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Depuis des années maintenant, les bienfaits potentiels des drogues psychoactives sont progressivement passés du « non-sens hippie » à la « recherche scientifique ». Des champignons magiques au lait de crapaud psychédélique, il semble de plus en plus clair que les balles trébuchantes peuvent en fait être un traitement assez efficace pour certaines maladies mentales – y compris, suggère une petite nouvelle étude de l’Université de Stanford, celles qui découlent d’un traumatisme crânien (TCC).
“Aucun autre médicament n’a jamais été capable de soulager les symptômes fonctionnels et neuropsychiatriques d’un traumatisme crânien”, a déclaré Nolan Williams, professeur agrégé de psychiatrie et de sciences du comportement et co-auteur de l’étude, dans une étude. déclaration. “Les résultats sont spectaculaires et nous avons l’intention d’étudier ce composé plus en profondeur.”
Le médicament en question est celui dont vous n’avez peut-être pas entendu parler : l’ibogaïne. Il est dérivé des racines de l’arbuste iboga, qui pousse dans le centre de l’Afrique de l’Ouest ; en effet, il a une histoire locale d’usage rituel et religieux remontant à des siècles.
Dernière modification par prescripteur (08 janvier 2024 à 17:30)
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Dernière modification par prescripteur (23 janvier 2025 à 17:01)
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Science/Homme : Le cannabis pourrait réduire le besoin de médicaments contre l'anxiété Dans une étude d'observation longitudinale portant sur 108 adultes souffrant d'anxiété ou d'un syndrome de stress post-traumatique (SSPT), la consommation de cannabis a-t-elle permis de réduire la prise d'autres médicaments ? Les chercheurs de la Public Health Management Corporation de Philadelphie, aux États-Unis, ont demandé aux participants de remplir un questionnaire au début de l'étude et après trois mois. Les résultats indiquent que 59 % des participants ont déclaré prendre des médicaments prescrits pour l'anxiété, et que 70 % d'entre eux ont fait part d'un désir au moins modéré de réduire leur consommation de médicaments. Les participants ont montré une réduction significative de la gravité de l'anxiété entre le début et le troisième mois. En outre, 32 % d'entre eux ont signalé une réduction réelle de leur consommation de médicaments au troisième mois, et les réductions étaient plus probables chez les patients auxquels on avait prescrit des benzodiazépines que chez ceux auxquels on avait prescrit d'autres classes de médicaments. Dugosh KL, Short MM, Syracuse P, McCalmont TR, Lent MR. Anxiety severity and prescription medication utilization in first-time medical marijuana users. Affective Disorders Reports, 2023;14:100671.
Science/Homme — Le cannabis pourrait être utile dans le traitement du trouble de stress post-traumatique. Une série de cas de patients souffrant de troubles de stress post-traumatique provenant du registre britannique du cannabis médical a été analysée. Les chercheurs de l'Imperial College Medical Cannabis Research Group du département de chirurgie et de cancérologie de l'Imperial College London, au Royaume-Uni, ont observé une amélioration de la qualité de vie liée à la santé, qui a été évaluée à 1, 3 et 6 mois à l'aide de mesures validées des résultats rapportés par les patients. Sur les 162 patients inclus, 89 % étaient des consommateurs actuels ou antérieurs de cannabis. Les doses médianes quotidiennes étaient de 5 mg de CBD et 145 mg de THC. Des améliorations significatives ont été observées dans les symptômes du PTSD, le sommeil et l'anxiété sur toutes les périodes de suivi. Il y a eu 220 événements indésirables rapportés par 33 patients, la majorité étant classée comme légère ou modérée en termes de gravité. Pillai, Erridge, Bapir, Nicholas, Dalavaye, Holvey, Coomber, Barros, Bhoskar, Mwimba, Praveen, Symeon, Sachdeva-Mohan, Rucker, Sodergren. Assessment of clinical outcomes in patients with post-traumatic stress disorder: analysis from the UK Medical Cannabis Registry. Expert Rev Neurother. 2022 Dec 12:1-10.
Perso je pense que ma conso de cannabis fait disparaître ces flashs où j'entend le bruit des os qui cassent, disparaitre cette image ignoble de mes os qui percent les vêtements. J'ai toujours cette image, mais elle ne remonte plus de manière incontrôlée, je suis même capable de l'évoquer sereinement comme en ce moment.
Mes souvenirs, blessures, séquelles et cicatrices restent, mais ne me sautent plus à la gueule dans un moment d'angoisse paroxystique.
Dernière modification par Mister No (26 mai 2025 à 21:09)
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[ Forum ] Expériences - Ibogaïne en thaïlande (koh phangan)
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