Au milieu de la crise croissante liée à l’utilisation de méthamphétamine, une étude de l’Université de la Colombie-Britannique suggère que le cannabis pourrait être un outil utile pour réduire les envies de crystal de méthamphétamine. Explorez comment le cannabis peut jouer un rôle crucial dans la gestion des dépendances et offrir de nouvelles perspectives pour la réduction des risques.
Statistiques Alarmantes et Besoin de Solutions
Les taux de visites aux urgences liées aux amphétamines ont augmenté de manière spectaculaire au Canada, et aux États-Unis, les arrestations pour possession de méthamphétamine ont connu une hausse significative. Découvrez comment le cannabis pourrait être une réponse prometteuse à cette crise.
Résultats de l’Étude UBC : Cannabis et Gestion des Envies
Les chercheurs de l’UBC ont examiné l’utilisation du cannabis pour gérer les envies de stimulants, en mettant particulièrement l’accent sur les utilisateurs quotidiens de crystal de méthamphétamine. Les résultats montrent une corrélation significative entre la consommation de cannabis et la réduction de l’utilisation de stimulants.
Oubliez les idées préconçues sur le cannabis en tant que drogue passerelle. Cette section explore comment le cannabis peut être un outil efficace de réduction des risques, offrant des solutions potentielles dans la crise actuelle de toxicité des drogues. Stratégies de Réduction des Risques : Substitution du Cannabis
Comment le cannabis peut-il être utilisé en remplacement d’autres substances à haut risque? Découvrir comment la substitution du cannabis émerge comme une stratégie courante de réduction des risques, ouvre la voie à des discussions cruciales sur la santé publique.
En utilisant des données issues d’un questionnaire rempli par des individus consommant simultanément du cannabis et des drogues non réglementées, les chercheurs de l’UBC ont constaté que 134 participants (45.1%) rapportaient utiliser le cannabis pour gérer les envies de stimulants. Bien que la consommation de cannabis pour gérer les cravings soit significativement associée aux utilisateurs quotidiens de crystal de méthamphétamine, elle ne présente pas d’association significative avec la réduction de la consommation de crack/cocaïne chez les utilisateurs quotidiens.
Appel à des Études Approfondies et Perspectives d’Avenir
Bien que les résultats de l’étude soient prometteurs, les chercheurs soulignent l’importance de recherches approfondies pour comprendre pleinement le potentiel du cannabis. Plongez dans les implications futures de cette étude et de son impact sur la gestion des dépendances.
Explorer le Rôle du Cannabis dans la Crise des Surdoses
Outre son rôle potentiel dans la gestion des envies de méthamphétamine, comment le cannabis pourrait-il contribuer à résoudre la crise des surdoses? Cette section élargit la discussion pour inclure d’autres aspects de la crise actuelle et explore les domaines où le cannabis pourrait jouer un rôle crucial
J'ai découvert cet effet anti-craving avec justement de la coke il y a longtemps dans les années 2000. Le terrible craving qui tombe dès que je touchais à ce produit soit en le fumant sous forme de crack, soit en l'injectant.
C'était après une après-midi et une nuit blanche passée à consommer et à jouer au chien renifleur dans la moquette des fois que ....... 9 heures du mat, j'appelle le dealer qui le dit : "pas de souci". Je prends ma veste et mes clefs et avant d'y aller, je me roule un gros spliff de ce qu'on appelait "La crème". Du très bon shit, je passe à la banque en vitesse retirer du casch et me dirige vers la porte d'Orléans (Paris), les 10 minutes qu'a duré cette première partie ont aussi vu al fin du spliff. Et là, Zorro est arrivé ! J'ai mis mon clignotant pour me garer, me suis garé et ai commencé à réfléchir à ce que j'étais en train de faire, comme si j'étais monté sur une escabeau et me regardait agir. J'ai mis mon clignotant pour me garer et pris quelques minutes de réflexion. 5 minutes passées et je roulais en sens inverse pour aller me coucher. C'était en 2001 je crois.
L'effet est resté gravé au fer rouge dans ma mémoire tellement c'était clair et net : le cannabis détruisait le craving et cela a fonctionné avec les amphétamines et la méthamphétamine.
J'ai cité cet effet fort sur moi dans pas mal de thread parlant du craving ou je nomme le DAB de BHO comme un bon moyen pour casser tout craving sur moi.
Il s'est passé 23 ans depuis cette découverte et je ne m'en sers plus, l'âge m'ayant fait comprendre que je payais de plus en plus cher les redescente de ces produits, j'ai arrêté de m'en servir cherchant plus la stabilité retrouvée grâce à la méthadone que l'orgasme qui laisse la langue pendante.
J'ai saisi un ensemble d'études faites sur sevrages et cannabis sur le site de Principes Actifs. Toutes ces études sont regroupées dan la partie Aide au sevrage
Aussi utile aux drogué heureux qu'aux drogués malheureux, prennez le sujet aiu sérieux. Le cannabis ne fait pas que rendre fous le jeunes personnes qui y touchent, il peut soigneur aussi et pas mal de choses.
Il y a quinze ans, je n'aurai pas pu écrire ce post sans me prendre la loi qui interdit de parler du cannabis de façon positive. Ceci a commencé qu'en 2009, lorsqu'a été organisé dans les bureaux d'Asud une conférence de Presse avec le témoignage d'une bonne dizaine de malades se soulageant grâce au cannabis (un des participants, tétraplégique intervenais par téléphone. La presse était là, les RG et stups aussi. Cet évènement a été fondateur d'un mouvement de constitution d'associations de malades utilisant le cannabis en tant que médicament en plus du CIRC qui lui se battait pour le récréatif.
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salut, j'ai moi même décrocher de la mdpv, grâce au couple shit+ de temps en temps en combo avec du kratom fort, juste occasionnellement, je consommais la mdpv de façon plus ou moins occasionnel, mais le g y passais à chaque fois que je mettait le nez dedans , j'en avais pour plusieurs jours.
par contre je n'avais à ma disposition que du mauvais shit, c'est pour ça que j'ais potentialiser avec le kratom. le kratom seul ne me conviens pas du tout cela dit.
avec de la beuh de bonne qualité ce se serrais mieux passé, je pense.
je ne saurais vous dire les détailles car ma memoire à occulté cette partie de ma vie mais pas que.
Dernière modification par PSYCHOCRACK (18 mars 2024 à 07:47)
Certains addictos nommaient le cannabis "drogue de renoncement" dans les années 90 il me semble ou avant peut-être. Je pense que l'utilisation des cannabinoides peut aider aussi pour les opis, l'alcool en plus des stimulants. Pour l'alcool, j'ai l'exemple d'un poto imbibé fortement quotidiennement sur plusieurs décennies qui consommait aussi du cannabis mais... Il fumait quotidiennement ou presque mais pas avant ou pendant qu'il buvait pasque ça limitait son appétence pour l'alcool. Il ne voulait pas du cannabis comme limitateur de dose d'alcool. Perso, le vendredi avec mon namoureuse, on se programme un petit apéro. Je buvais beaucoup avant, mais j'aime toujours m'arsouiller. Je me serre un premier verre, je claque un joint, me revase un second verre....qui finit en général dans l'évier. Plus envie ! Le cannabis est dangereux, il sabote mes apéros. Je plaisante, cela me va bien ainsi.
Dernière modification par Mister No (20 mars 2024 à 18:33)
Ce rapport confirme ce que j'ai déjà perçu : Le THC n'est pas une drogue d'initiation, mais au contraire, il aide à arrêter.
Quand j'ai arrêté l'héroïne, j'ai eu des problèmes d'agitation et d'insomnie. J'ai même envisagé de recommencer. Puis j'ai pris du THC et je me suis soudain senti mieux. Aujourd'hui encore, lorsque j'ai des problèmes de sommeil, je préfère fumer un joint plutôt que de prendre des somnifères, car j'essaie de ne pas prendre de produits chimiques inutilement.
Une de mes connaissances avait des problèmes d'alcool et a réussi à s'en sortir grâce au THC.
Nos échanges m font penser à un slogan que je trouvais assez chouette, vrai et contredisant toute théorie de l'escalade : "Les drogues dites "dures" m'ont amené au cannabis".
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