[ Expériences ]

Impression sur la musique après truffes psylocib

Hello,

Bonjour et bienvenue,

sur moi chaque produit produit une écoute différente de la même musique avec en première découverte dans ma vie, un gros joint suivi d'un Frank Zappa des années 70 et je partais loin, loin, très loin.
Avec l'acid (LSD) si osmose avec la musique les visuels se mettaient en accord, les opiacés opioïdes ne m'ont jamais fait plonger fort dans le son, à part quand j'ai croisé ma copine Colette revenue de Bankok avec les bottes pleines de blanche et venue écouter le concert des Dammed en 1977 (groupe punk) au Bataclan, seul concert passé allongé par terre.
Sinon, les stimulants de toutes sortes se marient bien avec le son et bien sûr les champignons ....

Un truc splendide avec al musique quand cela fonctionne : lors de sevrages hospitaliers d'héroïne, j'avais avec moi un baladeur Sony et quand vers 13 heures, je m'asseyais sur les rebords de fenêtre au soleil et branchait une cassette de Prince qui me déconnectait dans l'instant des soucis du manque et me faisait partir ailleurs le temps des 2 faces de la cassette. Musicothérapie ? certainement.

Ne te tracasses pas, ça sert à rien du tout. Prends ce qui vient comme ça vient, surtout en ce qui concerne les émotions que tu peux trouver dans toute musique. Pas besoin de savoir comment fonctionne le courant électrique pour allumer une lampe.

J'ai croisé tous types de gens. Certaines personnes n'ont pas l'oreille développée comme nous et même l'intro de Shine on Your Crazy Diamond de Pink Floyd live ne les émeut pas. 

Amicusiquement

Fil - Amateur aussi de toutes musiques, un art incroyablement cosmopolite