#1
- adlaptite
Nouveau membre - 10 juillet 2008 à 02:26
je suis désespérée. mon copain est sous metha depuis 7 mois, après 3 ans de consommation d'heroine. il a essayé le sub mais c'est pire que lorsqu'il a rien: transpiration, vomissements, coups de tension, envie de se claquer la tête contre les murs ou de tuer quelqu'un, etc... tout ça de façon enorme par rapport à un manque sans traitement. il a essayé la metha au marché noir ça allait, du coup on a cherché et trouvé difficilement (grâce à ce forum d'ailleurs) un medecin à la frontiere belge qui suit mon copain depuis janvier. on s'était renseigné en France, mais les centres voulaient qu'il réessaie le sub, et si ça marchait pas qu'il aille en hopital psy pour envisager la metha: mon copain a été auparavant hospitalisé par sa famille (avec qui il a des rapports conflictuels: maltraitance, mis à la rue...) et il a découvert de nouvelles drogues durant cette hospit, il refuse donc d'y retourner car il sait que c'est pas le bon environnement pour arrêter pour lui.
bref il était assez bien sous metha pendant un mois à 80mg, et puis il a commencé à avoir des douleurs aux jambes, au dos, fatigue, incapable de travailler ou sortir car il fai des malaises. il a pensé que c'était le temps de se remettre en forme et que la metha soit bien dosée et bien efficace. il est petit à petit monté jusqu'à 150mg de metha, fractionné en 2 puis 3 fois. il a essayé de diminuer, d'augmenter jusqu'à plus de 200mg... enfin bcp de dosages différents et son medecin lui a prescrit des antidepresseurs et neuroleptiques, ce qui lui permet de dormir mais n'atténue pas les autres problèmes. il pense qu'il ne tolere pas la metha, mais son medecin pense apparement que c'est une dépression.
il souhaiterait avoir une autre substitution car il ne supporte plus de vivre comme ça, à ne rien pouvoir faire à cause de ses douleurs, ses malaises... je voudrais savoir comment prouver cette intolerance, ou tout du moins comment obtenir une autre substitution car il est vraiment à bout. on est prêt à faire des centaines de kilometres si enfin il peut être bien, avoir une substitution adaptée. on a beaucoup de projets, enfants , déménagement... mais il ne voit plus d'avenir pour lui.
si vous pouvez nous renseigner ça serait vraiment une touche d'espoir pour mon chéri, car il n'en a plus.
bref il était assez bien sous metha pendant un mois à 80mg, et puis il a commencé à avoir des douleurs aux jambes, au dos, fatigue, incapable de travailler ou sortir car il fai des malaises. il a pensé que c'était le temps de se remettre en forme et que la metha soit bien dosée et bien efficace. il est petit à petit monté jusqu'à 150mg de metha, fractionné en 2 puis 3 fois. il a essayé de diminuer, d'augmenter jusqu'à plus de 200mg... enfin bcp de dosages différents et son medecin lui a prescrit des antidepresseurs et neuroleptiques, ce qui lui permet de dormir mais n'atténue pas les autres problèmes. il pense qu'il ne tolere pas la metha, mais son medecin pense apparement que c'est une dépression.
il souhaiterait avoir une autre substitution car il ne supporte plus de vivre comme ça, à ne rien pouvoir faire à cause de ses douleurs, ses malaises... je voudrais savoir comment prouver cette intolerance, ou tout du moins comment obtenir une autre substitution car il est vraiment à bout. on est prêt à faire des centaines de kilometres si enfin il peut être bien, avoir une substitution adaptée. on a beaucoup de projets, enfants , déménagement... mais il ne voit plus d'avenir pour lui.
si vous pouvez nous renseigner ça serait vraiment une touche d'espoir pour mon chéri, car il n'en a plus.
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#2
- ambre
Nouveau membre - 10 juillet 2008 à 07:29
bonjour le mieux serais qu'il se fasse hospitaliser de faire un mega sevrage de tout produit.Bon courage a vous
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#3
- alycorne
Psycho junior - 10 juillet 2008 à 08:04
Bienvenue sur le forum adlaptite! :)
tu ne dis pas combien de sub prenait ton copain,mais d apres ce que j ai compris il ne la supporte pas,mais ce serait interessant de savoir combien.
quant à la metha,je pense qu il ne la supporte pas non plus.
c est tout à fait possible qu il ne supporte pas ces deux molecules,surtout s il metabolise trop vite la metha,celà expliquerait la hausse du dosage jusque 200mg,et le fait de se sentir toujours mal.
mais à mon avis,ce n est pas le seul facteur qui fait qu il soit mal....son medecin pense à une depression,et ça me semble tout à fait possible...tu dis toi meme qu il a ete mis à la rue,maltraite,qu il n est pas aide de ses parents,ça fait beaucoup tout de meme!!!il doit avoir une pression enorme!!!!
ce qui serait bien à mon avis,serait qu il suive une psychotherapie,et pas forcement en hopital!!!et trouver un centre ou il pourrait etre bien aidé.
par contre,là je n ai pas d idee,les specialistes du forum pourront certainement mieux t aider que moi!!!
ps:je crois que c est normal que les centres en france lui aient demande de reessayer le sub,question de protocole,si ça ne lui convient pas,il passe ensuite à la metha,et si par la suite rien de fonctionne,il passe à une autre molecule(le skenan il me semble).et comme je te le disais plus haut,les specialistes du forum pourront certainement mieux t expliquer que moi!!
en tous cas,bon courage à toi et ton copain!!
tu ne dis pas combien de sub prenait ton copain,mais d apres ce que j ai compris il ne la supporte pas,mais ce serait interessant de savoir combien.
quant à la metha,je pense qu il ne la supporte pas non plus.
c est tout à fait possible qu il ne supporte pas ces deux molecules,surtout s il metabolise trop vite la metha,celà expliquerait la hausse du dosage jusque 200mg,et le fait de se sentir toujours mal.
mais à mon avis,ce n est pas le seul facteur qui fait qu il soit mal....son medecin pense à une depression,et ça me semble tout à fait possible...tu dis toi meme qu il a ete mis à la rue,maltraite,qu il n est pas aide de ses parents,ça fait beaucoup tout de meme!!!il doit avoir une pression enorme!!!!
ce qui serait bien à mon avis,serait qu il suive une psychotherapie,et pas forcement en hopital!!!et trouver un centre ou il pourrait etre bien aidé.
par contre,là je n ai pas d idee,les specialistes du forum pourront certainement mieux t aider que moi!!!
ps:je crois que c est normal que les centres en france lui aient demande de reessayer le sub,question de protocole,si ça ne lui convient pas,il passe ensuite à la metha,et si par la suite rien de fonctionne,il passe à une autre molecule(le skenan il me semble).et comme je te le disais plus haut,les specialistes du forum pourront certainement mieux t expliquer que moi!!
en tous cas,bon courage à toi et ton copain!!
"l'amour pour épée,l'humour comme bouclier"Bernard Werber
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#4
- Eva Brown Sugar
Psycho sénior - 11 juillet 2008 à 08:05
Bonjour,
Il peut peut-être demander des sulfates de morphine qui peuvent être prescrits losrque les traitements de substitution sont un échec. Cependant, il ne s'agit pas de traitements ayant une indication pour la substitution donc il n'est pas évident d'avoir une prescription pour cette raison.
Il peut peut-être demander des sulfates de morphine qui peuvent être prescrits losrque les traitements de substitution sont un échec. Cependant, il ne s'agit pas de traitements ayant une indication pour la substitution donc il n'est pas évident d'avoir une prescription pour cette raison.
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salut,
oui c'est plutôt compliqué, c'est surtout en fonction du toubib, certains acceptent de prescrire les sulfates d'autres pas, et comme ça ne dépend que d'une circulaire, ils n'ont pas d'obligations....
ceci dit, si ton copain est en échec thérapeutique avec les deux molécules qui ont l'AMM substitution, il doit quand même essayer de trouver un prescripteur pour les sulfates, parce qu'il va aller de plus en plus mal, que ça va devenir de plus en plus compliquer à gérer....
voila, bon courage pour la recherche...
oui c'est plutôt compliqué, c'est surtout en fonction du toubib, certains acceptent de prescrire les sulfates d'autres pas, et comme ça ne dépend que d'une circulaire, ils n'ont pas d'obligations....
ceci dit, si ton copain est en échec thérapeutique avec les deux molécules qui ont l'AMM substitution, il doit quand même essayer de trouver un prescripteur pour les sulfates, parce qu'il va aller de plus en plus mal, que ça va devenir de plus en plus compliquer à gérer....
voila, bon courage pour la recherche...
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#6
- pierre
Web-Administrateur - 12 juillet 2008 à 15:50
Bonjour,
il faudrait déterminer les causes d'un tel malaise. Le problème n'est peut etre pas tant la substitution. Parce que j'ai jamais entendu parler de tel effet secondaire de la métha. Il faudrait peut etre qu'il fasse un check up complet.
En tout cas, la solution n'est certainement pas un sevrage total comme le dit ambre....
il faudrait déterminer les causes d'un tel malaise. Le problème n'est peut etre pas tant la substitution. Parce que j'ai jamais entendu parler de tel effet secondaire de la métha. Il faudrait peut etre qu'il fasse un check up complet.
En tout cas, la solution n'est certainement pas un sevrage total comme le dit ambre....
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salut Pierre
c'est le genre d'effets que j'avais en plus d'autres plus importants qui ont fait que je ne peux plus prendre de metha, à l'époque le toxicologue que j'avais rencontré m'avait expliqué que ça touchait un nombre extrêmement confidentiel d'usagers, je sais plus mais du style un pour un million....
mais tu as raison, un check up pourrait mieux cerner le problème et éliminer au moins la substitution si le problème est d'ordre médicale.
c'est le genre d'effets que j'avais en plus d'autres plus importants qui ont fait que je ne peux plus prendre de metha, à l'époque le toxicologue que j'avais rencontré m'avait expliqué que ça touchait un nombre extrêmement confidentiel d'usagers, je sais plus mais du style un pour un million....
mais tu as raison, un check up pourrait mieux cerner le problème et éliminer au moins la substitution si le problème est d'ordre médicale.
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Ambre,
"le mieux serait qu'il se fasse......"
le mieux..... c'est à lui de voir, ni à nous, ni à sa compagne, ni à son entourage.....
pour lui aujourd'hui le mieux serait de pouvoir vivre sans souffrances, sans avoir à courir après un toubib qui accepte d'entendre ce qu'il a à dire..... sans jugements, sans morale.....
tu sais "le mieux", n'existe pas..... "le mieux" pour toi sera le pire pour d'autre....
quand au sevrage, je voudrais sincèrement que la possibilité d'entamer un sevrage dans de bonne conditions et jusqu'au bout soit une réalité, se serait "mieux" pour ceux qui ont décidé que l'abstinence est nécessaire à leur équilibre, ça n'est malheureusement pas le cas, les problèmes pour trouver simplement un lit pour un sevrage sont, même pour les pro de santé, un vrai casse tête....
"le mieux serait qu'il se fasse......"
le mieux..... c'est à lui de voir, ni à nous, ni à sa compagne, ni à son entourage.....
pour lui aujourd'hui le mieux serait de pouvoir vivre sans souffrances, sans avoir à courir après un toubib qui accepte d'entendre ce qu'il a à dire..... sans jugements, sans morale.....
tu sais "le mieux", n'existe pas..... "le mieux" pour toi sera le pire pour d'autre....
quand au sevrage, je voudrais sincèrement que la possibilité d'entamer un sevrage dans de bonne conditions et jusqu'au bout soit une réalité, se serait "mieux" pour ceux qui ont décidé que l'abstinence est nécessaire à leur équilibre, ça n'est malheureusement pas le cas, les problèmes pour trouver simplement un lit pour un sevrage sont, même pour les pro de santé, un vrai casse tête....
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#9
- Mel
Nouveau membre - 13 juillet 2008 à 20:57
Bertrand a écrit
les problèmes pour trouver simplement un lit pour un sevrage sont, même pour les pro de santé, un vrai casse tête....
Effectivement, malheureusement les places pour suivre un sevrage sont manquante, mais si vous trouver une place en hopital psy ne dites pas non. Il est vrai que le therme "hopital psychiatrique" peut faire peur, mais, enfin pour ma part, cela m'as été très bénéfique.
En ce moment, j'y suis, mais en hopital de jour uniquement, je m'y rends chaque matin et rentre chaque soir afin d'être avec ma fille. Pas facile mais au moins on est pas seule et c'est quand même plus simple moralement si on est suivi et soutenue. Enfin, c'est personnel !
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salut Mel
tout dépend du service, je peux t'assurer que certains service psy par lesquels je suis passé sont aussi qualifié que la taule pour ce qui nous concerne, autrement dt, leur incompétence n'a d'égale que leur suffisance....
tout dépend du service, je peux t'assurer que certains service psy par lesquels je suis passé sont aussi qualifié que la taule pour ce qui nous concerne, autrement dt, leur incompétence n'a d'égale que leur suffisance....
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#11
- adlaptite
Nouveau membre - 14 juillet 2008 à 16:15
l'hôpital psy n'a pas été bénéfique pour lui, au contraire, il y avait de l'heroine et de la cocaïne, et personne pour le soutenir. quand il est sorti il consommait encore plus, il a même fait une OD. au moins à la maison il est en contact avec aucune drogue, il est pas tenté, et il est entouré peu mais bien.
pour le check up, il a deja fait des prises de sang qui ont montré que tout est normal, une radio normale aussi, il doit passer une IRM et rdv chez le neurologue pour éliminer un problème neuro.
on va se battre pour trouver un traitement qui lui convienne et lui permette de vivre correctement, surtout un medecin qui l'écoute et soit à la hauteur de ses fonctions et de son serment. merci pour vos réponses. à plus
pour le check up, il a deja fait des prises de sang qui ont montré que tout est normal, une radio normale aussi, il doit passer une IRM et rdv chez le neurologue pour éliminer un problème neuro.
on va se battre pour trouver un traitement qui lui convienne et lui permette de vivre correctement, surtout un medecin qui l'écoute et soit à la hauteur de ses fonctions et de son serment. merci pour vos réponses. à plus
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#12
- adlaptite
Nouveau membre - 13 septembre 2008 à 20:50
bonjour à tous je viens donner quelques nouvelles.
mon ami a fini par monter à des doses de metha de 600mg et plus, sans effet notoire. c'était de pire en pire, très proche de la catastrophe. nous avons rencontré des personnes d'une région proche de la nôtre qui ont aidé mon copain, lui ont donné quelques gélules de sulfate de morphine qui lui ont prouvé que c'était le traitement de substitution qui lui convenait.
après des recherches de plusieurs mois pour trouver un médecin qui veuille bien être à notre écoute et qui ne jure pas que par le sub et la métha, nous étions complétement désespérés, jusqu'à ce que le médecin belge qui le soigne humainement (comme depuis le premier jour) lui change de traitement, après avis d'un spécialiste et nombreux examens (prise de sang, IRM, ... la totale) et lui prescrive des sulfates. ça a été galère mais toutes les preuves de l'intolérance à la métha était là .
c'est quand même fou de devoir aller à l'étranger pour se faire soigner correctement. quelle hypocrisie en France! il doit bien exister quelques médecins à l'écoute et qui ne soignent pas les gens que pour l'argent, mais ils sont rares et bien cachés.
le passage de la métha au sulfate a été terrible, le manque de métha est pire que celui d'héroïne. il a dû recommencer, comme au début de la métha, avec des dosages très faibles. vraiment un période horrible pour lui.
en tout cas l'espoir est là , après toutes ces galères. de nombreuses personnes ont essayé de l'aider, un grand merci à eux. elles ont bien plus fait pour lui, un inconnu pour eux, que son entourage. c'est vraiment beau de voir autant de soutien entre usagers.
juste un petit message pour tous ceux qui galèrent: ne perdez pas espoir, j'ai vu mon copain dans les pires moments, et maintenant on peut envisager un avenir. je sais que c'est bien beau de dire ça quand on est pas consommatrice, mais c'est aussi l'avis de mon copain, dont le moral remonte doucement.
merci à tous pour vos messages et votre soutien, c'est bon d'avoir un site où il n'y a pas de langue de bois et où les gens savent de quoi ils parlent.
mon ami a fini par monter à des doses de metha de 600mg et plus, sans effet notoire. c'était de pire en pire, très proche de la catastrophe. nous avons rencontré des personnes d'une région proche de la nôtre qui ont aidé mon copain, lui ont donné quelques gélules de sulfate de morphine qui lui ont prouvé que c'était le traitement de substitution qui lui convenait.
après des recherches de plusieurs mois pour trouver un médecin qui veuille bien être à notre écoute et qui ne jure pas que par le sub et la métha, nous étions complétement désespérés, jusqu'à ce que le médecin belge qui le soigne humainement (comme depuis le premier jour) lui change de traitement, après avis d'un spécialiste et nombreux examens (prise de sang, IRM, ... la totale) et lui prescrive des sulfates. ça a été galère mais toutes les preuves de l'intolérance à la métha était là .
c'est quand même fou de devoir aller à l'étranger pour se faire soigner correctement. quelle hypocrisie en France! il doit bien exister quelques médecins à l'écoute et qui ne soignent pas les gens que pour l'argent, mais ils sont rares et bien cachés.
le passage de la métha au sulfate a été terrible, le manque de métha est pire que celui d'héroïne. il a dû recommencer, comme au début de la métha, avec des dosages très faibles. vraiment un période horrible pour lui.
en tout cas l'espoir est là , après toutes ces galères. de nombreuses personnes ont essayé de l'aider, un grand merci à eux. elles ont bien plus fait pour lui, un inconnu pour eux, que son entourage. c'est vraiment beau de voir autant de soutien entre usagers.
juste un petit message pour tous ceux qui galèrent: ne perdez pas espoir, j'ai vu mon copain dans les pires moments, et maintenant on peut envisager un avenir. je sais que c'est bien beau de dire ça quand on est pas consommatrice, mais c'est aussi l'avis de mon copain, dont le moral remonte doucement.
merci à tous pour vos messages et votre soutien, c'est bon d'avoir un site où il n'y a pas de langue de bois et où les gens savent de quoi ils parlent.
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salut
content que cette histoire se "termine" bien.... qu'il fasse quand même très attention aux dosages et à l'escalade, ça va très vite comme tu pourras le voir si tu cherches un peu sur le forum... surtout s'il injecte...
voila, maintenant qu'il a la primo il peut aller chez un toubib de metz, il trouvera surement plus facilement....
bon courage pour la suite...
content que cette histoire se "termine" bien.... qu'il fasse quand même très attention aux dosages et à l'escalade, ça va très vite comme tu pourras le voir si tu cherches un peu sur le forum... surtout s'il injecte...
voila, maintenant qu'il a la primo il peut aller chez un toubib de metz, il trouvera surement plus facilement....
bon courage pour la suite...
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#14
- Eva Brown Sugar
Psycho sénior - 13 septembre 2008 à 22:34
600mg ????????????????????????????????????????????? de méthadone ??????????????????????
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#17
- Eva Brown Sugar
Psycho sénior - 14 septembre 2008 à 03:46
et pour le commun des usagers d'opiacés non ?!?
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#18
non crois moi j'ai un ami qui prennait 100 par jour et qui a pris une fois 700 mlg (1 semaine de traitement): il a dormi pdt trois jours mais n'a pas succombé ... m'enfin il ne faut pas s'amuser à ce genre de chose , c'est tout bonnement suicidaire
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#19
c'est vrai,j'ai "expérimenté" de très haut dosage, 600mg voir un peu plus.;j'ai dormi plusieurs jours et après dans le cosmos encore qq jours! mais attention : ce n'est pas conseilllé du tout! je l'avais fait pour aller dans un autre monde...bref, a ne pas faire pour se défoncer!!!
l angoisse est le vertige de la liberté
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#20
bertrand
plus haut tu parles d'un toxicologue qui dit que certains ont des effets négatifs avec la métha: mais quoi comme effets? genre crampes, douleurs, troubles du sommeil,fatigues intenses? parce que c'est ce que je vis et raz le bol! ces désagréments s'accentuent et je me demande si je dois passer aussi à un autre produit de substitution?
plus haut tu parles d'un toxicologue qui dit que certains ont des effets négatifs avec la métha: mais quoi comme effets? genre crampes, douleurs, troubles du sommeil,fatigues intenses? parce que c'est ce que je vis et raz le bol! ces désagréments s'accentuent et je me demande si je dois passer aussi à un autre produit de substitution?
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salut bighorsse
non, ni crampe, ni douleur, ni trouble du sommeil, ni transpiration.... mais dérèglement hormonale sévère et autres joyeusetés du genre....
non, ni crampe, ni douleur, ni trouble du sommeil, ni transpiration.... mais dérèglement hormonale sévère et autres joyeusetés du genre....
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#22
- Eva Brown Sugar
Psycho sénior - 14 septembre 2008 à 22:00
Bonsoir Bighorse,
Un déglèglement hormonal peut avoir pour conséquence troubles du sommeil, fatigue intense, douleurs, crampes. Mais ça ressemble aussi à état de manque. C'est tout le temps ou bien en fin de 'demi-vie' de la métha ?
Un déglèglement hormonal peut avoir pour conséquence troubles du sommeil, fatigue intense, douleurs, crampes. Mais ça ressemble aussi à état de manque. C'est tout le temps ou bien en fin de 'demi-vie' de la métha ?
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#23
- xetubus
Adhérent PsychoACTIF
- 15 septembre 2008 à 08:49
bonjour,
les seuls effets negatifs de la métha, en ce qui me concerne', seraient : sudation (mais comme je suis stabilisé ça disparait), un état de fatigue, j'ai pris 7 kg en 10 mois (depuis que je prends la metha, octobre, je pesais 60, aujourd'hui 67) c'est a peu près tout. ah si constipation, mais ça c'est gerable.
les seuls effets negatifs de la métha, en ce qui me concerne', seraient : sudation (mais comme je suis stabilisé ça disparait), un état de fatigue, j'ai pris 7 kg en 10 mois (depuis que je prends la metha, octobre, je pesais 60, aujourd'hui 67) c'est a peu près tout. ah si constipation, mais ça c'est gerable.
"Le monde ne sera pas detruit par ceux
qui font le mal, mais par ceux qui les
regardent sans rien faire" - Albert Einstein.
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#24
- adlaptite
Nouveau membre - 17 septembre 2008 à 20:35
bonjour il est effectivement monté, petit à petit, pas du jour au lendemain, à 600mg les jours où il devait sortir, avec moins il ne pouvait pas bouger: 30minutes, même juste aller faire des courses (ce qui paraît anodin pour le commun des mortels), et il était au bord du malaise.
ne croyez pas que le changement de traitement est simple: des mois à galérer sous métha, à être très mal physiquement et mentalement tout le temps, à désespérer, pour enfin avoir le sulfate de morphine, mais la galère n'est pas fini parce qu'il faut recommencer à de petits dosages, augmenter doucement, et tout cela n'est possible que si votre médecin traitant vous fait assez confiance et est prêt à se mouiller pour vous (parce qu'ils prennent des risques à prescrire le sulfate en traitement de substitution).
bon courage à tous à plus
ne croyez pas que le changement de traitement est simple: des mois à galérer sous métha, à être très mal physiquement et mentalement tout le temps, à désespérer, pour enfin avoir le sulfate de morphine, mais la galère n'est pas fini parce qu'il faut recommencer à de petits dosages, augmenter doucement, et tout cela n'est possible que si votre médecin traitant vous fait assez confiance et est prêt à se mouiller pour vous (parce qu'ils prennent des risques à prescrire le sulfate en traitement de substitution).
bon courage à tous à plus
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non pas dans son cas, le seul risque qu'ils auraient pu prendre et ils ne le font pas c'est de lui mettre direct un dosage conséquent....
il faut que tu comprennes, d'abord quand tu changes de molécules ton organismes s'adapte petit à petit et souvent dans ces moments la les équivalences ne sont pas toujours exact et il arrive frequement quelle (la tolérance) redescende (ça vient de m'arriver...).
ensuite ils ne peuvent pas débuter trop haut pour adapter par le bas, avec la tolérance qu'il a se dire: bon ça il va l'encaisser.... peut s'avérer être dangereux, le changement de traitement n'est pas quelque chose d'anodin, tu le sais bien, il faut accepter cette periode de transition, de toute façon ils sera vite à un dosage de croisière, le but c'est de le stabiliser pas de le laisser malade...
mais surtout s'il ne veut pas augmenter trop vite et se retrouver à des dosages "impossible" qu'il ne shoote pas le skenan quotidiennement, s'il veut se faire un shoot c'est en extra, sinon ça va très vite devenir ingérable.... crois moi je connais bien le skenan, j'en ai pris à de très haut dosage pendant plus de 10 ans et je peux te dire que je suis content vraiment d'avoir eu la possibilité d'arrêter....
il faut que tu comprennes, d'abord quand tu changes de molécules ton organismes s'adapte petit à petit et souvent dans ces moments la les équivalences ne sont pas toujours exact et il arrive frequement quelle (la tolérance) redescende (ça vient de m'arriver...).
ensuite ils ne peuvent pas débuter trop haut pour adapter par le bas, avec la tolérance qu'il a se dire: bon ça il va l'encaisser.... peut s'avérer être dangereux, le changement de traitement n'est pas quelque chose d'anodin, tu le sais bien, il faut accepter cette periode de transition, de toute façon ils sera vite à un dosage de croisière, le but c'est de le stabiliser pas de le laisser malade...
mais surtout s'il ne veut pas augmenter trop vite et se retrouver à des dosages "impossible" qu'il ne shoote pas le skenan quotidiennement, s'il veut se faire un shoot c'est en extra, sinon ça va très vite devenir ingérable.... crois moi je connais bien le skenan, j'en ai pris à de très haut dosage pendant plus de 10 ans et je peux te dire que je suis content vraiment d'avoir eu la possibilité d'arrêter....
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#26
- adlaptite
Nouveau membre - 12 octobre 2008 à 19:17
bonjour je vien donner des nouvels sa fait bientot 3 mois qu ils est passer au skenan il est a 390mg par jour il prend 130mg toute les 8h comme sa il nest jamais en vrac. il shoote pas et a bien raison il veut pas recommencer avec des dosage de malade comme la metha maintenantt tout va pour le bonheur du monde il retravail et on recommence une plus belle vie sans cette maudite drogue et ses super ami de la came quil ne vale pas un sous . depuis quil ne prend plus rien il ny a plus personne qui va le voir ces bizarre lol .je ne compren toujours pas pourquoi les medecin sobstine a prescrir de la metha et du subutex a tout va .le skenan nous as changer la vie heuresement que l on as notre medecin belge sa doctoresse ces bien plus qu un medecin et oui sa exsiste ces tres rare mais sa existe . courage a vous tout et possible il fau juste en chier pendant des année lol
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#27
eva
je répond à ta question d'il y a ...1 mois!! je suis vraiment ralenti hein??c'est la métha qui doit faire ça..je plaisante là !
en fait depuis qu'on a parlé de mes symptomes (troubles du sommeil; fatigues intenses; moral en berne; sudation, crampes. que je lie tjs à la métha, j'ai augmenté mes dosages du simple au double; et ça va bcp mieux!! la plupart des symptomes que j'avais ont disparu, et certains sont encore là mais atténués (la fatigue notamment)
on a parlé de troubles hormonaux avec bertrand aussi: comme j'ai une hypothyroidie, et que la métha peut perturber les hormones, je me demande à quelles hormones on se réfère dans les cas signalés?
je répond à ta question d'il y a ...1 mois!! je suis vraiment ralenti hein??c'est la métha qui doit faire ça..je plaisante là !
en fait depuis qu'on a parlé de mes symptomes (troubles du sommeil; fatigues intenses; moral en berne; sudation, crampes.
que je lie tjs à la métha, j'ai augmenté mes dosages du simple au double; et ça va bcp mieux!! la plupart des symptomes que j'avais ont disparu, et certains sont encore là mais atténués (la fatigue notamment)on a parlé de troubles hormonaux avec bertrand aussi: comme j'ai une hypothyroidie, et que la métha peut perturber les hormones, je me demande à quelles hormones on se réfère dans les cas signalés?
l angoisse est le vertige de la liberté
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