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Prison avec sursis pour avoir drogué ses canards
Un éleveur de canards de Charente-Maritime a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel à un mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende pour avoir donné du cannabis à ses palmipèdes.
L'herbe un excellent vermifuge pour les bêtes ? Un argument qui n'a pas convaincu le tribunal correctionnel de Rochefort qui a condamné un éleveur de canards à un mois de prison avec sursis et 500 euros d'amendes pour avoir donné du cannabis à ses bêtes.
A l'audience, le sexagénaire, éleveur à la Gripperie-Saint-Symphorien, un village du marais Rochefortais, a avoué qu'il fumait lui-même "un peu". "Y'a pas meilleur vermifuge pour eux, un spécialiste me l'a conseillé", a affirmé l'éleveur herboriste, sans préciser qui était ledit spécialiste pour justifier ses plantations de chanvre indien qui auraient servi à purger ses 150 canards. Son avocat, maître Jean Piot, a fait remarquer que toutes les bêtes de l'éleveur étaient en excellent santé et que pas une n'avait de vers. Ces arguments n'ont toutefois pas convaincu le tribunal de l'intérêt pour les canards de consommer de la drogue.
Début octobre, lors d'une visite au domicile de l'éleveur après un vol, les gendarmes étaient tombés sur douze plants de cannabis et une poche de 5 kilos d'herbe. Placé en garde à vue, le sexagénaire avait tenté une première fois de justifier de l'usage vétérinaire du cannabis. "C'est la première fois qu'on nous raconte une chose comme ça", ont noté dans leur procès verbal les gendarmes, pourtant habitués aux justifications oiseuses en matière de stupéfiants.
Source : http://lci.tf1.fr/insolite/2010-11/cond … 54246.html
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Deux nouveaux cas de cocaïne livrée par erreur à des entreprises
Après une entreprise de l'Emmental bernois, c'est au tour de sociétés basées dans les Grisons et en Thurgovie de recevoir par erreur des livraisons de cocaïne: 10 kg dans un commerce thurgovien et 20 kg dans une entreprise de Landquart (GR).
A Landquart, la drogue saisie mercredi était cachée dans deux paquets envoyés depuis l'étranger. Elle n'était pas destinée au marché suisse. C'est la plus grosse prise de cocaïne dans le canton, a indiqué jeudi la police des Grisons.
En Thurgovie, la cocaïne découverte mercredi était dissimulée dans plusieurs paquets. Là aussi, la police cantonale précise que la drogue provenait de l'étranger. Le destinataire n'est pas encore connu.
Mercredi déjà , la police bernoise avait découvert 70 kg de cocaïne dans une entreprise près de Berthoud. D'une valeur d'un million de francs environ, la drogue très pure était emballée dans des petits colis cachés dans une livraison en provenance d'Amérique du Sud.
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Trafic de drogue : les 3 gendarmes pourraient être jugés à la Réunion
A la demande de la défense, l´affaire de trafic de drogue impliquant trois gendarmes et un policier du GIR à Mayotte pourrait être dépaysée à La Réunion pour "éviter tout soupçon de partialité". Me Fatima Ousseni, avocate des quatre militaires, estime par ailleurs que la presse a été "instrumentalisée", alors que ses clients sont pourtant des “gens honnêtes, à respecter.”
L´affaire de trafic de drogue impliquant trois gendarmes et un policier continue de secouer la petite île de Mayotte. Qui plus est, une victime est à déplorer dans ce scandale. Il s´agit de la lycéenne Roukia décédée en janvier suite à une overdose d´héroïne.
Mercredi 27 juillet 2011, deux gendarmes et un policier ont été mis en examen pour "homicide involontaire" et pour "transport, cession, usage et détention de stupéfiants". Un troisième gendarme, qui n´est autre que le commandant du Groupe d´intervention régionale (GIR) de Mayotte, a quant à lui été placé sous le statut de témoin assisté. Bien que suspendus de leurs fonctions, les quatre militaires n´ont pas été incarcérés.
A l´issue de l´audience au parquet de Mamoudzou, le juge d´instruction Hakim Harki a décidé leur placement sous contrôle judiciaire. Les prévenus n´ont pas été mis en détention préventive “faute de juge des libertés et de la détention qui était en congé”, s´indigne Me Saïd Larifou, avocat d´un indic du GIR. A noter que ce dernier serait l´homme par qui l´affaire a éclaté.
Selon des sources proches du dossier, c´était ce client de Me Larifou, un ressortissant Comorien en situation irrégulière, qui avait vendu la drogue à Mathias Belmaire, le petit ami de Roukia.
Cet informateur du GIR a assuré, lors de son audition, qu´il avait reçu la drogue de la part des gendarmes. Une drogue dissimulée parfois dans des enveloppes estampillées "gendarmerie nationale". Et c´est ainsi qu´au moins 300kg d´héroïne ont été écoulés dans les rues de Mamoudzou, selon ses dires.
D´après certaines sources proches de l´enquête, les gendarmes mis en cause auraient tout fait pour que ce clandestin comorien soit expulsé. Seulement voilà ... “On était loin de penser que mon client s´approvisionnait à la gendarmerie”, affirme Me Saïd Larifou.
Depuis plusieurs années, les gendarmes auraient couvert un réseau de trafic de drogue en provenance d´Anjouan. Ils se servaient des clandestins pour introduire de la drogue à Mayotte. Des vraix faux passeurs qu´ils ont eux-mêmes interceptés. Ceci afin de gonfler leurs statistiques de saisie. Une pratique qui leur avait permis d´obtenir "une prime au mérite " la semaine dernière, selon la presse locale.
Quant à la drogue saisie, elle était en général remise sur le marché par l´intermédiaire des vendeurs, pour la plupart des Comoriens en situation irrégulière. Au cours des travaux d´enquête préliminaire, il est ressorti que les gendarmes exerçaient un chantage au titre de séjour sur les Comoriens.
Aujourd´hui, Me Fatima Ousseni, avocate des trois gendarmes, tente de faire dépayser cette affaire à La Réunion, afin, dit-elle, d´ "éviter tout soupçon de partialité". La défense accuse la presse d´avoir été " instrumentalisée " alors que les suspects se trouvent en réalité être des “gens honnêtes, à respecter.”
Source : http://www.linfo.re/-Faits-divers,372-/ … la-Reunion
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Les ripoux de Mayotte embarrassent la gendarmerie
L´affaire des enquêteurs ripoux de Mayotte continue à faire des vagues sur cette île de l´océan Indien, dernier-né des départements français. Le 27 juillet, deux gendarmes et un policier, tous membres du groupe d´intervention régional (GIR), ont été mis en examen pour leur participation présumée à un trafic de drogue qui a fait au moins une victime.
Deux d´entre eux ont été mis en examen pour « homicide involontaire ». C´est le décès par overdose d´héroïne en janvier dernier d´une jeune fille de 18 ans — Roukia — qui a mis les gendarmes de la section de recherches (SR) sur la trace de leurs collègues du GIR. En garde à vue et face au juge d´instruction, les deux revendeurs ont expliqué qu´ils travaillaient comme indicateurs officiels pour le GIR et que la drogue avait été importée à la demande des enquêteurs et remise en circulation avec leur assentiment. Une affaire sérieuse qui gêne manifestement la Direction de la gendarmerie.
«Ce mail est très clairement une pression sur le juge»
Le dossier d´instruction comprend deux mails étonnants que nous nous sommes procurés. Rédigés par le général de division Jean-Régis Véchambre, le patron de la gendarmerie outre-mer à Paris, ils sont adressés au juge d´instruction Hakim Karki. Le général paraît particulièrement inquiet de la possible convocation de ses troupes. Dans le premier message, le 5 juillet, l´officier insiste sur le non-retour des deux enquêtes internes diligentées par l´Inspection de la gendarmerie et de la police. En l´absence des résultats, lancer des convocations serait selon lui « prématuré ». « Ces enquêtes internes ne changent rien à la poursuite de l´enquête judiciaire. Avec les révélations des indicateurs, il était évident que les gendarmes allaient être convoqués », estime une source proche du dossier.
Le 6 juillet : nouveau message. Sauf qu´entre-temps les convocations sont parties. « Je ne vous cache pas ma surprise », écrit alors le général Véchambre, qui ressort l´argument des inspections. A mots feutrés, l´officier tente d´influencer le magistrat en évoquant, pêle-mêle, l´atteinte à « l´image de la justice » ou la nécessaire « cohésion » qui doit régner entre les acteurs de la chaîne pénale face aux « défis majeurs de sécurité ». Mais la conclusion du mail est claire : « Je me demande donc sincèrement s´il ne serait pas prudent de remettre à plus tard de telles convocations. »
« Ce mail est très clairement une pression sur le juge », analyse une source proche du dossier. Les convocations ont néanmoins débouché sur les mises en examen des fonctionnaires. Contactée, la Direction générale de la gendarmerie reste muette.
Source : http://www.leparisien.fr/faits-divers/l … 566102.php
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