Si déjà tu mélangeais opiacé et benzo....
Lui il te rajoute un somnifère.
Ouais c’est un mélange super costaud pour la nuit.
Mais je ne sais même pas si ça va te changer quoi que ce soit.
Le seresta 50 est + puissant qu’un zolpidem à mon sens.

Tu prends quand la DHC ?
On m’a toujours conseillée vers 19h au plus tard pour prendre ensuite du valium + imovane vers 22h.

Honnêtement, je pense qu’on a tous commencé ainsi.
Le soir, certains c’était histoire de dormir. La codéine servait de somnifère (quand le tramadol par contre a tendance à t’énerver).
Le fait est que ça a un puissant effet anxiolytique comme un gros cocon cotonneux et chaud...

Arrêter définitivement, oui clairement ça me parait compliqué.
Réduire peu à peu. 300. Puis 200. Puis 100.
Si tu as de quoi continuer, n’arrête pas net.
Tu vas enchaîner les nuits blanches. Le manque de sommeil va jouer sur ton moral.
Et tu vas prendre cette fatigue comme un symptôme de manque.

C’est évident que tu y penseras toute la journée... alors qu’actuellement ça n’est pas le cas.

Perso, moi aussi c’était le soir, histoire de me poser, sur les coups de 17h.
Maintenant c’est deux prises par jour. Je dois démarrer ma journée avec la codéine. J’ai mal partout jusqu’à taper dans ma boîte.

Je suis passée de 30mg à 20.
Je te conseille donc un sevrage dégressif.
Chaque semaine, ou toutes les deux semaines …

Récemment je suis passée au noctamide, après 12ans de Imovane.
Ça marchait super bien sûr moi, les premiers effets, je les ressentais en 20minutes.
Il faut savoir que je ne dors plus depuis l’âge de 8ans. Entre 8 et 20ans, je passais vraiment des nuits d’enfer à cause d’une phobie scolaire jamais diagnostiquée.

Bref, j’ai vécu une renaissance avec le imovane. Même si j’ai le droit au petit tacle du pharmacien : va falloir trouver un autre moyen / va falloir finir par vous en passer .... blabla
Moi ça me détend de fou. Je suis bien, libre, légère. Je mets une série, du son asmr ou de la musique sur YouTube. En tout cas, ça fonctionnait super.

Cependant ça fait quelques temps que je me réveille... avec un mal de crâne à ne pas pouvoir ouvrir les yeux. En fait, c’est cet douleur intense, de ma nuque à mes tempes, de mes yeux au somment du crâne.
J’ai comme l’impression de m’être mal couchée, genre le cou bloqué mais j’en doute car ça arrive tous les matins et il faut bien 2-3h pour qu …

Perso je ne trouve pas que la solution soit trouvée...
Ce n’est pas parce que la crise est passée, que c’est du passé !
Les scarifications, ça n’apparaît pas du jour au lendemain.
Tes parents sont contents que tu aies bien dormi. Avec la dose d’Alpra dans le sang c’est logique !

La solution n’est pas d’être entouré par une famille soudée (même si évidemment ça aide). Ce n’est pas à ta sœur de gérer ton traitement. Ce ne sont pas à tes parents de te surveiller.
Il faut apprendre à gérer tes crises, il faut que tu vois un professionnel.
Tu gobes des medocs, sous l’effet d’un anxiété très très importante mais c’est dangereux.
Se scarifier c’est aussi à considérer....

Donc non désolée mais ce n’est pas après 12h de calme que ça va mieux.
Vous n’allez pas continuer (tous) longtemps de cette manière. Tu vas épuiser tes parents, et je peux en témoigner. Justement derrière l’humour et le soutien sans faille, ils cachent leur inquiétude pour toi...
Alors demande de l’aide, au moins pour eux, …

Tu sais que tu peux également appeler les urgences psy ?
Parfois, on déraille, tout semble complètement irrationnel.
On ne mange plus, on se fait du mal. Il n’y a plus de réalité.
Et il suffit de quelqu’un qui écoute, qui nous parle, et on revient dans le chemin.

En effet, je ne pense pas que ça dépende de ta conso. Tu es en pleine crise d’angoisse.
A mon avis, ça n’engage que moi, dès que tu es en descente d’alpra, ton anxiété remonte en flèche.
Ce n’est pas une honte d’aller aux urgences.... ils te laisseront ressortir si tu y vas de ton plein gré. Par contre si t’es parents te grillent entrain de te mutiler, tu perds tous tes droits.
Et tu peux me croire. J’ai été piquée un soir, les bras en sang.
Le lendemain j’étais chez la psy avec ma mère, 30minutes après j’étais en hp.
On ne m’a pas demandé mon avis. Plus de portable, pas de télé, aucune visite. Enfermée pendant trois semaines avant d’avoir le droit à un petit week end...
Ça a duré deux mois.

Soit, tu trouves le moyen de te c …

Honnêtement je pense que le mieux c’est d’aller voir un médecin traitant.
A cause de la codéine, j’ai commencé à faire n’importe quoiiii
Juste avant noël, j’ai demandé l’aide d’un csapa et j’ai rdv le 28 avril...
Donc j’ai largement le temps d’accrocher encore plus fort d’ici là.

Un médecin traitant te recevra d’ici quelques jours, voir une petite semaine.
Mais de toutes les manières, une ordonnance n’est valable que pour 1 seul benzo !!!
Il ne pourra pas tout te donner, ni à si haute dose. Il y a de fortes chances que l’on te propose un petit séjour en maison de repos histoire de te sevrer...
Donc réfléchis bien avant de foncer.
Le manque c’est terrible, mais à quel point as-tu envie de exposer ce problème ?
Même si le manque de codéine me pousse à faire des trucs nazes pour en acheter, je préfère taper dans mon coin et que personne ne sache rien, même pas les médecins.
J’attends mon rdv à la csapa mais vu ta conso, je te conseille de voir un médecin et d’être aidé.
Ça risque de t …

[quote=Psychoco92]Ça fais plaisir de ne pas être le seul aha
Ça m’arrive aussi en général quand je pique un peu du nez, comme si mon corps me disait “nan part pas reste réveiller”, une sorte d’alarme pour rester en vie ^^[/quote]
C’est tout à fait ce que je ressens.
Avec somnifères, le soir je dors.

Mais alors en journée, dans le canap’ ou au lit, impossible de faire la sieste ou même piquer du nez !
Tu as une putain de décharge qui te dit « hé oh réagis !!! »
Ça fait vraiment instinct d’être survie, comme si ton cerveau croyait que tu allais mourir. Pourtant je respire. Je ne fais pas d’apnée. Je m’entends même parfois ronfler et tout à coup paf, coup de pied dans la table basse et les orteils en miettes.

Je confirme que le lormetazepam est un puissant somnifère. C’est ce que j’utilise quand l’imovane ne suffit pas. Si j’ai envie de dormir au moins 10h, sans réveils nocturnes, je vais en prendre un .... donc effet récréatif je dirai proche de zéro.

Tu sais au bout de 15 minutes environ, tu commences à fabriquer des endorphines qui calment la douleur.
Les tatoueurs sont habitués, c’est leur taff, ils vont commencé très doucement, faire les contours, chauffer la peau, tracer un peu pour que tu t’habitues à la sensation.

Je n’ai jamais pleuré ou crié lol
Parce que justement, si tu cèdes à la pression, alors c’est mort pour toi, pour le tatoo, pour l’artiste.
Je sais qu’une seule fois, pour l’autre cuisse, on m’a mise le spray lidocaine. Faut laisser poser longtemps pour endormir la zone, et on l’a fait deux fois parce que vraiment je tremblais beaucoup.
Méfie toi quand même.... il ne faut pas s’attendre à un miracle. Je suis très septique quant à l’idée que ça endort ta peau pendant des heures.

Même une anesthésie dentaire, ça ne dure pas aussi longtemps...
j’ai connu ça, le travail un peu acharné sur un salon, parce que tu n’as pas le choix, faut finir, et vite, c’est un peu hardcore devant tout le monde, sous les spots qui te …

[quote=Morning Glory]Wut....

Ca donne envie xD

Que ça fasse mal ok mais à ce point wtf

...pourquoi le gens font ça du coup? :thinking:

Est-ce que ça vaut vraiment le coup que je tente moi-même du coup... hum, limite sous disso mais ça se verra que je planne à des milles alors... pfff c'est bon tu m'as passé l'envie. Dommage, quand même...[/quote]
Honnêtement j’avais deux personnages Disney foireux mais t’imagine même pas. Ça faisait un an que je me cachais tellement c’était horrible. Je n’avais pas d’autre choix que de recouvrir, et donc il faut faire quasi deux fois la taille de l’autre.

C’est sur le moment, la douleur est assez intense. Plus on avance dans les heures, et plus tu as l’impression que l’on te griffe un coup de soleil.
Mais après ça s’estompe très vite. Le lendemain c’est une sensation étrange de lourdeur et la peau très très sensible.
Le tatoo ça fait mal quand ça travaille. Une fois que l’aiguille est loin de toi, tout va mieux.
On conseille juste de prendre un pe …

Le tramadol est très très souvent prescrit, justement parce que ça évite de prendre du paracetamol. Les médecins ont du avoir un petit mot discrètement pour encourager à prescrire du tramadol, dans mon cas c’est pour remplacer le codoliprane alors que je roulais parfaitement avec mes 90mg par jour.

Maintenant j’ai trois fois 50mg de tramadol. J’en ai pris trois jours, ça me mettait trop minable, avec insomnie et très fortes nausées. Aucun intérêt pour moi.
C’est sur je n’avais plus de douleurs, mais aucune vie non plus.
Et puis si c’est pour arrêter le tramadol tout net derrière (j’ai une délivrance et deux renouvellements), je préfère me tourner vers le Dark web pour trouver ma codeine.

Les médecins des fois, c’est incompréhensible. Jen ai vu 4, avant noël, un cinquième le 8 janvier, qui m’a prescrit du tramadol.
Plus personne ne veut signer pour du codoliprane.

En ce qui concerne le sujet du Topic, je dérive je dérive... j’ai toujours mes ordonnances de valium (ma psy ne savai …

Mais ce post n’a ni queue ni tête.
Entre le noob qui tente de se defoncer a l’alpra, l’autre qui conseille de passer sur un opiacé et la dose de 400mg de paracetamol potentiellement mortelle.

Bonjour et au revoir les mauvaises infos.

Reprenons un peu plus sérieusement.
1) il n’y a pas de défoncer au xanax. Au mieux, ça va t’assommer, te faire dormir. Au pire, bah comme c’est déjà le cas, tu ne ressens rien, par contre, tu risques un bon black out c’est à dire que tu ne te souviendras pas de ce que tu as fait lorsque tu étais sous effet de l’alprazolam.
0,5mg c’est déjà un bon dosage en cas de crise d’angoisse, ou que l’on utilise pour une descente d’autres substances mais tu t’attends à quoi ? C’est du xanax’ c’est un anxiolytique. Tu n’es pas angoissé ? Donc ça n’aura aucun effet à part la fatigue.
Et considérant tes autres posts, fais quand même gaffe à tous tes mélanges, tes envies, tes essais. Ne va pas commander n’importe quoi en ligne.

Déjà tu risques de recevoir un prod qui …

Pour être tout à fait franche avec toi, je ne crois pas avoir développé une tolérance en quasi douze ans. Le trouble anxieux généralisé me parle.
Burn out a 19ans sous forme de pancréatite aiguë.
A partir de là, j’ai eu antidépresseurs comme la paroxetine qui me rendait parfaitement affable, envie de rien, et j’ai perdu le peu d’amis du lycée qu’il me restait, antipsychotiques comme solian et tercian.... euh la dyskinésie on en parle ? Après 4, oui oui 4 séjours aux urgences, mes parents désemparés m’ont suppliée d’arrêter les médocs et pour être franche, je dormais h24. Je pouvais rester devant une série mais sans ecouter, sans la comprendre. Les antipsychotiques faisaient de moi une vraie zombie

Donc on est enfin passés sur des anxiolytiques quand j’avais 22ans, avec le statut adulte handicapé et donc.... bah le calme, la paix, la solitude dont j’ai besoin.
Xanax aide en cas de crise qui arrive vite, de fixation sur un problème qui n’est pas grave !
0,5 ça m’aide énormément genre à …

C’est extrêmement courageux de ta part.
Si mon médecin traitant le sait, s’en doute, il continue de me donner quelques boites en attendant que je le décide à décrocher. Ça va faire deux ans et j’en arrive à trois prises quotidiennes. Je suis pas très sympa avec mon entourage, de plus en plus refermée, impatiente, asociale.

Je comprends ta peur mais être jugée ? Non. Par contre tu as énormément de courage. Si personnellement je ne dis rien, c’est parce que je ne veux pas être « fichee » et me dire que jusqu’à la fin de mes jours, on va vérifier ma conso de codéine voire me l’interdire...
j’ai peur qu’on veuille me donne autre chose plutôt que d’essayer un sevrage dégressif.

Dis donc tu as eu un rdv très vite. Je vais suivre ton post avec un très grande attention.
Qui sait... c’est peut-être le signe que j’attendais.
Reste sur ta décision, tu sais que c’est la bonne. Si tu te sens le courage, tu vas être très fière de toi.
Plein de force et reviens vite vers nous : ) …

Bon je ne peux que parler de mon expérience car je me reconnais dans tes journee.
J’ai le droit à 60mg, 3 fois par jour. Le truc c’est que ça a même tendance à m’entraîner doucement vers la dépression.
Avant je luttais contre la douleur en bougeant beaucoup, et je me soulageais le soir. Je pensais donc que ce gros coup de fatigue c’était grâce à la douleur qui disparaît enfin. Mais non, c’est bien l’effet opiacé qui monte au bout d’une heure et durant la seconde, tu es limite à fleur de peau.
En ce moment je préfère me tourner vers un anti inflammatoire. Suivant les conseils de mon médecin, on va diminuer la codéine qui sera à prendre en cas de douleurs très persistantes.

Là je t’avoue que j’en suis arrivée à être dégoûtée de cette codéine. Ça me colle dans le canapé ou pire : au lit. Sans travaille,r sans envie de bouger, sans envie de rien.
Le cocon est toujours agréable mais ça ne peut pas durer.

JE pense, ça ne tient qu’à moi, que le chirurgien ne va pas suivre ta conso au jour …