que t'as femme est intransigeante, donc elle doit je pense ne pas avoir les bonne qualité d'écoute.

C'est pour ça que j'écris mon expérience, car je rejoins Meuhmeuh en te conseillant de voir un addictologue en tout cas un professionnel qui sera a ton écoute et de là il te proposera des solutions pour stopper les envies de conso.

Il te proposera surement un traitement médicamenteux pour pallier a tes envies et aussi tu pourra voire avec lui pourquoi tu as ce besoin de consommer et surtout tu pourra parler franchement de ton addiction avec quelqu'un qui comprendra et sera répondre a tes questions.

En tout cas arrêter tout seul sans rien c'est vraiment dur sa demande beaucoup de volonté.
Pour mon parcours mon psy a été d'un grand secours.

Bien entendu j'en suis qu'à mes début de l'arrêt mais sa me libère d'un poids.

En tout cas je te souhaite bon courage dans ta démarche et encore une fois je peux que te conseiller de voir un professionnel.

Dernière modification par Anonyme25 (12 mars 2022 à  13:38)

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Zarathoustra homme
Psycho sénior
France
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Inscrit le 27 May 2017
655 messages
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Les rechutes ne doivent être vécues comme un retour au point mort, elles sont là, seront là, ce dans le cheminement que tu as déjà mis en place.

On ne revient pas en arrière, c'est là un point important et souvent un cul de sac.

Déjà il faut enlever toute la honte (je sais je suis passer par là), la culpabilité qui n'ajoute que du tragique et rien d'autres.

Consulte un psy spécialisé dans les TCC, ça marche plutôt bien.

La coke a vraiment un aspect je t'aime moi non plus déroutant. Comme d'autres drogues addictives elle peut t'appeler en 3 secondes alors que tu semblais prêt à l'abandonner, elle chamboule toute cette consolidation de forteresse que l'on se crée autour d'elle. Un verre d'alcool, un journée intense, de l'excitation et hop... elle se manifeste.

Si vraiment tu te sens "possédé" par son pouvoir très fourbe, il te faudra supprimer les numero des dealers, pas simple aujourd'hui. Bref détruire les liens.

La coke, oui, donne ce sentiment de puissance, et les lendemains d'être une grosse merde. Ca va yoyoter en permanence dans ton cerveau.

Dis toi que la coke considérée comme une drogue "addcitive" fais flipper de nombreux consommateurs comme toi, bonne situation pro ou familiale, la grosse frayeur de finir junkies.... mais non, elle n'a cette décadence propre à l’héroïne. On peut tout à fait avoir une situation saine et taper, sans apparaître aux fils des jours,mois années (quoique discutable) comme un zombie.

C'est aussi en dédramatisant que l'on met en place une vraie stratégie.

Passage d'une addiction à une autre... vers les 6 substances magiques en mode total émerveillement.

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Scoxo homme
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France
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Inscrit le 10 Dec 2021
5 messages
Hello,

Je suis à peu près dans le même situation que toi avec la cocaïne. J'ai pu ralentir les conso à partir du moment où j'en ai parlé à ma copine, hyper comprehensive.

Disons que quand tes proches sont bienveillants, je pense que tu peux un maximum les solliciter, faire des activités (rando, ciné..) pour s'occuper l'esprit, bref se tourner vers eux plutôt que sur soi-meme.

J'extrapole certainement à partir de mon vécu, j'espère que ça va quand même t'aider

Bonne soirée

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