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Codéine et dihydrocodéine » reduction de dose de codéine  » 07 mars 2018 à  10:59

Bonjour,

Si tu peux prendre ton temps entre chaque retrait de cachet, alors ça devrait aller pour le manque physique. Tu n'en auras sans doute pas au début et quand il arrivera, il sera faible et ne durera que quelques jours.

Par contre, pour l'envie de prendre plus de cachets, je ne peux pas te garantir que tu n'en souffrira pas à un moment donné. Ce manque psychologique peut être dur et conduire à la rechute, bien plus que le manque physique.

C'est là que la motivation et le sport vont t'aider.

Trouver les clefs de ce qui t'as conduit à cette addiction pourrait aussi t'aider si tu parviens à comprendre et peut être à régler le problème qui t'as poussé à prendre trop de codéine.

Je te souhaite le meilleur.

Antidepresseurs » Interaction codeine et venlafaxine » 06 mars 2018 à  12:13

Bonjour,

J'ai fini mon sevrage dégressif de la codéine en addictologie où l'on m'a prescrit de la venlafaxyne pour un trouble anxieux généralisé.

J'en prends toujours (çar il faut du temps pour soigner un TAG) alors que j'ai fini mon sevrage de la codéine depuis 2 mois.

Quand on m'a prescrit la venlafaxyne je prenais encore 8 codoliprane soit 320 de paracétamol et 160 de codéine (je suis partie de 24 codoliprane au début de mon sevrage en 2016 et j'étais à 10 en arrivant en addicto fin juillet 2017).

En toute franchise, je n'ai jamais remarqué d'interaction entre venlafaxyne et codéine.

J'ai connu la codéine seule, avec la venlafaxyne et désormais cette dernière seule et dans les 3 cas, je n'ai rien remarqué (si je laisse bien sur de côté l'aspect fin de sevrage qui n'a rien à voir.)

Je prenais la venlafaxine le matin et la codéine uniquement le soir (atypique selon mon addicto mais c'était comme ça pour moi).

Bien sur, c'est mon impression personnelle et peut être que ceux qui …

Codéine et dihydrocodéine » reduction de dose de codéine  » 06 mars 2018 à  11:25

Bonjour Joker,

Il n'y a aucune honte à cette addiction que nous sommes nombreux à vivre ou avoir vécu pendant des années et qui était facile à gérer puisque la codéine était en vente libre. Personnellement, je n'ai jamais obtenu de codéine sur ordonnance, sauf quand j'ai finalement consulté en addictologie fin juillet.

Je comprends à quel point l'errance médicale doit être difficile parce que je ne me suis pas sentie la force ni l'envie de m'y livrer.

Le problème c'est que si tu réduits fortement la dose, tu vas ressentir un manque important dans les 24 à 36 heures et cela va durer plusieurs jours. Sans être aussi important que l'arrêt brutal, une forte diminution est quand même une grosse épreuve, surtout sans suivi.

Pour ce qui est des effets de la codéine, je suppose que tu parles de cet agréable impression cotonneuse et apaisante parce que perso le flash je ne l'ai ressenti qu'au tout début et une fois de temps en temps, je dirai 1 ou 2 fois par an une fois l'addiction installé …

Codéine et dihydrocodéine » Lyrica (Prégabaline) et Codéine » 05 mars 2018 à  16:50

Bonjour,

Quand j'ai commencé à prendre du lyrica il y a 4 mois pour de fortes impatiences nocturnes dans les jambes, j'ai aussi fait une recherche sur le net mais c'est vrai qu'il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent.

Il s'avère que j'en ai pris avec codéine et que j'en prends désormais sans depuis que j'ai terminé mon sevrage dégressif le 25/12/17.

En arrivant à 6 codoliprane, j'ai commencé à souffrir de très fortes impatiences nocturnes dans les jambes pouvant aller sur des crises de 5 à 6 heures de suite aux pires moments. A partir de là, elles sont revenues toutes les nuits, que je retire un cachet au bout de 10,15 ou 40 jours et cela continue alors que j'ai fini mon sevrage il y a 2 mois.

Bref, les crises ont cessé en prenant 300 mg de lyrica.

Je n'ai vu aucune interaction avec la codéine. Les effets du lyrica ont été les mêmes avec ou sans codéine: empêcher les crises d'impatiences, produire un effet relaxant, une détente pendant la nuit.

Cet effet détente et rel …

Antidepresseurs » Venlafaxine et maux de tête » 05 mars 2018 à  15:35

Bonjour Miss,

Selon mon addicto, cet AD serait plus efficace sur les angoisses que sur la dépression.

Bien sur, avec ce genre de médocs, la réaction va différer pour chacun.

Pour mes angoisses, il a agit très vite mais partiellement au début jusqu'à ce que je sois à 150 mg où là tout a disparu, me laissant cette impression étrange d'être libérée de la gadoue dans laquelle je pataugeais depuis bien longtemps.

Je ne souffre pas de dépression mais dans le cadre de mon sevrage de la codéine, j'ai quand même eu une perte de motivation importante, notamment pour le travail, comme si toute mon énergie était dévorée par l'effort que je faisais.

En fait, je pense que ce manque d'envie était plus compliqué que cela et pour lui, les choses ont été plus longues à commencer à se régler que pour les angoisses. Ce n'est qu'il y a quelques semaines que j'ai enfin retrouvé l'envie de travailler. Je fais un métier que j'aime beaucoup et j'étais désolée de plus avoir envie et de devoir me forcer.

Antidepresseurs » Venlafaxine et maux de tête » 02 mars 2018 à  11:53

Pour répondre à MushRock, je prenais 24 codoliprane par jour, ce qui représente 480mg de codéine.

J'ai été dépendante pendant 10 ans, c'est très long et c'est miraculeux que mon foie n'ait pas été endommagé par le paracétamol accompagnant la codéine.

En fait, je suis devenue dépendante à cause de très puissantes angoisses s'exprimant surtout la nuit. La codéine avait sur moi (comme sur beaucoup de gens) une effet apaisant qui me permettait de tenir ces angoisses sous contrôle.

J'ai commencé à réduire ma consommation toute seule en retirant cachet par cachet et en prenant tout mon temps car la codéine était en vente libre. En fait, entre 24 et 16 cachets, je n'ai jamais ressenti ni manque physique ni envie de prendre plus de cachets. Je pense que c'était la marge dont j'aurai très bien pu me passer, si je peux dire un truc pareil. C'est après que ça a été plus dur.

C'est en consultant en addicto fin juillet 2017 (la codéine n'étant plus en vente libre, je n'avais pas le choix car je …

Antidepresseurs » L'efficacité des antidépresseurs prouvée par une vaste analyse » 01 mars 2018 à  09:58

J'adore cette diversité d'opinions.

Finalement, la seule chose qui compte en la matière c'est la perception que chacun a de l'efficacité de ce qu'il prend et de ce qu'il veut ou peut faire de sa vie.

Pour moi, malgré le plaisir que cela a pu m'apporter, j'espère ne plus jamais avoir à faire avec les opiacés.

J'ai d'ailleurs une folle pétoche si je dois un jour me faire opérer ou être de nouveau malade car si on me refile de la morphine, je crains que mon cerveau ne replonge.

Je n'ai jamais fait un trip aussi hallucinant qu'après une injection de morphine à mon réveil d'opération bien avant que je n'abuse de la codéine.

Bon sang, foutu caboche.

Antidepresseurs » L'efficacité des antidépresseurs prouvée par une vaste analyse » 28 février 2018 à  10:40

Chapeau bas Mascarpone car pour avoir lu certains de tes commentaires sur le forum codéine c'était pas gagné !

Personnellement, je n'ai aucun attrait pour les antidépresseur car il ont un effet sur le cerveau qui peut être inquiétant, catastrophique parfois, mais aussi fabuleux dans certains cas.

Si j'ai pu aller aussi "facilement" au bout de mon sevrage dégressif de la codéine, c'est grâce à un antidépresseur, la venlafaxyne. Mon addicto me l'a prescrit pour un trouble anxieux généralisé dont je souffrais depuis des années sans le savoir.

Je gobais de la codéine pour étouffer temporairement et partiellement mes angoisses et en 2 mois l'AD les a fait purement et simplement disparaitre, ce que la codéine n'a jamais fait en 10 ans.

J'ai fini par reconnaitre ne pas avoir utilisé la bonne béquille chimique et je suis prête à prendre cet AD un an ou même plus s'il le faut car en me libérant de mes angoisses, ce petit gars a en plus fait disparaitre cette furieuse envie de prendre plus …

Antidepresseurs » Venlafaxine et maux de tête » 28 février 2018 à  10:27

Bonjour Miss,

J'espère que ton traitement se stabilise. Avec les AD, il faut être patient.

Maintenant, c'est vrai que toi comme moi nous ne le prenons pas pour une dépression pour laquelle il faut de très longues semaines avant que ça bouge enfin.

Pour mes angoisses, il a agit en quelques jours à peine et j'ai ensuite augmenté la dose graduellement en passant de 37,5 à 150 aujourd'hui en 2 mois. Tu peux être rassurée car même moi je ne prends pas la dose maxi et je t'assure que je travaille et que je fonctionne bien, mieux qu'avec mes angoisses, c'est sur.

Pour toi, je pense que ton médecin va aussi voir comment il réagit et adapter le dosage.

Pour les effets secondaires, il faut être patient mais normalement, à part la bouche sèche 8/10 jours devraient être suffisants.

Tu sais, j'ai pris cet AD dans le cadre d'un sevrage de la codéine dont j'étais devenue dépendante à cause de mes angoisses. Un jour j'ai eu le courage de réduire ma consommation, puis j'ai consulté en addicto po …

Antidepresseurs » Venlafaxine et maux de tête » 22 février 2018 à  10:23

Bonjour,

En fait, tout dépend pour quoi tu prends la venlafaxyne.

Pour une dépression, c'est comme tous les autres AD, il faut du temps avant que l'effet bénéfique soit remarqué, du moins je le pense car pour ce qui me concerne j'avais pris du séropram il y a un certain nombre d'année pour une dépression et il avait fallu attendre plusieurs semaines pour ne plus voir tout en noir. Ensuite, il avait été très efficace pour entamer ma psychothérapie dès que j'ai pu enfin revoir le monde sans lunettes noires.

Par contre, pour les angoisses, la venlafaxyne peut avoir un effet presque immédiat, c'est à dire en 3 ou 4 jours. J'ai dis à mon médecin qui me l'a prescrit après avoir diagnostiqué un trouble anxieux généralisé que c'était presque "magique" de passer d'une myriade d'angoisses oppressantes à une libération de l'esprit que j'ai cru complète au début tant la différence a été rapide et brutale.

En fait, il a réduit les angoisses et en montant la dose j'ai pu constater en effet que ç …

Antidepresseurs » Venlafaxine et maux de tête » 21 février 2018 à  15:31

Bonjour,

Je prends aussi de la Venlafaxyne (Effexor pour la marque d'origine) depuis 4 mois maintenant.

Le médicament a des effets secondaires transitoires divers. Pour ce qui me concerne j'en ai noté 3 principaux:

- mal à la tête. Pour moi c'était une impression de porter un casque en fer un peu petit et parfois d'avoir des sortes de décharges électriques étranges dans le cerveau. Ca a duré 1 semaine environ et ça n'était pas fort au point de prendre un médicament contre la douleur,

- très grosse fatigue: un truc assez puissant car le second jour j'ai du quitter mon travail pour aller m'effondrer toute l'après midi sur mon canapé car je tenais à peine debout, j'étais comme ivre, sonnée. Ca a duré 3 jours comme un légume et ensuite 3 ou 4 jours de plus avec une bonne fatigue mais gérable,

- sècheresse buccale: ça c'est ce qui a duré le plus longtemps, 3 semaines environ.

Je précise que j'ai eu ces effet en prenant 37,5 et qu'en passant à 75, puis en montant encore ensuite (150 au …

Antidepresseurs » Nouveau traitement Effexor : multifonctions ? » 20 février 2018 à  13:03

Bonjour Wonderland,

Ce que tu décris correspond parfaitement à ce que j'ai ressenti au début de mon traitement à l'Effexor: bouche sèche, légères nausées, constipation et en plus, pendant 3 ou 4 jours une fatigue assez puissante puisque j'ai été obligée une fois que quitter le travail pour aller piquer un roupillon sur mon canapé en pleine journée. J'ai eu aussi ces étranges décharges dans la tête au point que je me suis demandée une fois ou 2 si je ne faisais pas un AVC ou une rupture d'anévrisme...

Ca n'a pas duré et le reste non plus. La bouche sèche a peut être été le plus long à partir. Pour la concentration, aucun problème une fois que les effets du début du traitement se sont mis en place.

L'effexor a des dosages différents et pour qu'il soit réellement et totalement efficace, je suis passée de 37,5 à 150 en 2 mois.

Peu à peu, le niveau des angoisses a baissé comme si la marée refluait dans mon cerveau. Un jour, elles ont disparu et je me suis alors rendue compte à quel poin …

Codéine et dihydrocodéine » De la codéine à la Buprenorphine  » 16 février 2018 à  15:42

Lilas24
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Salut Push,

Tu prends 27 cachets, moi c'était 24 codoliprane. Ca a pris du temps mais j'ai terminé mon sevrage dégressif le 25/12/17.

C'est vrai que j'ai commencé toute seule quand la codéine était en vente libre et que je n'en prenais plus que 10 quand j'ai consulté en addictologie fin juillet 2017 (14 mois environ pour passer de 24 à 10, j'avais pris tout mon temps, c'est pour ça que ça c'était super bien passé). J'ai fait le plus dur avec mon addicto mais globalement je dirai que j'ai tenu le choc sans trop de problème, sans doute parce que j'étais prête.

Maintenant que la codéine n'est plus en vente libre, un parcours comme le mien parait compliqué. Une fois que j'ai consulté en addicto, j'étais terrorisée à l'idée de prendre un TSO mais après quelques semaines j'avais fini par accepter de passer à ce protocole si le sevrage dégressif devenait bien trop difficile. Ca n'a pas été le cas mais je pense que j'aurai sauté le pas pour en finir avec la codéine, coûte que coûte.

24 ou …

Antidepresseurs » Nouveau traitement Effexor : multifonctions ? » 15 février 2018 à  16:32

Bonjour,

Pour te donner encore une autre vision de l'Effexor, j'en prends depuis septembre 2017 pour un trouble anxieux généralisé. Ce n'est pas une dépression mais ça ressemble parfois à une bonne déprime car on se retrouve avec de multiples angoisses et/ou phobies dont certaines ne sont pas toujours très rationnelles.

Il faut parfois des années avant de se rendre compte que toutes ces angoisses c'est vraiment anormal et disproportionné et encore plus pour consulter, notamment lorsqu'une des phobies touche le milieu médical comme cela a été mon cas.

Je n'ai personnellement que du bien à dire de l'Effexor que j'ai d'abord pris à 37,7 puis 75...et maintenant 150, qui semble être le dosage habituel pour le trouble anxieux. Il a commencé à agir sur mes angoisses en moins d'une semaine et en un mois je n'en avais plus (les antidépresseurs agiraient plus vite sur les angoisses que la dépression selon la psy qui me suis).

Je n'ai ressenti qu'une fatigue importante pendant 3 jours au débu …

Codéine et dihydrocodéine » Prete pour le CSAPA ? » 07 février 2018 à  12:56

Bonjour,

Je suis contente de savoir que tu as reçu un bon accueil. Je ne suis pas passée par un TSO mais pour avoir lu beaucoup de messages à ce sujet sur le site, il y a un temps de réglage et c'est normal.

Dis toi que tu es partie pour une longue aventure au cours de laquelle, normalement, tu seras soutenue par ton addicto si tu flanches ou que tu as un coup de mou.

Même si moi j'ai fais un sevrage dégressif de la codéine, ce qui est très différent dans le déroulement, je pense que dans les 2 cas il y a un temps pour tout.

J'ai vu mon addicto hier et je me suis excusée auprès d'elle en lui disant que depuis que j'ai arrêté la codéine fin décembre, je lui parle un peu comme si elle était ma psychothérapeute, ce qui l'a fait sourire. Comme elle m'a dit, il y a un temps pour tout.

C'est vrai, je m'en rends compte maintenant. Au début, il faut se concentrer sur soi et la gestion du suivi pour ne pas souffrir trop du manque ou avoir un coup de mou. Pendant des mois, toute mon énergie …

Codéine et dihydrocodéine » Prete pour le CSAPA ? » 01 février 2018 à  11:58

Bonjour,

Le post de Néo fait écho à ce que j'ai ressenti parfois à mon CSAPA. Il y a en effet des gens très abîmés par la vie qui viennent et c'est parfois dur à voir car cela nous renvoi à notre addiction qu'on a du mal à qualifier de toxicomanie, alors que ce mot semble si bien aller à ces gens démolis par l'héroïne, le crack ou l'alcool.

Cet été en août, alors que j'étais déjà suivie par mon addicto, j'ai été confrontée dans la salle d'attente à un routard clochardisé en manque total. C'était dur à voir mais comme le matin le centre reçoit sans rendez-vous, cela peut se produire. Cette confrontation a été assez vertigineuse pour moi à l'époque car entre un polytoxicomane aux yeux jaunes tant son foie semble détruit et moi et bien il y a un lien, la dépendance, mais à un niveau différent. Je suis sortie secouée par cet épisode, j'ai même pleuré à chaudes larmes car à l'époque, à cause de mon TAG, je pleurais dès que quelque chose me touchais. Aujourd'hui, je peux être en empathie …

Codéine et dihydrocodéine » Prete pour le CSAPA ? » 31 janvier 2018 à  13:26

Coucou,

Génial, fonce, on est derrière toi et tu vois il y a plein de centres et autant de personnes qui ont trouvé des solutions et comme Serge l'a dit (au passage cela fait plaisir d'avoir de tes nouvelles et de savoir que ton suivi te conviens).

Si effectivement tu es en Région Parisienne, il y a plein de CSAPA donc si ton contact avec l'addicto ne passe pas, tu pourras changer de centre, la liste est longue.

C'est vrai que le feeling avec son addicto est essentiel car que l'on fasse un TSO, un sevrage dégressif ou autre chose, il ne s'agit pas de suivis anodins. Rien à voir avec un sevrage sec à la dure bien sur, mais il y a des moments d'efforts, de doutes, d'autres plus heureux quand on se sent plus libre.

Maintenant que j'ai fini mon sevrage dégressif mais que je reste suivie pour l'après (qui n'est pas rien non plus, ça c'est un peu la surprise), je me dis avec le recul que je vis une aventure étonnante depuis le début et que ce n'est pas fini. Regagner l'estime de soi c'e …

Codéine et dihydrocodéine » Prete pour le CSAPA ? » 30 janvier 2018 à  16:10

Pour Zazou, c'est celui de Sainte Anne à Paris (d'où l'énorme angoisse à l'idée d'aller là bas car j'associais cet hôpital à des pathologies psychiatrique lourde, mais en fait on entre par l'extérieur et de toute façon c'était l'une de mes angoisses qui me poussais à une telle peur). Si tu es sur Paris, tu peux t'y rendre la 1ère fois sans rendez vous du lundi au vendredi avant 10 heures et tu verras un addicto dans la foulée.

Pour le chat d'Alice (plus facile à écrire), je suis contente de savoir que tu as pu bénéficier d'un sevrage dégressif et sur ce point, je reconnais que pour les addicto qui le font, le rythme importe peu. A un moment donné, j'ai mis 40 jours pour réduire d'un cachet à cause de mes foutues impatiences nocturnes (avant qu'elles soient soignées) et jamais l'addicto ne m'a fait la moindre remarque. Elle m'avait d'ailleurs parlé de paliers de stagnation dont je ne devais pas avoir peur. Savoir qu'on peut prendre son temps sans être mis sous pression par son médecin …

Codéine et dihydrocodéine » Prete pour le CSAPA ? » 30 janvier 2018 à  11:44

Bonjour Fan,

Comme dit Néo, moi aussi j'étais totalement paumée à ma 1ère visite en CSAPA fin juillet. A cette date, la plupart étaient fermés et j'ai été à l'un des seuls centre ouvert toute l'année et recevant pour la 1ère fois sans rendez-vous...mais il est adossé à un hôpital psychiatrique très connu et ça m'a fichu une trouille d'enfer, même si l'entrée ne se fait pas par l'hôpital.

En fait, j'y ai été super bien accueillie par un infirmier qui m'a posé des question pour ouvrir le dossier et j'ai eu la chance de tomber sur une addicto de permanence absolument géniale avec laquelle ça a matché dès le 1er rendez-vous.

Comme j'avais entamé une modération de ma consommation de codoliprane toute seule depuis plus d'un an à la vitesse d'une tortue asthmatique (je pense que c'est la clé d'un sevrage dégressif quand on le débute dans son coin, il faut retirer cachet par cachet en prenant tout le temps nécessaire sans se dire par exemple tous les 15 jours parce que c'est marqué sur le …

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