salut a tous,
je suis aujourdui en 
sevrage à  75 mg de metha par jour depuis 7 mois 
par rapport au sujet, je dois dire qu il y a une certaine jouissance à  se detruire avec la doppe quand on est jeune . 
meme quand j etais "mal de chez mal" à  la recherche d une dose liberatrice du calvaire du manque, je ressentai un plaisir malsain a soufrir comme ça, 
je me rappelle que juste avant de fumer ma dose, en sueur , à  etre gelée et à  souffrir grave, je me disai, ben tu vois c ça le manque mon pote, c est pas si terrible! bizarre, c clair!et on oubli bien vite la douleur quand l effet se fait ressentir jusqu a oublier meme comment c etait la "douleur", l homme m etonnera tj, et moi encore plus... 
je sais ce que sais , le manque ( j ai meme arreté la poudre "à  sec" a plusieurs reprises) jusqu au jour ou j ai craquer pour la metha, j aurai pas du mais cest pas si mal la metha...je veux dire que c antidepresseur et ça me convient en fait mis a part la transpiration qui fait chier...
a plus les gars, et courage!
					
					
Dernière modification par lorenzoo (12 août 2009 à  14:58)