Questions sur le LSD [ Effets secondaires durables, consommation raisonnable ]

Publié par ,
200 vues, 8 réponses
#bad trip #effets secondaires #fréquence de consomation #LSD
Emma_mela femme
Nouveau membre
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 12 Sep 2025
2 messages
Bonjour les Psychoactifs !

Voulant tester le LSD, j’ai entamé une phase de recherche. Je pensais en avoir fait le tour, jusqu’à tomber sur plusieurs forums ne relatant quasiment que des bad trips, des témoignages de vies détruites, etc.

Je suis évidemment consciente que la consommation de LSD comporte des risques, surtout en cas de troubles psy sous-jacents. Mais je me demandais : est-ce que les bad trips et les effets secondaires durables (paranoïa, dépression...) sont si fréquents que ça ? Ou est-ce simplement parce que les expériences négatives sont davantage partagées, ce qui donne l'impression que c’est monnaie courante ?

Par ailleurs, j’ai du mal à trouver des données sur ce qui serait une consommation « raisonnable ». Si certaines personnes ici, n’ayant a priori pas de séquelles, pouvaient partager leur fréquence de consommation et leurs dosages, ça m’aiderait beaucoup.

Merci d’avance à celles et ceux qui prendront le temps de répondre !

Hors ligne

 

avatar
elonnx homme
Psycho junior
champi vert22champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 10 Aug 2018
235 messages
Blogs
Salut,

Le LSD est pour ma part un produit incroyable à bien des niveaux.

Pour se familiariser avec, je conseille toujours, pour les premières prises, d'y aller crescendo : commencer par une faible dose (ou partager un bon carton en 4 par exemple), ce qui permet de voir la nature des effets et leur durée. Entre 8 et 12h c'est long au début.

Le set and setting est primordial : ou / quand / avec qui / dosage.

Le problème c'est que beaucoup de cartons sont sous dosés par rapport à ce qui est annoncé par les vendeurs, certaines personnes pensent prendre des grandes doses et dès qu'ils tombent sur un vrai dosage se font surprendre.

Ce que je trouve intéressant c'est justement de moduler le dosage en fonction du trip que l'on veut passer. Le microdosage me permet de réaliser un travail psy / intérieur très efficace tout en étant capable de vivre mes journées "normalement" (je l'utilise surtout lorsque je pars en rando).
Cela permet d'ouvrir mes sens à la nature et me reconnecter avec elle plus profondément que sobre et le côté stimulant du L à faible dose me permet de me dépasser physiquement.

Les plus gros trips je les réserve pour un moment à partager avec un.e ami.e dans un contexte ou nous n'avons aucun impératif, dans un lieu ou nous pouvons librement explorer et délirer sans nous retrouver en pleine ville par exemple, avec tous les stimulis extérieurs qui peuvent être oppressants. J'ai déjà eu des sacrés bons trips en ville c'est pas le souci mais j'aime ne pas à avoir à gérer de contraintes non voulues maintenant.

Au dela des pathologies psy sous-jacentes, si l'on explore doucement cette molécule avec patience il y a de belles choses à vivre.

Un trip non préparé peut amener des sensations d'angoisse, des pensées qui bouclent et un badtrip (ou en tout cas quelques heures bien inconfortables mentalement) assez facilement.
Par exemple, me retrouver enfermé dans un petit lieu comme une chambre sans pouvoir sortir (famille présente) c'est clairement pas le bon plan (pour moi) et le temps devient très long.

Evidemment avec l'expérience on apprend à lacher prise et être capable de mieux gérer les imprévus sous L mais un trip non préparé, trop fort pour un début peut amener au badtrip c'est sur.

Un gros trip, ça marque. Pour ma part ça me calme. Il m'est impensable de vouloir repartir dans un gros voyage directement (ou même sous quelques jours) après être redescendu du précédent. J'ai une conso assez instinctive, je vais en avoir envie quelques mois par an, puis ensuite ne plus en ressentir le besoin sur le reste de l'année. Pareil pour le microdosage qui est plus ou moins régulier selon la période de l'année.
Peut-être qu'avec le temps je suis plus conscient de quand je peux et de quand je ne peux pas (vie trop chargée, stressante, etc...).
Difficile de te dire ce qu'est une conso raisonnée de L mais niveau tolérance il faut bien 15 jours pour qu'elle redescende complètement, quoi que je m'autorise ponctuellement deux prises espacées d'une semaine qui ont grosso modo les mêmes effets. (mais c'est rarement deux gros voyages, plutôt des plus petits).

Ce qui est intéressant pour ma part c'est que plus les années passent moins je ressens le besoin de trop charger et j'apprécie de plus en plus les petits dosages qui fonctionnent bien avec mon quotidien.

N'hésite pas si tu as d'autres questions :)

Dernière modification par elonnx (Aujourd'hui à  06:53)


« Je ne vois pas pourquoi je devrais renoncer à ma bêtise et adopter la leur, je ne veux pas couper ma vie en deux, je veux que ma vie à moi soit une, d’un bout à l’autre » Kundera

Hors ligne

 

ced2525 homme
Nouveau membre
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 25 Sep 2025
16 messages
Bonjour je n ai jamais consommé de lsd. Mais ayant des gros problèmes de dépression et d angoisse tu crois que le micro dosage pourrait m aider car actuellement je suis sous traitement mais cela ne m’aide pas beaucoup. J ai vu une étude sur le micro dosage et apparemment sa pourrait être efficace quel est ton avis.
Merci de ta réponse

Hors ligne

 

avatar
elonnx homme
Psycho junior
champi vert22champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 10 Aug 2018
235 messages
Blogs

ced2525 a écrit

Salut,

De mon expérience je suis assez convaincu par le microdosage du L sur la dépression mais cela dépend de ton traitement (qui peut bloquer les effets du L).

Néanmoins il ne s'agit pas d'un "traitement" miracle, dans le sens ou pris seul il permet d'obtenir un petit boost au moral mais ne se suffit pas à lui même.

J'essaie de l'utiliser comme "tremplin" pour accélérer la neuro-plasticité du cerveau, à savoir pour accompagner des petits changements de routine du quotidien et tenter de les ancrer pour les rendre durables :

-> Retrouver une petite activité physique (comme je le mentionne plus haut) même s'il s'agit au début de simplement s'aérer en marchant. J'aime beaucoup "l'effet dopant" des microdoses lorsque je fais du sport.
-> Retrouver le goût de bien manger (si la dose est assez basse, elle me donne envie de cuisiner des bons plats).
-> Je trouve aussi que la microdose me permet de retrouver une meilleure aisance et spontanéité sociale (et donc d'améliorer un peu mon rapport avec le monde qui m'entoure).

Donc j'essaie de jouer avant tout sur les piliers qui me semblent essentiels (activité physique, nutrition, sommeil, petites interactions sociales agréables) pour une régulation naturelle du corps en lui fournissant les bons carburants pour qu'il s'équilibre de nouveau petit à petit. Tout cela se construit tout doucement et dépend aussi de l'intensité de ta dépression et de sa durée. Le LSD vient en plus comme catalyseur.

C'est donc un bon petit boostant qui me permet de me reconnecter à mon corps, à moi même mais n'est pas une fin en soi...

J'ai aussi toujours eu un accompagnement psy à côté (mais j'ai une super psychologue pour le coup).

Je ne suis pas du tout docteur / ni dans le milieu médical donc ce que je dis n'engage que moi :

Les traitements classiques peuvent être une bonne béquille pour gérer les symptômes les plus hard d'une dépression mais après quelques mois, quelques années? S'ils permettent de me couper de moi même pour une gestion du quotidien plus facile, je pense qu'ensuite le LSD en microdose me permet de remettre la machine en route tout doucement. Des sens (vue, ouie, toucher, etc) qui sont boostés durant les effets de la microdose -> qui me font ressentir un peu plus vivant -> me donnent une envie de sortir marcher dans la nature, de créer, de rigoler un peu plus (ce n'est pas un miracle qui arrive dès la première prise bien entendu).

Le point positif d'une microdose, à mon sens, c'est qu'elle couvre une journée entière de part la durée du LSD, je trouve cela plus pertinent que les champis mais encore une fois c'est ma issu de ma propre expérience.

Il y a plusieurs protocoles de théorisés mais je préfère m'en tenir à 3 fois par mois maximum (tous les 10 jours au début) puis baisser à 2 fois par mois ensuite.
L'idée c'est de ne pas dépendre psychologiquement de cette béquille mais de la garder en supplément. Ne pas tomber dans le "sans microdose je n'y parviens pas donc j'en ai besoin pour mieux vivre et ressentir"

Je ne peux absolument pas affirmer que cela fonctionne pour tout le monde, ni sur les dépressions sévères, à essayer avec parcimonie au début et de se fier à son ressenti est essentiel.

Dernière modification par elonnx (Aujourd'hui à  09:49)


« Je ne vois pas pourquoi je devrais renoncer à ma bêtise et adopter la leur, je ne veux pas couper ma vie en deux, je veux que ma vie à moi soit une, d’un bout à l’autre » Kundera

Hors ligne

 

ced2525 homme
Nouveau membre
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 25 Sep 2025
16 messages
Merci beaucoup de ta réponse sa ma beaucoup aidé apres j ai pas mal de traitement anxiolytiques antidépresseur je ne sais pas si sa va marcher mais je crois que je vais essayer.  Après au point j en suis. Mais merci beaucoup des conseils que tu m’a donné.

Hors ligne

 

avatar
Cub3000 homme
Plantigrade psychonaute
champi vert31champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 06 Feb 2019
1102 messages
Blogs

Emma_mela a écrit

Bonjour les Psychoactifs !

Voulant tester le LSD, j’ai entamé une phase de recherche. Je pensais en avoir fait le tour, jusqu’à tomber sur plusieurs forums ne relatant quasiment que des bad trips, des témoignages de vies détruites, etc.

Je suis évidemment consciente que la consommation de LSD comporte des risques, surtout en cas de troubles psy sous-jacents. Mais je me demandais : est-ce que les bad trips et les effets secondaires durables (paranoïa, dépression...) sont si fréquents que ça ? Ou est-ce simplement parce que les expériences négatives sont davantage partagées, ce qui donne l'impression que c’est monnaie courante ?

Par ailleurs, j’ai du mal à trouver des données sur ce qui serait une consommation « raisonnable ». Si certaines personnes ici, n’ayant a priori pas de séquelles, pouvaient partager leur fréquence de consommation et leurs dosages, ça m’aiderait beaucoup.

Merci d’avance à celles et ceux qui prendront le temps de répondre !

Salut !

Je vais commencer par mettre un bémol sur la question des témoignages d'expériences catastrophiques, sur des forums ou ailleurs (la littérature sur les drogues foisonne de ce type de retours) :

D'une part comme tu le suggères, il y a un biais, qui est qu'on vient plus fréquemment sur un forum témoigner d'une galère, d'une expérience difficile, demander de l'aide et du soutien, que raconter une expérience positive. La grande majorité des expériences psychédéliques sous LSD se passent bien, mais dans ce cas les retours sont relativement peu fréquents, alors qu'une personne qui aura fait un bad trip éprouvant, ou qui expérimentera des effets indésirables comme un syndrome hallucinatoire persistant ou une réaction psychotique sera plus encline à venir en parler en espérant trouver une réponse à son angoisse ou au moins le soutien d'une communauté d'usagers.

Ensuite, si tu examines un peu ces retours d'expériences négatives, tu remarqueras que souvent (pas systématiquement mais très majoritairement), elles sont le fait de personnes inexpérimentées, qui se sont lancées dans l'aventure sans tenir compte des recommandations basiques de réduction des risques : souvent elles ont surdosé, ou négligé les notions de set et de setting (le contexte et l'état d'esprit au moment de la prise), parfois même elles ont pris l'acide sans avoir aucune idée de l'expérience dans laquelle elles s'engageaient. Par exemple récemment est sorti un bouquin qui a fait un peu de bruit, intitulé "LSD, la nuit dont je ne suis jamais sorti", très diabolisant à l'égard de la substance, alors qu'il suffit de regarder les conditions dans lesquelles le trip épouvantable vécu par l'auteur a été effectué, pour comprendre qu'il s'agit d'une expérience faite par un ado qui voulait faire le mariole, sans aucune notion de set, de setting, de dosage, sans aucun accompagnement, sans savoir même dans les grandes lignes ce qui pouvait lui arriver. Pas étonnant du tout dans ces conditions que l'expérience hyper-violente qu'il a vécue l'ait profondément traumatisé.

Enfin, selon les sites que tu as consultés, il se peut qu'il y ait une orientation idéologique. Tu ne trouveras pas le même genre de retours sur une plateforme d'autosupport comme ici, ou sur un forum d'usagers repentis prônant l'abstinence comme seule option et diabolisant indistinctement tout usage de substance.

Maintenant concernant les bad trips : tout dépend de ce qu'on appelle un bad trip. par définition l'expérience psychédélique est déstabilisante, dans le sens où notre cerveau sous LSD se met à fonctionner très différemment. Par conséquent, on se met à considérer la réalité sous des angles complètement inhabituels, et notamment ça peut profondément modifier la manière dont on envisage sa propre identité, son propre moi. Parfois c'est difficile. Personnellement, il est rare que je fasse un trip assez conséquent (c'est à dire ni une microdose, ni même un dosage léger) sans devoir passer par des zones de turbulences, des moments un peu pénibles, des remises en question.

Le LSD n'est pas un euphorisant automatique : ça peut heureusement être une expérience très joyeuse, lumineuse, fun, mais c'est rarement uniquement ça. Ça implique de savoir traverser des moments moins plaisants. Pour ça, encore une fois les notions de set et de setting sont centrales. Pour schématiser ça va être plus facile à vivre dans un contexte agréable et chaleureux, en compagnie de personnes en qui on a confiance, que dans une zone industrielle par temps de pluie entouré de parfaits connards wink Pour la première expérience, avoir un tripsitter expérimenté, compréhensif et pas envahissant peut énormément aider, mais ce n'est pas non plus obligatoire, tripper avec un ou des amis de confiance peut suffire. La notion de lâcher prise est aussi centrale, et il existe des techniques simples pour ça :

- Ne pas avoir trop d'attentes en amont de l'expérience : il faut pouvoir se laisser surprendre par le trip, qui ne ressemblera de toute façon sans doute pas à ce qu'on imaginait.
- Accueillir les effets sans les combattre, sans lutter, sans jouer à "ça me fait rien votre truc".
- Si l'expérience prend une tournure moins agréable, c'est pareil : on ne lutte pas, on accueille, on se laisse traverser par les ressentis, en essayant de ne pas bloquer dessus. Ils sont transitoires, et dans tous les cas il ne faut jamais oublier qu'on est sous l'influence d'une substance dont l'effet se dissipera dans quelques heures.
- Savoir bien respirer, d'une respiration profonde, ventrale, ample, aide beaucoup.

Pour moi, traverser pendant le trip une zone de perturbation n'est pas synonyme de bad-trip : ça fait juste partie de l'expérience, et on en sort souvent en se connaissant mieux et en ayant gagné des billes pour mieux gérer ses propres conflits, ses angoisses...C'est indéniablement là que réside l'intérêt thérapeutique du LSD.

La plupart des expériences sous acide se jouent plutôt dans ces eaux là. Ce qui est moins fréquent mais peut arriver aussi, c'est que l'expérience prenne un tour vraiment cauchemardesque, mais encore une fois c'est rarement le fait du hasard. Ça arrive par exemple quand on dose trop fort et qu'on panique à la montée, ou quand on se lance dans l'expérience alors qu'on est pas dans les bonnes conditions pour (fatigué, déprimé, mal dans ses pompes pour une raison ou une autre...) et qu'on réalise qu'on va devoir faire face pendant au bas mot 8h (et le temps est une notion très, très relative sous LSD...). Le LSD n'est pas du tout une drogue qui aide à fuir ses problèmes...

Parfois on arrive à surmonter le flip initial et ça finit par bien se passer. Parfois on ne peut pas et ça peut devenir un voyage en enfer, profondément traumatisant. Mais, encore une fois, c'est assez rare et ça arrive encore plus rarement sans raison. D'où l'utilité d'un petit moment d'auto-examen avant de se jeter dans le grand bain. Où est-ce que j'en suis dans ma vie ? Est-ce que je fais face à mes difficultés ou est-ce que je suis dans l'évitement ? Comment je me sens globalement en ce moment ? D'après mon expérience il n'est pas obligatoire de péter la forme pour prendre du LSD, mais je ne le conseillerais pas à quelqu'un qui se sent au fond du trou non plus, excepté dans un contexte thérapeutique pour l'instant difficilement accessible en France.

Si vraiment ça se passe très mal et qu'on n'arrive pas à s'en dépêtrer, je pense qu'il ne sert à rien de s'infliger des plombes de torture mentale : dans ce cas, une benzodiazépine peut être un secours précieux. Ce n'est pas magique, contrairement à l'idée reçue ça n'arrête pas tout net les effets du LSD mais ça fait ce pour quoi c'est fait : ça atténue l'angoisse. Perso j'ai un assez gros gabarit donc ce n'est pas un exemple à suivre les yeux fermés mais clairement, 30mn après un Seresta 50, trip ou pas, je dors.

Pour finir : la question de la "consommation raisonnable" est très personnelle en fait. On est pas tous égaux devant la substance et c'est donc difficile de proposer un modèle valable pour tous. Parfois même les recommandations de RdR peuvent être un peu normatives, surtout concernant une substance très peu toxique, dont l'impact somatique est vraiment faible. Donc tout ce que je peux te conseiller, c'est, d'une part, de laisser le temps à la tolérance immédiate au produit de revenir à un niveau plancher (ça prend plus ou moins 10 jours) avant de reconsommer, pour éviter de cumuler des expériences incomplètes et peu satisfaisantes qui risquent de te donner envie de pousser les dosages imprudemment, et d'autre part de laisser à ton psychisme le temps d'intégrer les expériences (et ça, c'est toi seule qui peut l'évaluer). D'ailleurs en général quand on fait un trip vraiment puissant et significatif, on a pas spécialement envie d'y revenir tout de suite, ça impose respect et recul pour assimiler ce qui s'est passé.

Be safe
drogue-peace

Dernière modification par Cub3000 (Aujourd'hui à  13:56)

Reputation de ce post
 
Super le complément d’infos

...and we got to get ourselves back to the garden.

Hors ligne

 

avatar
marvin rouge homme
Delysid man
champi vert2champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 05 Jun 2012
2838 messages
Le LSD c'est mal lol lol

C'est juste une substance, comme tt produit psychoactif, a prendre dans de bonne conditions

Cub3000 l'a très bien expliqué, comme toujours..

C'est un produit magique, ms il faut, surtout pour sa première prise, être ds un bon mood, ne pas avoir d'antécédents psychiatrique ds la famille, et être ds un bon état d'esprit

ne surdose pas, va y Mollo la première fois, ne pas se faire violence.
Si il y a bien une (ou plein de substance psychédélique) a prendre qd ça roule, c'est une de celle là

(Ne pas prendre exemple sur moi lol)

Tu pourrais auparavant, avant de se prendre une vraie rouste a l'acide,
prendre 1/4 de carton, qq champi, ou 5 a 10 mg de 4ho met, qui est un psyché très abordable a petite dose..
( a petite dose hein, qq tu monte les dosage c'est autre chose)
Tu verra si tu est compatible avec les psyche
Après tu pourra faire d'autres paliers

va y Crescendo
Tu a tt le temps pour devenir une psychonaute aguerrie

Acid orange

Hors ligne

 

ced2525 homme
Nouveau membre
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 25 Sep 2025
16 messages
Bonjour j ai lu des sondages que le lsd ou  champi pourrai aider contre la dépression en   tentrive de sucide et plusieurs traitement qui ne fonctionne plus. ( depuis quelque années à 3 seresta de 50par jour mais plus aucun effet 150 mg de venlacaxine anti dépresseur qui fonctionne plus. Étant plusieurs doit en hospitalisation je voudrai quand même voir 1|4 d un buvard ou moins mais ce que je voudrais c’est laisser mon passé de côté et pouvoir profiter de la  vie

Hors ligne

 

ced2525 homme
Nouveau membre
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 25 Sep 2025
16 messages
Désolé des problèmes pour écrire dans mon état

Hors ligne

 

  • Psychoactif
  •  » Forums 
  •  » LSD 25
  •  » Questions sur le LSD [ Effets secondaires durables, consommation raisonnable ]

Remonter


Pour répondre à cette discussion, vous devez vous inscrire

Sujets similaires dans les forums, psychowiki et QuizzZ

logo Psychoactif
[ Forum ] LSD : effets secondaires, bodyload désagréable qui casse un peu mon trip
par bloodistory, dernier post 21 mars 2019 par bloodistory
  3
logo Psychoactif
[ Forum ] Flash back (retour d'acide) - Effets secondaires du LSD
par Desuxx, dernier post 02 juin 2019 par janis
  1
logo Psychoactif
[ Forum ] Effets secondaires - LSD et effets secondaires inattendus
par lxnaipxl, dernier post 22 févier 2018 par MushRocks
  3
logo Psychoactif   [ PsychoWIKI ] Les Lysergamides
logo Psychoactif   [ PsychoWIKI ] LSD, effets, risques, témoignages

Pied de page des forums