On m’a fait une grosse prise de sang aux urgences où tout a été mesuré, la thyroïde est mesurée tous les mois pour moi. Mon endocrinologue m’a prise en urgence. Ma cardiologue vient de m’avancer mon rendez-vous à dans 15 jours, au lieu de mai...
Le problème c’est que j’avais une vie tout à fait normale sans codéine il y a quelques semaines encore.
Je trouve anormal d’être d’un coup incapable de dormir normalement, je reçois des espèces de décharges pendant l’endormissement, et mon cœur se met à battre très rapidement ( au point de vibrer). Parallèlement, moins je dors et plus je deviens agressive. Vraiment agressive, je ne parle pas de petits troubles de l’humeur. Je ne me contrôle plus. C’est par peur de blesser physiquement un être plus faible que moi que j’ai commencé à prendre de la codéine. Dans ce contexte, vous ne pensez pas qu’il est important de trouver la cause, et non de me servir de la codéine qui heureusement me sauve la mise pour le moment ? Je ne suis pas une personne vi …

Bonjour à tous,
Je ne sais pas si mon expérience de l’addiction à la codéine est bien typique. On me l’a prescrite la première fois il y a 18 ans après une allergie à l’ibuprofène puis à l’aspirine (œdème, chute de tension et évanouissement). Le médecin s’est mis à me prescrire de la codéine pour tout, expliquant que je ne devais plus prendre d’AINS. Les effets de la codéine sur moi n’ont rien à voir semble-t-il avec ses effets sur mon entourage. Un comprimé effervescent standard de codéine me rend euphorique pendant 8h à 48h (et parfois je ne peux plus rien faire tellement je suis faible). J’ai des difficultés à communiquer que je n’explique pas quand je prends de la codéine (je « n’arrive plus » à parler, cela me fatigue). J’ai commencé à prendre des demis comprimés, puis des quarts, souffrant parfois d’effets secondaires très pénibles (horribles migraines et vomissements). La fréquence des prises, eh bien, elle ne semble rien avoir à voir avec l’addiction. J’en prends quand j’ai mal …