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Familles, amoureux(euse), collègue : je t'aime moi non plus ? » J’ai l’impression qu’il est dans le déni.. je m’en veux » 14 avril 2018 à  17:28

Oui, tout à fait

Mais je mets un point d’honneur à ne JAMAIS lui reprocher de prendre.

Je lui répète souvent que je n’en lui en veux pas de craquer, que ce qui compte vraiment, c’est toutes les fois où il a eu envie de prendre et qu’il n’a pas pris.

L’addictologue qu’il a vu il y a 3 semaine l’a rassuré en lui rappelant que la rechute faisait partie du sevrage.

Familles, amoureux(euse), collègue : je t'aime moi non plus ? » J’ai l’impression qu’il est dans le déni.. je m’en veux » 14 avril 2018 à  16:58

Oui, non, pardon, je me suis mal exprimée

On partirait plutôt en juin — malgré tout ce qu’il traverse, il continuer d’aller en cours (et de tout déchirer à ses exams) et il travaille à mis temps (il n’a jamais raté une journée) — le temps aussi qu’il ai lui même déjà diminué ses prises, et que l’effort soit moins intense.

Je suis confiante et vos messages me conforte là dedans.
Rien n’est perdu, ses « rechutes » sont « normales » ([small]beaucoup trop de guillemets dans cette phrase[/small] :thinking: )

Même si c’est très difficile, j’ai entièrement confiance en lui et je crois en lui. Il va s’en sortir, et il me donne vraiment l'impression d’en avoir envie.

Familles, amoureux(euse), collègue : je t'aime moi non plus ? » J’ai l’impression qu’il est dans le déni.. je m’en veux » 14 avril 2018 à  10:23

Je suis impressionnée de recevoir autant de réponses, si longues et si détaillées, de personnes qui ont pris le temps et la peine de lire absolument tous ces échanges.

Merci

Toutes ces réponses, si différentes soient-elles, vont quand même plutôt dans le même sens.

Quand j’ai écrit mon premier post, je venais de quitté notre appartement et étais retournée quelques jours chez mes parents.

Je suis repassée à la maison hier soir et nous avons beaucoup parlé.

Il ne veut plus jamais reprendre de zolpidem (c’est à moi que le medecedin le prescrit en « si besoin », c’est pour ça qu’il y en a à la maison...)
Quant à sa consommation d’alcool, elle m’a inquiétée il y a quelques semaines mais aujourd’hui je n’ai pas l’impression qu’il boive si souvent et plus que ça.

Je vois bien les efforts qu’il fait, et j’ai parfois tendance à vouloir que ça aille plus vite, trop vite ...

Enfin voilà, conclusion de notre grande discussion :
Nous avons décidé [b]ensemble[/b] de partir une dizaine de jou …

Familles, amoureux(euse), collègue : je t'aime moi non plus ? » J’ai l’impression qu’il est dans le déni.. je m’en veux » 13 avril 2018 à  08:27

Merci Stashmou,

Je suis aussi d’accord avec toi, et sa consommation de canabis m’inquiète moins... même je suis incapable de quantifier sa consommation de canabis.

Familles, amoureux(euse), collègue : je t'aime moi non plus ? » J’ai l’impression qu’il est dans le déni.. je m’en veux » 13 avril 2018 à  02:05

Merci Sud 2 France,

C’est aussi mon avis, on ne peut pas appeler ça un sevrage à proprement parler...

Après il faut aussi admettre que la fréquence de prises « sniffées » a nettement diminué.

Est ce que je peux m’accrocher à ça pour dire qu’il y a du mieux ?

Je m’en veux de penser ça, mais j’ai tendance à croire que sans un sevrage complet dans une structure fermée, il n’y arrivera jamais, malgré la meilleure volonté du monde :(

Familles, amoureux(euse), collègue : je t'aime moi non plus ? » J’ai l’impression qu’il est dans le déni.. je m’en veux » 13 avril 2018 à  01:18

Le sevrage de mon compagnon est très difficile à surmonter au quotidien à la maison.

Peut on appeler ça un sevrage si on remplace sa consommation par une autre ?

Je veux dire : il voulait arrêter la cocaïne et la mdma (il en consommait 1 à 3 fois par semaine, seul à la maison)

Mais depuis son arrêt, —de ce que je sais, un peu plus d’1 mois sans mdma et 3 semaines sans cocaïne (donc déjà bravo ! Je suis super fière de lui et J’essaye de lui répéter le plus souvent possible) — il a commencé à sniffer du Zolpidem.

Alors sous Zolpidem il est infernal. On se dispute, il est méchant, et entre deux incohérences, il m’attaque (avec les mots) là où ça fait mal (sur le fait que je veux un enfant, et qu’en vue de la situation actuelle, ça partait compromis)
C’est éprouvant, il prend des risques, fait des choses absurdes (il a fait des machines et rangé le linge, les rares vetements que j’ai retrouvés sont abîmés et irrécupérables, impossible de remette la main sur le reste) et j’ai toujours …

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