[ Clonazolam ]

Décrocher du Rivotril

hello,
Lui donner des opiacés n'est absolument pas la bonne idée , déja c'est des antalgiques , ton amis ne souffre pas de douleurs physiques .
De plus ces drogues sont agreables et il risque d'aimer ca et tomber dans les opiacés donc vraiment aucun interet , au contraire même ;
Seul conseil , continuer a diminuer très lentement sont rivotril , puis soit arreter net et attendre quelques jours que les douleurs disparraissent  soit faire une rotation  avec  un autre benzodizepines a longues demi vie , ce qui facilite les sevrages .( valium par exemple )

Après ce ne sera pas facile , 6 ans de clonazepam sa rend bien accro c'est certain . c'est un des BZD les plus puissants avec le flunitrazepam ( je ne compte pas les RC's benzodiazepines donc certains sont jusqu'a troif fois plus puissant que le flunitrazepam/rohypnol .
Aide ton amis du mieux que tu peux , mais surtout pas d'opiacés , ou alors vraiment si il douille physiquement , essaie  que de la codeine ou du tramadol en LP et au dosage le plus bas et surtout pas de morphine ( skenan, moscontin) , afin qu'il puisse pas en ressentir les effets euphorisants et donc detourner l'effet principal des opiacés qui est bien sûr l'antalgie .

Cordialement
Fenriz

Je ne sais pas exactement comment il se procure ce médicament, mais c'est les psy qui lui filent, c'est sur

ce sont les milieux psychiatriques qui lui ont filé ça au tout début

depuis c'est une longue décente aux enfers. Un comportement de plus en plus parano.
Avec ces merdes on ne peux sevrer direct, il faut diminuer doucement. Là  il est descendu à  une dose faible (3 gouttes)

Une manne pour l'industrie pharma, le marketing de la folie, etc
sans verser dans la théorie du complot, je ne fais aucune confiance à  ces milieux là .

Ayant été confronté récemment à  une jeune fille ayant pris 450 mg de Médazépam (précurseur entre autre du clonazépam) en 2 semaines mixé à  un peu tout et surtout de l'alcool, je l'ai vue en pleine crise de schizophrénie, pendant 20 heures (elle a fini en HP sous surveillance, déjà  2 semaine et elle en a encore pour un moment). Le comportement de mon ami me rappelle de trop celui de la miss, mais en beaucoup plus léger.

Pour moi il y a un lien direct entre prise de benzo et schyzophrénie/parano. L'un déclenche souvent l'autre. C'est assez drôle qu'on plus on prescrive ces médoc pour calmer les troubles de l'humeur alors que cette classe de molécule détruit complétement tous les processus hormonaux (neurotransmetteurs).

J ai pris récemment 30 mg de médazépam et 1.5 litre de bières. Pour tester. Rien senti du tout.
Ma connaissance à  une fiole contenant 50 mg de clonazépam en tout. 3 gouttes ne font pas beaucoup. Je suis sur que je pourrai la boire entière sans gros dommage.

Dans le cas de mon ami, il faut être réaliste, c'est pour la défonce qu'il prend ce truc, ou le côté stressless que ça donne, l oubli des problèmes du quotidien. Bon la morphine et les opiacé c'est même topo. Pour être accro il faut en prendre régulièrement pendant un petit moment (d'expérience). Donc l'un pourrait remplacer l'autre.

De toute manière, quand les psy sèvrent quelqu'un du rivotril, ils diminuent progressivement puis remplacent par du vallium (une autre benzo, youpi big pharma). Donc changer pour de la morphine, de l'opium ou des tramadols sur une courte durée, je ne pense pas que ce soit pire ?