[quote=yoshinabis]. :lol:
Notre but n'est pas de conseiller des substances, c'est d'ailleurs proscrit par la charte du forum
En tout cas merci de ta réponse.[/quote]
Re-Chalut breton,


Mon but n'était pas de prescrire des marques mais des types de produits.
À savoir des "benzo" (sic) à durée de vie longue (il me semble avoir évoqué des génériques et non des marques) pour un sevrage difficile, puis une alternative psychiatrique pour un traitement de fond, avec les mêmes prudences évidentes mais en essayant de faire partager mes expériences, quoi qu'elles puissent bien valoir, comme mes connaissances.

C'est là que le psychiatre (si on en trouve toujours) doit prendre la relève du généraliste (qui se fait de plus-en-plus-moins facile à trouver.


Maintenant si un "modo" y trouve à redire, je le lirai avec le respect que je lui dois.



Toujours bien cordialement. …

« Buspirone OK, mais ça reste une benzo et y'a déjà le lysanxia.

Mais que viens foutre l'ad dans l'histoire ?
(venlafaxine)
Juste pour de l'angoisse ???
T'es sur de ton coup docteur queen ?

J'aimerai bien que tu développe, histoire de me coucher moins con...»





Bonjour,

Alors, prenons dans l'ordre.

1- Le Buspirone n'est pas un benzodiazépine et peut être prescrit en particulier dans un cas de dépendance.
2- Les anxiolytiques tels les benzodiazépines servent à traiter occasionnellement les symptômes mais en aucun cas la cause.
3- Le Buspirone et la Vanfafaxine sont généralement les mieux adaptés dans ce cas de cas clinique s'ils sont bien supportés.
4- Avec l'accord d'un psychiatre personnel.

Cordialement.

Bonsoir,


Le Prazépam a deux principes actifs.

Le premier a une action rapide, dans la ½ heure suivant l'ingestion.

Le second agit pendant de l'ordre de la centaine d'heures.

Donc une crise est résolue par une prise ponctuelle (disons 1 cpm matin et 1 cpm le soir pendant les deux premiers jours pour un début de traitement, puis 1 cpm le soir pour les jours qui suivent en essayant de ne pas aller au delà d'une boîte de traitement continu).

Pour le sevrage, il suffit de réduire progressivement la prise (le comprimé est sécable, donc alterner ½ cpm et 1 cpm sur deux jours consécutifs, puis quand ça passe, ½ cpm par jour, puis essayer de ne plus en prendre tous les jours.

Si ton médecin ignore ça, il est peut-être utile d'en changer.

Aucun problème n'est insoluble : bon courage.


Cordialement.