Voilà, je voudrai arrêter le crack.
Depuis mon entrée dans l'adolescence, j'ai clairement toujours eu besoin de substances psychoactives dans ma vie pour aller à l'école. J'ai testé un peu tout ce qui me passait sous le nez sans être accro à un produit particulier, pourtant il y a environ 1 an, c'est sur le crack que je me suis arrêtée. C'est là que j'ai perdu le contrôle, bon au début je me faisais plaisir un ou deux midi par semaines, puis ça a fini par tapper 2 fois par jours au bout de deux mois.
Quand j'ai pris conscience que j'étais dépendante et que ça partait trop loin, j'ai cherché à réduir les risques, et à me situer dans un usage simple (en consommant moins souvent, en plus petite quantité, avec des pipes à crack de prévention, en basant au bicarbonate,...).
Seulement ça ne fontionne pas, maintenant je suis à bout. Je n'ai même plus les 5 minutes de légèreté avec la première base, je ne supporte plus les redescentes, et puis sans parler des petits soucis de santé chiants qu …

[quote=Gribouille78][quote=Zazou2A]Yop !

Zazou[/quote]
Bon je viens de toucher 20G donc je vais mourir...
Adieu monde cruel, de toutes façons c'est la fin du monde.
Joyeux confinement à tous[/quote]
Eh gros zinzin, je reviens seulement aujourd'hui sur le forum, j'arrive pas à envoyer de message privé je sais pas comment on fait, t'es encore là ?

Bonjour Bonsoir !

Je reviens encore avec un questionnement (et un besoin de partager mon inquiétude aussi) sur le crack, mais cette fois qui tire sur le côté psychologique plus que technique.
Je consomme du crack depuis moins d'un an plusieurs fois par semaine, et mon principal problème, et plus GROS problème, c'est que je n'arrive pas à contrôler mes prises.
Je m'explique : Comme je crois tous les consommateurs, la première inhalation me fait beaucoup d'effet et me mets très bien, les autres ne me font plus rien, du coup je me fais une belle base et me la fume d'une traite. ET C'EST TOUJOURS LÀ QUE JE VOUDRAI M'ARRÊTER. Mais une fois que la machine est en route je ne peux plus m'arrêter (avec le fameux "juste une dernière"), souvent je continue de fumer jusqu'à ce que je vomisse et que ma gorge me brûle de trop pour continuer. Ça m'a valu déjà deux OD, qui se sont plutôt bien finies au final.
C'est purement psychologique parce que quand je consomme avec quelqu'un d'autre, là je me …

Bonjour bonjour !

Alors pour moi les premières prises n'ont pas été douloureuses, juste une pression et un engourdissement du nez.
Par contre après quelques semaines, j'ai commencé à saigner du nez, du sang dans le mouchoir ou parfois des grosses gouttes qui tombaient du nez. J'en avais dans la gorge aussi, à mon avis ça venait juste du nez, comme quand on avale sa morve. Et je fais bien gaffe à ne pas laisser de cailloux qui explosent les naseaux pourtant ! Mais c'était pas des quantités énormes non plus hein, je ne crachais pas des flaques de sans. Bon maintenant, quelques mois après, on va pas se mentir j'ai arrêté de sniffer parce que mes narrines étaient un peu pourries, j'avais la sensation d'avoir deux trous noirs à la place des canaux naseaux, et quand je me mouchais j'avais la sentation désagréable que ça remontais carrément depuis ma gorge (bon je ne sais pas si c'est très clair mais moi je me comprends x)).
Mais maintenant tout va bien mon nez ne saigne plus et c'est passé …

Salut, je ne sais pas si mon témoignage sera d'une grande aide mais je fais quand même part de mon expérience :

J'ai vécu quelque chose de similaire il y a quelques mois. Je consommais régulièrement du xanax, en quantité moyenne, et une après-midi je me suis vraiment fait une grosse pétée avec une belle quantité (mélangée avec un peu d'alcool et un peu de crack).
Pendant trois semaines/un mois, je suis restée "coincée", mes amis appelaient ça un "bud". Je ne me sentais pas high mais pas nette non plus. Je faisais des cicles de sommeils qui me paraîssaient interminables, dès que je le pouvais j'allais dormir espèrant me réveiller clean, mais j'avais l'impression de "dormir sans dormir". J'avais des mots de tête d'un seul côté du crâne, j'étais extrêmement irritable et colèreuse et faisais des petites crises de parano aussi.
Comme je commençais à avoir peur j'ai appelé Drogue info service (qui ne m'ont pas du tout éclairés et m'ont juste dit d'aller voir un psy au passage). Après deux …

[quote=plotchiplocth][quote=MonPavillon]Je voudrais peut-être un Narcotest, pour les opiaces et le subutex[/quote]
ou analyse gratuite via dispositif SINTES avec un tout petit échantillon, via un CAARUD ou par voie postale?[/quote]
En fait j'ai toujours méga peur qu'on capte que j'ai de la C, même si je me doute que les analyses sont juste professionnelles et confidentielles, je suis une flippette parano x)

Bonsoir !

Je ne sais pas si cette question est bizarre ou a déjà été posée...
J'ai l'impression que, absolument partout, on dit que la cocaïne dilatte les pupilles. Cependant celle que je vais me fournir les rétractes parfois jusqu'à ce qu'on ne les voit pratiquement plus, comme avec l'héroine. Quand je sniff, à la place de me stimuler elle m'endors et me détends comme un gros anxiolityque (mais quand je la base j'ai bien tous les effets du crack), et niveau aspect c'est bien de la cocaïne. Parfois je me demande si elle n'est pas coupée à l'héroine, où s'il y a simplement trop de produits de coupe (mes redescentes ne sont pas un supplice non plus).
Mais du coup pour en revenir à ma question de base, est-ce que c'est normal que la cocaïne fasse rétrécir les pupilles ?

Merci beaucoup d'avance :)