Recherche » Forums » Auteur : citra34

Decro - Sevrages... et après ? » PAWS interminable après l'arrêt de la venlafaxine(AD) il y a 3 ans » 17 mai 2020 à  23:33

Bonjour, après plusieurs années de traitement j'ai arrêté la venlafaxine en diminuant pendant 3 mois en mars 2017. Le sevrage a été très dur, mais depuis c'est de pire en pire. Je suis angoissée presque tout le temps, petit à petit j'ai perdu presque complètement la mémoire, j'habite dans le même village depuis plus de 20 ans et j'arrive à me perdre. Tous les matins je me réveille en panique, j'ai du mal à faire la différence entre le rêve et la réalité. J'avais des crises de déréalisation mais ça c'est passé. J'ai l'impression de vivre un cauchemar. Plus du tout d'énergie, impossible de me concentrer, j'ai pas lu un livre depuis 3 ans... J'ai perdu 14 kgs. Les médecins que j'ai vus refusent l'idée que ce soit dû à la venlafaxine. J'ai pourtant trouvé des groupes d'entraide sur Facebook de plusieurs milliers de personnes, et il y a plein de procès en cours contre ces labos. J'ai refusé de reprendre des AD ou d'autres médocs psychiatriques, je n'ai plus confiance.
Par contre j'ai fait …

Cathinones et RC stimulants » Renseignement 4F-MPH » 28 avril 2020 à  13:12

Bonjour, j'ai la même question que Geckola, dans quoi peut-on faire une dissolution volumétrique de 4F-mph ? Je veux prendre de toutes petites doses mais c'est la galère à peser. Est-ce que ça marcherait dans du PG ?
Merciiiii !

MDMA/Ecstasy » un mois de mdma + lsd, beaucoup trop, envie de me flinguer » 19 octobre 2018 à  09:59

Merci pour toutes vos réponses, ça m'a vraiment aidée !!! Je me sentais extrêmement seule avec mon problème, j'en avais parlé à personne, sauf à mon médecin, mardi, qui a eu l'air consternée et m'a filé un AD et du zopiclone pour dormir. J'avais aussi essayé le kratom, les benzos, la weed, mais ça a pas changé grand chose. Quand je vous ai écrit j'étais pas loin de planifier mon suicide... J'étais beaucoup trop en vrac pour arriver à décider quoi que ce soit.
Le facteur a enfin amené ma commande en début d'aprem, et je me suis sentie tout de suite soulagée, avant même de consommer. C'est donc ça le craving ? Je me suis pas jetée dessus, le voisin est passé et je lui ai tout raconté, et là j'ai décidé de demander de l'aide au service addicto de l'hosto de Montpellier. Visiblement c'est impossible et dangereux pour moi d'arrêter toute seule ici, si je suis dans un tel état de panique et de dépression au bout d'une semaine... Même en prenant des vitamines et du 5-HTP.
Donc le soir j'ai pr …

MDMA/Ecstasy » un mois de mdma + lsd, beaucoup trop, envie de me flinguer » 18 octobre 2018 à  08:14

Au secours !!! J'ai pris de la mdma et du lsd presque quotidiennement pendant un mois, là j'ai arrêté depuis une semaine (j'en ai plus...), et c'est horrible, je suis d'un naturel dépressif mais là j'ai carrément envie de mourir. Je vis seule et j'ai fait ça seule. Je ne sais pas où et à qui m'adresser. Je sais que je me suis peut-être flingué le cerveau. Paniiique !!! Est-ce que je vais rester comme ça ? Parlez-moi !!!

Decro - Sevrages... et après ? » codéine, sevrage programmé à l'hôpital, besoin d'aide » 14 juillet 2018 à  11:28

[quote=prescripteur][quote]Je suis donc censée me taper le sevrage physique ET les crises d'angoisses avec.
Dans les protocoles de sevrage pratiqués ailleurs que j'ai trouvés sur le Net, il y a toujours des tranquillisants, voire des somnifères. Mais elle est contre... Faut souffrir ![/quote]
Tout ça n'est pas très médical. Donc il est possible qu'ils aient un peu chargé la barque dans le discours et qu'ils soient plus "cool" le moment venu. Il y a sûrement un médecin de garde qui peut corriger le tir. Donc tu peux essayer, [b]insister longuement[/b] sur toutes tes insomnies et tes angoisses, [b]si tu en as[/b], et si vraiment on ne t'écoutes pas partir contre avis médical. Mais, surtout, ne souffre pas en silence !!!
ça vaut peut etre mieux que de ne pas essayer et de rater une occasion.
Amicalement[/quote]
Effectivement, "souffrir en silence" c'est un peu ma spécialité. J'ai peur de me retrouver "la vieille toxico chiante alors que les autres gens dans le service médecine sont des vr …

Decro - Sevrages... et après ? » codéine, sevrage programmé à l'hôpital, besoin d'aide » 14 juillet 2018 à  11:09

@prescripteur :"Tout ça n'est pas très médical. Donc il est possible qu'ils aient un peu chargé la barque dans le discours et qu'ils soient plus "cool" le moment venu. Il y a sûrement un médecin de garde qui peut corriger le tir. Donc tu peux essayer, insister longuement sur toutes tes insomnies et tes angoisses, si tu en as, et si vraiment on ne t'écoutes pas partir contre avis médical. Mais, surtout, ne souffre pas en silence !!!"

Effectivement, "souffrir en silence" c'est un peu ma spécialité. J'ai peur de me retrouver "la vieille toxico chiante alors que les autres gens dans le service médecine sont des vrais malades, eux". J'ai ce genre de pensées et ça me casse bien, faut que j'éclaircisse tout ça avant d'y aller !
Et t'as raison Prescripteur, après tout j'en aurai peut-être pas des angoisses, avec l'arrêt de la cod et le changement de milieu. Vade retro Paranoïa ! ;)
Merci de ton soutien !!! …

Decro - Sevrages... et après ? » codéine, sevrage programmé à l'hôpital, besoin d'aide » 14 juillet 2018 à  10:48

Merci Fil !
En fait la dépression c'est ce que je suis en train de vivre en ce moment, sous codéine, montées d'angoisse entre les prises, crises de panique, plus du tout d'énergie, délabrement physique, problèmes respi... Je vis seule et je me suis isolée complètement, j'ai un mal fou à sortir de chez moi etc. Je fais le pari que c'est dû à ma réaction perso au produit (j'ai trouvé quelques témoignages dans ce sens), mais pour le savoir faut que j'arrête. J'espère que c'est la codéine qui me fait ça, sinon je partirai en HP, pas le choix.
Pour moi cette post-cure je vois ça comme une TCC non-stop de 8 semaines, et apparemment c'est ce qui marche le mieux pour se sortir de la dépression. En plus je ne bosse pas et ça n'aide pas.
J'ai été admise dans le centre sous condition du sevrage ici, le CSAPA bosse avec eux. En plus j'ai trouvé par hasard une femme qui y est allée après un arrêt d'alcool et elle est enthousiaste. Alors je vais tenter quand même. Et essayer de négocier mon traiteme …

Decro - Sevrages... et après ? » codéine, sevrage programmé à l'hôpital, besoin d'aide » 14 juillet 2018 à  08:16

T'as raison, c'est ce que je fais ce matin, penser à la post-cure... Par chance pas de crise de panique en me réveillant aujourd'hui, et là sans l'angoisse je me dis que le sevrage c'est faisable, même si physiquement je vais en chier . Je vais essayer de négocier, j'en ai vraiment besoin de cette post-cure, et dans le contexte politique actuel c'est pas évident qu'on puisse continuer à bénéficier de ce genre de soins gratuits à l'avenir... Donc c'est maintenant. Et la perspective de rester en mode larve sous codéine comme ce que je vis maintenant c'est effrayant aussi, encore plus même.
J'avais pas pensé au problème du sommeil, merci de tes conseils !
En fait c'est les angoisses qui me font peur. Mais si c'est bien la codéine qui me les provoque ça devrait logiquement aller mieux de ce côté-là. Sinon, c'est que je suis bonne pour l'HP, autre expérience...

Decro - Sevrages... et après ? » codéine, sevrage programmé à l'hôpital, besoin d'aide » 13 juillet 2018 à  23:34

Le soutien psy je connais bien, je l'ai pratiqué pendant des décennies et je pense que j'ai un abonnement illimité. Justement lundi j'ai vu le psy du CAPSA, qui m'a assurée qu'il n'y aurait pas de problèmes, que je serai médicamentée pendant le sevrage pour souffrir le moins possible, bien qu'il n'y ait pas de miracles.
Le problème vient de la médecin addicto en chef, qui m'a annoncé hier que je n'aurai aucun médicament pour m'aider à gérer les angoisses, qu'il faudra que je me débrouille toute seule avec mes "ressources intérieures", la respiration (et pourquoi pas la prière tant qu'on y est ?). Donc aucune aide psychologique, surtout pas chimique. Elle pense que si je prends des calmants, je vais automatiquement basculer dans une autre addiction, en une semaine (c'est le temps d'hospitalisation prévu)... Surtout les diaboliques benzos !!!
Or je suis plus ou moins dépressive chronique, (ce qui m'a pas empêché de faire plein de trucs chouettes dans ma vie heureusement !), et ça s'est …

Decro - Sevrages... et après ? » codéine, sevrage programmé à l'hôpital, besoin d'aide » 13 juillet 2018 à  21:19

Merciiiii de ta réponse, ça me fait chaud au coeur (que je sentais grelotter alors que la température extérieure avoisine les 35°...) :)
Effectivement je ne m'attendais pas à une partie de plaisir en choisissant de faire ce sevrage de codéine, je sais que physiquement c'est dur. Mais c'est pas ça qui m'inquiète. Ils ont prévu un protocole catapressan.
[b]Pendant tes sevrages, est-ce qu'on t'a filé d'autres médocs en plus (pour le sommeil, l'anxiété...) ?[/b]
Il n'y a pas de lits réservés à l'addicto à l'hôpital de Sète, je serais donc dans le service médecine avec quelqu'un qui aura une autre "maladie" que moi. Et manque de bol les deux spécialistes addicto seront en vacances, et l'infirmière aussi.
C'est pas que je sois trouillarde, en fait si, très trouillarde, mais c'est pas rassurant du tout quand même je trouve. ;)
Quant aux raisons qui m'ont conduite à ma vie codéinée actuelle, c'est compliqué, mais c'était surtout pour arriver à arrêter un AD, l'Effexor, très addictif. Mais si j …

Decro - Sevrages... et après ? » codéine, sevrage programmé à l'hôpital, besoin d'aide » 13 juillet 2018 à  10:10

Bonjour tout le monde. Je suis accro à la codéine depuis 2 ans. Au départ c'était très bien, mais je ne suis pas arrivée à maîtriser ma conso et maintenant je suis complètement débordée, perte de mémoire, angoisse permanente entre les prises, dépression, isolement, aucune énergie etc. J'ai donc décidé d'arrêter, au moins pour savoir si cette dépression venait du produit ou non, sachant que chacun réagit différemment. J'avais déjà des problèmes avant mais beaucoup moins. Je ne suis pas arrivée à diminuer toute seule et je suis donc allée au CSAPA de Sète. Là on m'a proposé un sevrage d'une semaine à l'hôpital suivi d'une post-cure de 8 semaines dans un centre en Aveyron. J'ai accepté et le sevrage est programmé pour le 7 août.
Hier j'ai parlé du protocole de sevrage avec le médecin responsable. Je serai sous clonidine et c'est tout, pas d'anxiolytiques "pour ne pas passer d'une dépendance à une autre". J'ai essayé d'argumenter que pour moi le plus difficile était la souffrance morale, m …

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