La coke est très vasoconstricteur. J'ai déjà entendu des personnes me disant qu'ils tapent presque sur le dos ou le cul de leur partenaire pour vite œuvrer et profiter des premiers effets car ensuite ça coince.

Je n'en prends plus depuis quelques temps mais je le suis fait avoir quelques fois, pensant être plus fort que le prod, mais rien à faire... et pourtant limite priapique.

J'ai pris sur moi, arrete d'en prendre, bu beaucoup d'eau et une bonne heure après c'est revenu.

Par contre c'est trés réjouissant quelques heures aprés les dernières prises.

Donc le coté cinématographique du type qui fuck le pif enfariné, je n'ai jamais réussi.

Pire : la 3-MMC.

Top : weed ou Mdma (mais cette dernière bloque l'éjaculation, pas l'érection donc frustrant aussi).

A l'eau minérale c'est aussi génial.

Il y a peu mon pc a laché.

J'ai acheté un chromebook sur lequel TOR ne fonctionne Pas. Mince.

Pas grave j'ai mis TOR sur mon smartphone. Pris une appli pgp.

A force de chercher j'ai pu tout faire du samsung.

Achat bitcoins ou monero, cryptage, commandes.

Bon c'est plus confortable avec un pc. Mais super jouasse de tout faire du pouce et aprés être habitué en 5minutes chrono.

J'ai tout stopper depuis.

Eu une fois un site bloqué par le fbi. Donc 160 euros de paumé. Pas de chance car le jour même.

Je ne commandais que des petites doses qui ne feront jamais déplacer les stups.

L'idéal est d'avoir quelques bons dealers. Ensuite ça roule tout seul... jusqu'à la prochaine fermeture.

Les bons vendeurs sont des pro. Dignes de n'importe quelle enseigne respectable.

Tu as tes réponses je penses.

Dans le "moi je" je connaissais très bien la drogue mais pendant 1 an jours pour jours, du 23 février au 23 février j'en consommais, en cristal, tous les 15 jours 600mg... donc beaucoup. De 21h à 6h. Gobé puis drop en sniff.

Puis parfois toutes les semaines entre 400 et 600mg.

J'ai eu les premiers brainzap et j'ai stoppé radicalement. Aucun craving.

Je prenais tous les jours des oméga 3 en quantité, du 5-htp, glycine, proteine whey car tu ne bouffes pas avec ce truc. C'est anorexigène.

C'etait il y a 4 ans. Pas de séquelles du moins visibles. On verra à l'avenir.

Faut je pense arrêter la mdma au bout d'un moment. tu as une surconsommation toxique.

150mg deux ou trois dans l'année reste raisonnable.

Faut aussi savoir abandonner les montées fulgurantes des premières fois.

[i]"Beaucoup d'alcoolo dépendant ne présentent pas de signes physiques de manque comme les tremblements par exemple."[/i]


Je n'ai eu aucun tremblements, aucun signe, pas de séquelles, rien. Bonne qualité de peau en plus, sport 3 à 4 fois par semaine. Allure fit. Même le bilan sanguin n'a rien révélé. Puis bonne nutrition aussi. Mais 5 kilos pris en 3 ans.

Bon moi j'ai bien vu que les effets du sport/nutrition auraient pu être meilleurs. Le bide... qui gonfle. Ca gargouille sans cesse. Les poignets d'amour aussi.

En arrêtant c'est devenu nettement visible. Enfin.

Pas de bar chez moi, aucun alcool. Pas de poubelle remplie. Lors des soirées ou chez ma compagne, je ne buvais quasiment pas. Ou soft. Pas de syndrome de manque. Car aussi chez moi dans les deux jours.

Sauf en vacances, plus délicats. Pintes de biere bues en 3 secondes, ou ti punch par 3 ou 4. Zou. Avoir une grosse première dose.

Tu te vois "avaler goulument" une dose en loucdé. Pas fier mais pas le choix. Ensuite tu mi …

Hello à toi,

Sensiblement le même profil que toi.

Implique ta belle dans ta démarche.

Le revia ou Acamprosate pour le générique ne suffit pas. Je l'accompagne de Natrexone que j'avale aux périodes délicates (18h/21) ce qui attenue fortement l'envie de céder.

J'ai même diminué le revia/Acamprosate. Le Natrexone me semble plus efficace.

J'ai eu d'autres addictions toutes annihilées mais celle de l'alcool fut vraiment compliquée. Je suis dans le parcours donc je ferai le point dans un an.

Peu d'effets secondaires. Lié plus au sevrage une bonne fatigue qui devient moins lourde au fil des jours. Tres rarement un spleen (la première semaine).

Puis avoir des rituels, de sport, de quelque chose.

Tu as des millions de personnes dépendantes mais aussi des centaines de milliers qui en sortent donc c'est tout à fait possible.


Bon courage à toi.

Tu n'es qu'au début du questionnement à mon avis.

Vu de mes yeux, l'alcoolisme est dans mon cas un long apprentissage sur des années.

Il faut donc regarder à tes 20 ans et non aux dernières mois. Là où tu aurais dérapé... c'est sur ces 20 ans qu'il faut regardé.

Tu as fourni à ton cerveau ce système de récompense... idéal, facile. Pourquoi ton cortex irait en chercher un autre ?

Donc te voilà avec 20 ans d'expérience en alcoolisme (ou plus sagement en digestion d'ethanol). Dis autrement 20 ans à nourrir ton cerveau de ce système de récompense (certes parmis d'autres).

Ca reste une narration mais as-tu déjà offert à ton corps ne serait-ce que 6 mois d'abstinence ? Mieux... une année complète ?

Tente l'expérience. Vois comment ton psychisme va le vivre, le detourner (un bon petit verre après tout), comment tu vas gérer les frustrations de tous les événements (alcool mondain, anniversaire, fêtes, vacances etc). …

Je suis depuis hier en plein dedans car j'ai pris mon premier 50mg la veille. Rêves trés étonnants cette nuit et sudation comme aprés une consommation excessive Je verrai ce soir.

Selon des témoignages du Csapa il y aurait une envie trés mesurée voire même un effet de rejet de l'alcool qui déplaît aux amateurs de bon vins par exemple (témoignages de deux dames). Elles ne veulent pas être abstinentes et sont déçues de percevoir leur nectar comme désagréable.

J'aurai juste voulu savoir s'il s'agissait du goût ou de l'effet d'ivresse des premières gorgées.

Selon le médecin c'est bien le petit effet d'ivresse qui est inihibé. Donc la sensation de plaisir de boire sublimée en frustration.

4eme jour pour moi et hier soir montée fulgurante. Toujours vers les 19/20h. Je panique un peu parce que déjà l'esprit construit le rituel. Je m'imagine m'envoyer un bon verre de ricard version flan à la vanille et triper sur cette première ivresse. Ça cogite. Les yeux ne fonctionnent plus s'emballent …

Le rapport a l’alcool commence à changer mais il est à mon avis perdu à jamais dans une politique globale où les politiciens eux-mêmes, et tant de personne d’autorité, agissent et parlent de manière médiocre et stupide. Quand un ministre de l’intérieur parle de cannabis comme de la merde alors qu’il aura été défoncé à l’alcool plus d’une fois et j’en passe pour les autres dopes. On est encore dans le bois.

 

Donc il faut ramener l’alcool à sa molécule. Je doute que si demain on supprime l’alcool dans les eaux-de-vie, Bourgogne etc les tenants de la ligne culturelle n’y voient pas de problème. Un bon bordeaux sans alcool et ils feront la gueule. Parce que l’ivresse serait-elle aussi culturelle. Entendre que le vin ça n’est pas pareil, c’est le signe d’une ignorance crasse de nos élites (qui par ailleurs subissent des murges collectives à gogo dans leurs grandes écoles).

 

Perso ça me fait marrer quand je vois les cocktail, les boissons. Dit un peu brutalement comment l’éthanol est e …

Hello à toutes et tous,

 

Bon, ben bienvenue dans la valse des addictions. Après avoir virer de l’hebdomadaire la coke, puis la mdma, depuis facile 3 ans c’est la boutanche à bulles qui aura installé ses deux séduisantes fesses dans mes soirées.

 

J’ai toujours eu un regard un peu éloigné voir indifférent avec l’alcool. Ne lisant jamais les sujets de ce forum par exemple, mais toujours conscient que les addictions sont sévères, plus dissimulées dans le temps et les contextes.

 

Se mettre de la coke tous les trois jours voire tous les jours en vacances par exemple et en groupe relèverait d’une sacrée addiction, d’une consommation jugé excessive et borderline. Avec de l’alcool on y verrait un jeu, une convialité de défonce de circonstance. S’envoyer la première du matin pourrait même être fun et orienter ainsi les rires et les comportements dans cet univers étrange du plaisir. Être bourré c’est drôle, même si tu vides tes tripes… défoncé à la coke ou sous mdma fait peur.

 

Je ne …

très soft pour moi mais sensation de malhonnêteté.

Soirée coke, mais avec des personnes qui s'envoient des petits traits, le coté coke mondaine pour bobo (que je suis) parisien, moi, si j’en prends c’est de gros traits bien solides autrement je m’en passe. Donc on a les produits, dont un dans ma poche (que je tais). Les traits déboulent, je réussi à ne pas avoir d’obsession puis forcément ça m’agace d’attendre, et d’avoir ces petits jets tout naze. Je file au toilette et m’envoie celle normalement réservée, puis vers la fin je trouve carrément le pot au rose de la personne qui nous a invité, sa cachette quoique facile et je me fais comme un gros naze des troncs d’arbre, et j’en suis content mais juste honteux de cet égoïsme.

Et aussi conscient que les soirées à coke mondaine sont pour moi sans intérêts, depuis je n’en prends tout simplement plus de coke, au moins je ne démarre pas ces envies de belles montées.

C’est ridicule mais si je m’étais fait chopper j'aurais eu du mal à assum …

Merci pour ces réponses, passionnant...

Mauvaise idée à mon sens de vouloir gommer l'absence de sommeil par un somnifère.

Ca fait partie aussi du rapport au produit, non pas dans l'idée de souffrir, mais de voir que c'est un gros stimulant la coke, et d'en mesurer un peu les conséquences, dans le sens où tu le vis déjà, le rapport coùts/bénéfices fera partie de ton cheminement si tu veux arrêter ou modérer.

Essai de trouver un centre CSAPA près de chez toi, ou un psy qui connait les addictions.

Le pire est la notion de culpabilité, cette spirale où l'on passe du désir d'en prendre, d'en prendre et pendant la descente ou le lendemain on se dévalorise à fond.

Perso, coke = nuit blanche. D'autres arrivent à pioncer. D'autres s'envoient un gros lexomil ou autres medoc sans culpabiliser. J'ai déjà essayer les lexo, impossible de dormir malgré tout. Ou alors une dose pour baleine.

Même conseils que plus haut, écoute/lis les témoignages des autres personnes. On se sent moins exclus et dépossédés, puis tu vas aussi moins de re …

Pas trop de règles pour définir le produit sinon des tests chimiques. Les aspects sont trompeurs, tu peux avoir un truc fluide tout naze comme une super dure excellente.

J'ai eu de la top très neigeuse il est vrai. Il faudrait une référence. Des ami(e)s ont eu en Bolivie, Perou ou même Colombie de la locale, et l'aspect très neigeux reste vrai, ainsi que des petites quantités dont les effets approchent l'heure. J'ai eu cette poudre là, très agréable (presque un plaisir sensorielle du snif), mais aussi de la très bonne trop dur (et galère à casser).

Mais le coté neigeux est une contrainte pour le transport, généralement le bloc dur est préféré.

50 ça me parait très en deçà des prix du marché. Et s'il te faut de gros traits c'est qu'elle est fortement coupée.


Offre toi un test (https://www.testdrogue.fr/) ca vaut le coup.

J'ai quand même remarqué que la très bonne et assez pure conjugue une montée assez équilibrée et une durée qui dépasse largement les 40 minutes, puis surtout de …

Variable et surtout lié à la qualité.

Celle que je reçois du DM, les lignes sont assez courtes et la cokee dure longtemps. Mais j'aime bien parfois m'envoyer un gros traits de bûcheron (les petits traits trop répétés ça me saoule).

Ensuite, c'est du ressenti, soit tu sens une légère baisse, quoique parfois ça repart, soit le plaisir tout simplement de sniffer.

Généralement ça n'est pas la coke qui m'arrête, mais le fait que mon nez est saturé et n'est plus capable de rien.

Prenons de la coke, si elle n'est pas trop acide le sniff sera très agréable, et en soi correspondant aussi au mode de prise normal. Elle ne se gobe pas par exemple.

Si tu prends de le mdma, là le choix parachute où snif sera plus évident.

Pour ma part je gode, mais j'aime bien relancé par petites touches de snif pour le coté efficacité immédiate, non pour le geste et encore moins pour le plaisir.

Je doute sincèrement de la "construction sociale" du geste, c'est plus une façon de prendre une drogue, selon des besoins très rationnels.