
Dernière modification par Stelli (Aujourd'hui à 18:14)
Hors ligne

LaRieuse17 a écrit
Bonjour !
J'essaye de diminuer l'alcool (ça doit être l'une de mes phrases préféré ça, je la sort toutes les semaines...)
Mais j'ai un problème et je penses que je ne suis pas la seule. Je n'arrive pas à faire des courses sans acheter de l'alcool. Soit je craque pour une bouteille d'alcool fort, soit je me persuade d'être raisonnable en prennant de la bière (même quand je sors du carrefour avec un joli fut de goudale).
Heureusement je vis avec ma compagne, mais ça m'enerve vraiment de ne pas pouvoir faire des courses seule.
Est-ce que quelqu'un à des petites astuces pour ne pas craquer dans les supermarchés ?
Note : En vrai c'est abusé que ce soit vendu en grande surface.
Salut,
Ohlala, je vois bien ce que c’est. J’ai réussi à m’en sortir. Mais j’ai bien connu ça, jusqu'à même trouver la bonne excuse de la boîte d'œuf, ou la brique de lait indispensable pour vite filer au supermarché du coin avant la fermeture et bien évidemment revenir avec une grande bouteille de bière.
Sans compter les chaînes de boulangerie qui sont ouvertes 7 jours sur 7 jusqu'à 19h30 et qui vendent bière, vin blanc et rouge. C’est vraiment très hard de s'en sortir avec autant de choix à portée de main.
Je n’ai pas trouver de petites astuces pour en sortir. Il m’a fallu une grande prise de conscience suivi de l'arrêt net de toute consommation en semaine.
Le soutien de ta compagne est hyper important.
Quelle est ta consommation au quotidien ?
Hors ligne

elleetanto a écrit
Ohlala, je vois bien ce que c’est. J’ai réussi à m’en sortir. Mais j’ai bien connu ça, jusqu'à même trouver la bonne excuse de la boîte d'œuf, ou la brique de lait indispensable pour vite filer au supermarché du coin avant la fermeture et bien évidemment revenir avec une grande bouteille de bière.
Sans compter les chaînes de boulangerie qui sont ouvertes 7 jours sur 7 jusqu'à 19h30 et qui vendent bière, vin blanc et rouge. C’est vraiment très hard de s'en sortir avec autant de choix à portée de main.
Je n’ai pas trouver de petites astuces pour en sortir. Il m’a fallu une grande prise de conscience suivi de l'arrêt net de toute consommation en semaine.
Le soutien de ta compagne est hyper important.
Quelle est ta consommation au quotidien ?
Le carrefour le plus proche de chez moi ferme à 22h30, c'est un vrai piège ça... Moi souvent j'ai très envie de boire, alors je me dis qu'à la place, je vais aller m'acheter une bonne dose de trucs sucrés, mais au final, une fois dans le magasin, je prends de l'alcool.
Oui ma compagne c'est la meilleure ! Des fois j'achête uen bouteille puis direct après, je lui demande de la cacher. Aucun jugement, aucune question.
Ma consommation varie et est chaotique depuis très jeune (j'ai commencé à me mettre des grande dose à 12 ans). J'enchaine les mois de consommations très intenses, à une consommation quotidienne "modéré", à un arrêt partiel voir totale. Mais même après des mois de sobriété, je finis toujours par boire de nouveau.
En ce moment, j'ai une consommation quasi quotidienne mais modéré (une ou deux bierre) avec des craquage où je part soudainement descendre 1l de tequila en une heure. C'est nottament ça que j'aimerais évité quand je fais mes courses. J'achête une bouteille d'alcool fort en me disant qu'elle servira à plusieurs soirée, et une heure après, j'ai la tête dans les toilettes
Hors ligne

Dernière modification par psyr (Aujourd'hui à 15:29)
Hors ligne

psyr a écrit
Ça me fait penser aux rayons bonbons. Il y a bien longtemps, c'était dur de ne pas en acheter ou d'en chourer.
Ouais j'ai ça aussi avec le sucre, mais quand je pars sur une crise d'hyperphagie, je me rabas davantage sur la salé maintenant, le sucre brule, et c'est plus dur de s'arrêter avans la crise de foie.
psyr a écrit
Bref, un mini HS pour dire qu'avant même de rentrer dans un magasin j'en parle avec moi même, le plus honnêtement possible afin de me fixer des limites, quitte à faire une mini introspection au préalable :
Et t'arrive à être honnête ? Perso je suis dans le déni tant que j'ai pas la bouteille/cannette en main. Et après, je fais comme si de rien n'était.
Le pire c'est quand j'arrive à la caisse sans rien, avec l'étalage d'alcool juste derrière le vendeur. C'est vraiment une stratégie de vente affreuse de faire ça.
Les seuls moments où j'arrive à faire les courses seule sans acheter d'alcool, c'est en evitant le rayon et en regardant ailleurs, mais je craque la majorité du temps 
psyr a écrit
Je n'ai pas de solution miracle, ne sachant pas exactement quel degrés de sobriété tu recherches.
Je veux surtout avoir le contrôle. Mais j'ai l'impression que quand on a commencé très jeune, c'est un peu foutu d'avance.
Même quand j'ai réussi à tenir des mois de sobriétés, j'avais quand même la boule au ventre dans les magasins.
psyr a écrit
une véritable intention de me faire du bien autrement qu'avec la défonce (alcool et/ou stups)
Tu remplace la défonce par quelque chose de spécifique ou tu parles de manière globale ?
psyr a écrit
j'arrive à passer plusieurs semaines d'affilées sans alcool, en ayant toujours au moins une bière au frais, ou un apéro, pour les gens qui passent chez moi. Et c'est une sensation de petite victoire qui n'est pas dégueulasse !
Bravo à toi ! C'est une belle victoire effectivement. J'espère que t'as trouvé l'équilibre qui te convient :)
En tout cas, oui, t'as l'air de bien t'en tirer ^^
Hors ligne

Hors ligne

Nanar Land a écrit
J'ai des marques de bières sans alcool que je trouve hyper bonnes et qui leurrent mon cerveau,
T'es pas hyper frustrée quand t'en bois ?
Perso, j'en ai testé qu'une pendant une période de sevrage (1 mois sans boire !), la brooklyn. C'est hyper bon mais dès que j'en bois, je ressent une forte frustration, avec une sensation de vide au niveau de l'oeusophage.
Nanar Land a écrit
Quant à l'ivresse, je tends à la chercher ailleurs.
Je me réserve un temps champignons magiques 1/mois environ.
Je pense sérieusement à me mettre au champignons pour remplacer les "cuites". Histoire de limiter au maximum l'alcool qui va finir par me causer de plus en plus de tord.
J'ai pris une seule fois des champis et j'en garde un super souvenir. Mais j'y connais rien. Tu aurais des conseils ? Des choses à éviter ? Une espèce de champis à prendre plus qu'une autre ?
Bref, je serais ravie d'avoir des conseils !
Nanar Land a écrit
"plante maîtresse-enseignantes" qui nourri mon élévation intérieure...
Je ne suis pas du tout spirituelle, ni branchée dépassement de soit (ce n'est bien sur pas du tout un jugement de valeur) mais j'euse régulièrement de l'alcool pour trouver de l'inspiration pour des créations. Tu penses que les champignons pourraient m'aider ?
Nanar Land a écrit
Et j'arrive plutôt bien à bouder l'alcool qui me fait trop de mal.
Bravo à toi ! C'est vraiment pas évident de se passer de l'alcool
Hors ligne