Ex alcoolique qui re boit de l'alcool depuis 4 jours...

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LucieEtSesAddictions femme
La codéine et son sevrage petit à petit
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BONJOOOUR !! ??

Pardon de vous déranger, jespere que vous allez bien ??

Jai été donc alcoolique de juillet 2021 jusqu'à Février 2022 !!

Et depuis [4 jours], je rebois (moyennement) de l'alcool (bieres = 1L par jour en 5% dalcool)

Je me demandais :

● en combien de jours (comme ex alcoolique) je risque de redevenir accro à lalcool ? (Ce matin jai la gueule de bois = jai pris un vogalène + failli tout vomir + jai pris un doliprane)

>> Merci à tous le monde ??

Lucie :)

Lucie, hippie ❤️

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Ithuriel homme
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Et bien YOOOOOOO!!!? Alors!


Je crois pas que tu déranges qui que ce soit ici!
Personellement ça va! Visiblement, un peu mieux que toi ce matin au réveil!

Le fameux petit écart, première choses à faire, gomme la responsabilité, ça arrive, je ne sais pas ton rapport par rapport à ça , la question que tu dois te poser, c'est le pourquoi du comment.
Pourquoi une biere par soir depuis 4 jours alors que tu t'en passais avant?
Qu'est ce qui à changé? QU'est ce que tu y trouves? QU'est ce que ça t'apportes? Est ce que ça t'apportes  réellement ce que tu cherches?
Toi seul connait ses réponses.
Tu as, avec l'abstinence eu l'occasion d'avoir un peu de recul avec la susbstance.

Elle est très vicieuse puisque socialement accepté et partout affiché.
Avec l'été, une petite envie d'apéro en se disant, allez on test.. Le lendemain il fait encore plus beau, rebelotte etc .

Alors premières choses que ma neuro psy m'avait dit un jour qui m'avait donné espoir et sourire.
Je parles en connaissance de cause, ça fait 13 ans que j'ai un soucis avec l'alcool, 5 ans que je prends le problème à bras le corps . ( 1 an et demi d'abstinence totale) et depuis novembre 2022,  je fais un peu des hauts et des bas , je gère plutôt la consommation, mais ce produit me dégoute quand même .. Une belle relation Toxique, pire que Mr Kate and Kurt! Aha'

Ce matin, tu te reveilles avec la gueule de bois, alors que tu as bu seulement 1 litres de bières a 5 degrés?
Ca veut dire que ton corps est quand même pas mal détoxifié de cette substance puisqu'il peut plus se permettre d'encaisser.
Voit ça comme une renaissance, mais fait attention, la gueule de bois et le premier signe alarmant de manque d'alcool par le corps.
C'est un prémices de sevrage.

Je suis pas un proféssionnel de santé , je ne sais pas où tu en es toi, alors je ne  veux pas que tu prennes de risques non plus.
A savoir, pour un sevrage, on précaunise une cure de vitamine B ( bévitine )

Je ne peux que te conseiller de faire un ou deux jours sans alcool et voir comment ton corps et ta psyché réagis ( tu auras par contre forcément , quelques petites pensées permissives dans les jours à venir ) ! De la Dopamine à portée, vite vite .
Mais fait attention à toi, c'est insidieux la manière dont ça peut se réinstaller au quotidien.

Je reste dans le coin si t'as besoin de discuter!
Prends soin de toi!

Aujourd'hui si tu peux!
Pas trop de café, infusion Gingembre citron, des bananes et pas trop trop de cuisine au beurre!
Et  bien sûr! 2 litres d'eau!
Take care!
Oublie pas, que derrière chaque dune de ton desert, tu as potentiellement une oasis luxuriante, garde l'espoir, et la bienveillance!

Celui qui se transforme en flacon se délivre de la douleur de l'ivresse!

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Mychkine homme
Artichaut dans une caisse d'oranges
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383 messages
C'est une question à laquelle il est très difficile d'apporter une réponse claire, l'addiction étant un état comportemental dont la frontière avec la consommation raisonnée n'est pas aussi nette et univoque que l'on aimerait à s'en persuader...

Je sais juste que si tu as été dépendante à l'alcool, le temps qu'il te faut pour (re)devenir accro est significativement réduit (toutes choses égales par ailleurs) relativement à quelqu'un qui ne l'a jamais été. De façon générale, plus longue est la session, plus difficile est l'arrêt subséquent et le retour à un fonctionnement "normal" ensuite.

Il serait faux d'affirmer qu'un individu ayant été accro à une substance ne peut en reconsommer sans replonger instantanément, mais d'expérience perso, il faut impérativement veiller à ce que cela reste occasionnel... si on ne veut pas courir le risque de retrouver le confort délétère des anciennes habitudes, que notre cerveau crée (ou retrouve) avec beaucoup de zèle et d'enthousiasme.

C'est pour cela que l'on conseille aux novices (et autres) de ne pas consommer d'opiacés deux jours de suite, par exemple.

Donc plutôt que de se demander en combien de jours on redevient accro (ce qui varie exagérément en fonction des personnes, du contexte et d'un tas d'autres variables, ôtant pas mal d'intérêt à l'exercice) ; plutôt que de chercher à se rassurer et à rationnaliser sur le moment une consommation devenue peut-être problématique ; mieux vaut définir ses limites à l'avance (de façon raisonnable évidemment) et surtout comprendre toute transgression ultérieure comme un signe de danger.

Pour répondre (en partie) à ta question, quatre jours d'affilée à 5 cl d'alcool pur ( = 12,5 cl de vodka) me paraît (à moi qui n'ai jamais été accro à l'alcool et qui ne te connais pas, donc l'avis ne vaut pas grand-chose) effectivement préoccupant. Vu que ta tolérance augmente plus vite que quelqu'un n'ayant jamais abusé du produit, et que tu sais que tu as un penchant pour lui.

Pour les opis, je m'imposais des périodes de pause/sobriété totale dont la durée cumulée était au moins deux fois plus longue que mes jours de conso, ET de ne jamais consommer deux jours d'affilée. Ce qui ne m'a pas protégé d'un début d'addiction à la codéine (où j'ai brisé les règles évidemment)...

J'imagine que se limiter aux jours de fête et ne pas rechercher l'ivresse diminuerait pas mal le risque si tu veux vraiment continuer à pouvoir boire de l'alcool, mais c'est à toi de savoir quel risque tu es prête à prendre.

Bon, désolé pour le pavé, mais c'est pas une question qui se traite en deux lignes...

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Rgs51 homme
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Bonjour,

Pour compléter s'qui à déjà été avancé ici, dit toi que la "rechute" ou reprise de consommation (je préfère ce terme, "rechute" fait pensé à un échec) n'est pas un événement négatif ou un "coup de canif" dans ton contrat moral avec toi même.
Consommer de nouveau suite à une période d'abstinence fait, d'après moi, partie d'un processus, celui qui te conduiras à avoir une autre approche, peut être plus festive que pathologique, de ta consommation !
En tout cas il faut que tu t'approprie ces périodes pour, en essayant d'avoir un peu de recul, prendre en compte, les situations qui te déstabilise et peuvent te mener à une consommation que tu ne souhaites pas ou plus !
L'alcool est un psychoactif puissant et très accrocheur, tu souhaites rester abstinente ou tu veut boire et tenter de gérer ta conso ?

...je ne penserais rien, et l'amour infini me monteras dans l’âme !
A.Rimbaud

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psychodi homme
Pour ma santé :5 weed et j'les fume par jour
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LucieEtSesAddictions a écrit

BONJOOOUR !! ??

Pardon de vous déranger, jespere que vous allez bien ??

Jai été donc alcoolique de juillet 2021 jusqu'à Février 2022 !!

Et depuis [4 jours], je rebois (moyennement) de l'alcool (bieres = 1L par jour en 5% dalcool)

Je me demandais :

● en combien de jours (comme ex alcoolique) je risque de redevenir accro à lalcool ? (Ce matin jai la gueule de bois = jai pris un vogalène + failli tout vomir + jai pris un doliprane)

>> Merci à tous le monde ??

Lucie :)

Bonjour Lucie

dans une perspective de déstigmatisation, je suggère avec bienveillance que tu ne te décrives pas comme "alcoolique" parce que sinon, ça induit des représentations plutôt négatives...et donc aussi potentiellement des réponses qui évoquent l'alcoolodépendance ... alors que la dépendance à l'alcool, c'est très spécifique (ce que souligne Myshkine) : tu écris que tu étais "alcoolique de juillet 2021 jusqu'à Février 2022" (c'est précis, en tous cas) ...donc ça suppose que tu buvais tous les jours des quantités importantes, avec des symptômes de manque le matin (nausées, vomissements, tremblements, sueurs, tachycardie, anxiété) ? Ou alors que c'est une période où tu buvais beaucoup mais sans manque associé ?
Je crois comprendre aussi, par rapport à ce que tu écris, que tu étais donc totalement abstinente depuis février 2022 ...jusqu'à il y a 4 jours... ou j'ai mal compris ?

Si tu étais franchement dépendante PHYSIQUEMENT à l'alcool à une période de ta vie, la reprise de consommation est à risque de dérapage parce que le corps se souvient bien de la molécule éthanol et que les "petites loupiottes misent en sommeil quand on est sobre se rallument assez vite" (dixit une connaissance).
Entre le premier écart qui est gérable puis le grand écart qui se transforme en dérapage plus ou moins contrôlé puis plus contrôlé du tout et le retour à des consommations ingérables (ça, c'est la rechute de mon point de vue), il est temps de rattraper le truc dès les premiers écarts. Tu as l'air d'en être là, tu te poses des questions...que du positif donc !
Je me permets d'écrire tout ça par rapport à ce que j'ai pu CONSTATER autour de moi, je n'ai personnellement pas de souci avec l'alcool (moi, je suis dépendant au cannabis, ça me suffit largement...et les aléas de la dépendance restent des constantes quels que soient les produits, ce sont les conséquences qui peuvent être différentes, là encore de MON point de vue)
Bonne continuation dans ton questionnement
Et tu ne déranges personne sur le forum avec ce genre de question, bien au contraire
Amicalement

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Cela me semble juste et judicieux

il y a des jours étranges
il y a des jours, j'm'étrangle
Surtout...ne pas se biler sur la route...
Psychoactif ? Faut s'abonner là, vite !!

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Hilde femme
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LucieEtSesAddictions a écrit

BONJOOOUR !! ??

Pardon de vous déranger, jespere que vous allez bien ??

Jai été donc alcoolique de juillet 2021 jusqu'à Février 2022 !!

Et depuis [4 jours], je rebois (moyennement) de l'alcool (bieres = 1L par jour en 5% dalcool)

Je me demandais :

● en combien de jours (comme ex alcoolique) je risque de redevenir accro à lalcool ? (Ce matin jai la gueule de bois = jai pris un vogalène + failli tout vomir + jai pris un doliprane)

>> Merci à tous le monde ??


Lucie :)

Bonsoir Lucie,

Je ne saurais pas répondre à cette question te concernant et puis ça dépend aussi de ce que tu entends par accro à l'alcool.

En ce qui me concerne vis-à-vis de l'alcool j'en suis d'autant moins accro que je n'en consomme pas, et d'autant plus accro que j'en consomme régulièrement à condition que ce soit à petite dose car sinon l'état dans lequel ça me met de lourdeur et de fatigue me dégoûte vite. Cela confirme ce que dit psychodi.

L'alcool c'est plutôt agréable à consommer et excessivement facile de le faire tellement les occasions sont nombreuses, aussi, dans les bonnes circonstances tout de suite dès la première gorgée ça déclenche un tas de sensations agréables, et même si je ne bois qu'un verre, le lendemain mon corps aura en mémoire ces sensations et sera tenté d'en redemander. Il y a une boucle de rétroaction positive qui s'enclenche.

A l'inverse quand je m'abstiens après une période de consommation il y a aussi un tas de sensations hyper agréables qui reviennent et chaque jour plus agréables que la veille. Avant il me fallait au moins une semaine pour que l'effet soit vraiment sensible mais maintenant en quelques jours ça fonctionne.

En début de mois, après deux semaines de vacances au cours desquelles je consommais régulièrement un verre par ci ou par là, j'ai passé un WE chez des gens qui buvaient tout le temps, apéro au déjeuner, vin au déjeuner, apéro le soir, vin au dîner, remplissaient des verres non terminés, et jamais d'eau à table. Le contexte était convivial mais c'était beaucoup trop pour moi et difficile d'y échapper même en séchant certaines occasions ou en limitant les quantités ingurgitées. Et en même temps c'était difficile d'y résister car après tout c'était agréable en soi de boire de l'alcool avec des personnes que j'étais contente de voir, tandis que c'est franchement désagréable d'être la seule personne qui refuse un verre et qu'on regarde de travers quand tout le monde boit. Du coup je me suis laissée entraîner et les jours qui ont suivi j'avais à la fois par dégoût très envie de m'abstenir, et en même temps cette petite envie revenue de boire de l'alcool qui me titillait. Dans la semaine qui a suivi j'ai dû boire deux bières et puis rien et depuis je me sens super bien et j'apprécie vraiment de pas m'intoxiquer avec l'alcool.

C'est un ressenti un peu difficile à expliquer et d'ailleurs ça me surprend un peu à chaque fois, mais je pense que c'est un peu l'envers du caractère accrocheur de l'alcool. La dépendance ou la sous-dépendance, le fait d'accrocher,  c'est un truc qui s'installe dès le premier verre tout doucement et alors que la toxicité de l'alcool n'est pas encore perceptible, et s'il n'y avait pas ce côté accrocheur, cette envie d'en redemander, je pense qu'en une toute petite poignée de jours on ressentirait les (d'abord très légers puis de plus en plus perceptibles) effets négatifs découlant de la toxicité et qu'on arrêterait de consommer. Sauf que d'un jour sur l'autre si l'on boit quasi quotidiennement, même peu, c'est la veille qui devient la référence et si la veille est un lendemain de consommation on perd vite le repère de ce qu'est un lendemain "sans", ou un lendemain après une succession de jours "sans", ce qui rend encore plus difficile la perception et la prise de conscience des effets toxiques de l'alcool qu'on pourrait mettre en regard de ses effets agréables, appréciés.

Là je suis en abstinence de fait depuis une semaine je crois et en creux je ne peux que constater que: "whaou qu'est-ce que ça casse l'alcool!", et je n'ai vraiment pas envie d'en prendre (et pas de tentations non plus donc c'est facile à mettre en application).


Donc je pense qu'en reprenant une habitude de consommation quotidienne d'alcool tu peux très vite, dès le deuxième jour en fait, relancer un processus de dépendance, mais par contre tant qu'il s'est peu écoulé de temps depuis que tu as repris tes consommations tu peux beaucoup plus facilement interrompre ce processus que si tu avais une longue dépendance derrière toi, il faut juste faire l'effort d'arrêter, de te dire que tu vas faire une pause le temps que tu te sentes bien de nouveau, et la faire. C'est d'autant plus facile que tu ne te sens pas bien et peut-être éprouves du dégoût?

UN TRUC TRÈS IMPORTANT: qu'apparemment personne n'a relevé jusqu'à présent: il ne faut jamais prendre de paracétamol (doliprane) après avoir consommé de l'alcool, et encore moins pour soigner les conséquences d'un excès d'alcool. La métabolisation de l'alcool sollicite énormément le foie mais le doliprane également, ce qui les rend d'autant plus toxiques pour le foie, avec au pire, risque d'hépatite. 
https://www.vidal.fr/actualites/17879-p … viter.html


Faut pas chercher midi à quatorze heures -
"19 heures c'est un peu tôt"

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bdm1978 homme
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champi vert1champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 01 Oct 2018
48 messages
salut lucie!!!!

je suis touché par ton message, je n'ai jamais consommé beaucoup d'alcool a part du bon vin pour les grandes occasions mais peut être que ce que je vais dire pourra t'aider

j'ai été fou amoureux de la weed pendant 17 ans (je cultivait moi même ma propre consommation) et un jour mon corps m'a envoyer quelques signes (réveils dans le gaz complet, sensations désagréable et j'en passe) comme quoi il ne supportait plus ce que je lui faisait subir

contraint et forcer le 23 septembre 2021 j'ai commencer un sevrage a sec que j'ai très mal vécu (anxiété a un point ou même ce que je mangeait n'avait plus aussi bon gout, cauchemars gore, insomnie, nervosité, pleurs)

aujourd'hui je vais beaucoup mieux et j'ai de temps en temps une voix dans ma tête qui me rappel mes soirées très enfumées et que je devrait peut être m'y remettre mais ma raison me dit que avec tout ce que j'ai subit sa sert a rien, je je vais encore en baver après et que sa sert a rien de se créer des problèmes pour rien (bon... j'ai eu un craquage cbd le 31 décembre 2021 et un peu après mais bon... je pense que mon corps ne supporte plus le cannabis)

je ne fume plus parce que j'ai la trouille de revivre ce que j'ai vécu et de subir une seconde fois ce que j'ai subit en sevrage
certains raconte qu'un sevrage cannabique dure 3 semaines, chez moi ça a durer entre 9 mois et un an (même si les crises d'anxiété était bien plus supportable au bout de 3 semaines)

prend soin de toi...

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Ozora homme
psycho.curieux
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Inscrit le 19 Aug 2022
85 messages
Bien le bonjour.
D'abord, je pense aussi que se caractériser comme "alcoolique" est malheureusement galvaudé négativement...
Tu peux dire éventuellement que tu as eu un trouble de l'usage d'alcool.

Il est important aussi de différencier re-consommation de re-chute.
Ce n'est pas la même chose et toi, et seulement toi, est en capacité (peut être plus tard) de dire ta position.

Es-tu suivi par un addictologue en CSAPA? tu peux aussi en parler à ton médecin traitant si tu te sens d'en parler.

Tiens nous au courant et courage à toi.

Ce n'est pas réel mais qu'est ce que c'est beau !

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randobag homme
Psycho junior
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Inscrit le 06 Feb 2021
240 messages
hello,
Personnellement je n'ai aucun problème à me dire "malade alcoolique" ou même "alcoolique". Je ne me vois pas dire à chaque fois "j'ai un trouble de l'usage de l'alcool".
A nous de faire en sorte que ce ne soit plus connoté négativement. L'alcoolisme est une maladie de la dépendance, je n'en ai pas honte.
Bonne journée
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À chaque périphrase à la con prononcée, Dieu tue un bébé félin domestique. Mr Gr

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Bruno67 homme
Nouveau Psycho
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 17 Jul 2022
118 messages
Bonjour , 

j'ai les capacités cognitives qui ont prit un coup .

Avec l'alcool , ce qui est important c'est de ne pas culpabiliser .

il m'arrive de ne pas boire pendant plusieurs mois , mais je garde toujours une bouteille

de Rhum cachée , çà me rassure .

Bonne continuation .

Bruno .

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prescripteur homme
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Inscrit le 22 Feb 2008
11683 messages
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Bonjour, attention à l'association alcool-paracetamol, surtout à doses "maximales", ou plus, comme le souligne Hilde.

https://theconversation.com/pourquoi-il … ois-169004

Amicalement

Dernière modification par prescripteur (18 septembre 2023 à  11:26)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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