Bonjour à tous !
Je reviens d'une session d'un mois avec un prod assez corrosif et comme je n'ai pu sniffer avec qu'une narine elle a assez dégusté... Même après plusieurs semaine la muqueuse est assez sèche, et le bord du nez semble irrité et me fait mal. Est-ce que masser ma narine avec un produit pour les cicatrices (cicafalte) ou de l'acide hyaluronique en solution (cosmétique) pourrait aider ma situation ? Ça fait quelques temps que j'y pense mais j'ose pas mettre quoi que ce soit parce que c'est une muqueuse.

Merci à tous :)

Merci a tous pour votre bienveillance ! C'est gentil vraiment. J'avoue que c'est déjà assez de tracas comme ça, je voulais être sûre qu'elle soit safe et me rassurer. Grâce à vous je dormirais mieux cette nuit ! J'ai déjà mélangé deux depressants mais jamais trois d'où mon inquiétude. Du coup je la laisse tranquille, je lui ai juste dit que si elle était comme moi elle risquait de faire des cauchemars a cause des opis et sujet clos.

J'avoue que je devrais en parler à son médecin (qui est aussi le mien) car c'est elle qui lui a prescrit ses antidépresseurs mais elle m'a pas balancé à mon psy quand elle a découvert mon problème de drogue alors que vu mon état psychique il m'aurait interné du coup j'hésite.

Pour les gens qui tomberaient sur ce topic, ne retentez pas de reproduire cette cascade chez vous et sans tolérance !

Bonjour tout le monde !
Je voulais savoir si mes inquiétudes sont fondées. Voilà, ma mère s'est salement démontée le dos hier en faisant un déménagement hier soir. Comme il lui restait du ketoprofene à la maison, je lui ai donné ça car elle gémissait et hyperventilait en essayant de bouger. Aujourd'hui son médecin lui a prescrit du ketoprofene et du codoliprane (2*30mg de codéine par prise, a chaque repas). Seulement, elle a aussi recommencé à prendre du bromazepam (8mg) avant de dormir à cause des douleurs et elle a tendance à boire de l'alcool tout le long de la soirée. Je lui ai dit qu'il serait bienvenu qu'elle arrête de prendre de l'alcool après manger parce que les interactions entre les trois étaient hyper dangereuses. Elle m'a dit qu'elle ne buvait que quelques verres donc que c'était sans risques.

Est ce que je suis trop alarmiste, ou bien ai-je raison de m'inquiéter de ces consommations en plus du traitement qu'elle suit ?

Merci à vous ! …

En plus j'avais pas vu, mais t'as mélangé avec de l'alcool. C'est surtout le truc à ne pas faire avec ces molécules. Une fois je savais pas que ma mère avait bu, on a pris de la dck ensemble, j'ai eu la trouille de ma vie!! Vraiment remercie ta bonne étoile, j'ajouterai a mes conseils précédents :
- Acheter une balance vraiment précise de QUALITÉ (celle que j'ai est nulle en fait du coup je dois mesurer à l'œil, pour la rdr on repassera, l'investissement va être fait sous peu, je la soupçonnais déjà d'être à la source d'incidents).
- PAS D'AUTRES DEPRESSANTS. Cela inclut : alcool, benzos, opis (notamment)

[quote=kokie301]tu as deja eu genre d’effets avec la 2fck?[/quote]
J'ai déjà eu un Black out (dans ma chambre) parce que j'avais pris 50mg sans tolérance et que je suis tellement sensible que 20mg c'est largement suffisant. J'ai vomi genre trois fois en 15min ce soir la avant, heureusement j'étais accompagnée et même si ma sœur qui m'a aidé m'a rien dit elle a du se douter que j'avais pris un truc. Le Black out était particulièrement effrayant parce que j'avais peur de vomir et de mourir étouffée et que je sais pas je le sentais venir du coup je me suis mis en pls mais heureusement plus de nausées.

Pour éviter ce genre d'expérience, je te conseille de commencer doucement (ça monte assez vite) et de redrop doucement jusqu'à l'effet voulu. Comme ça tu pourras voir ta dose de confort. Pour le nombre de mg c'est à toi de voir on ne peut pas vraiment te conseiller, moi quand je commence avec des substances d'une force équivalente je commence 10 par 10 mais c'est pas une science universelle …

Hello,
Je souffre d'anxiété sociale, j'avais l'impression que l'alcool m'aidait, et quand je suis tombée en dépression je n'ai pas passé une soirée où j'étais invitée sans finir aux toilettes. Du coup je préfère sortir dans les bars car je suis radine, mais je tourne à la vodka donc je finis toujours ivre, mais au moins je vomis pas.

Malheureusement, s'abstenir d'une substance c'est parfois se retenir. Mais je comprends que tu aies envie de boire si tu sors, surtout si tout le monde autour de toi bois. Alors je dirais juste comme Mister No : fais attention, ta tolérance ne seras pas la même du tout, et tu seras ivre bien plus vite.

Es-tu sorti avec des amis pendant ta période d'abstinence ? Si oui, étais-ce des sorties où tu avais l'occasion de boire ? Si c'était le cas, peut être peux tu essayer d'envisager d'essayer de contrôler ta consommation, en t'autorisant un nombre maximum de pintes par exemple. Je ne connais pas ta tolérance initiale, mais peut être peux tu te lancer de défi …

Un magnifique hommage pour une magnifique personne partie trop tôt... Je suis vraiment désolée pour toi, c'est bête mais même si je le connaissais pas ça me fait quelque chose de savoir qu'une telle personne nous a quitté. J'espère que tu tiendras le coup, et que tu pourras réaliser de belles choses dans le futur. Je sais que ça doit te paraître mièvre vu l'intensité de ce que tu peux vivre, mais en tous cas c'est bien que tu aies pu poster ici et trouver des réponses, et un peu de paix aussi. Je pense que le fait d'être stimulé a pu le maintenir oui, j'avoue que moi même je trouve ça incroyable, sûrement parce que le produit n'a pas vraiment de pic mais s'accumule dans le corps ? Je dois dire une énorme bêtise.

Prends soin de toi. Traverser une phase dure ne veut pas dire finir en clinique psychiatrique. J'y suis allée trois fois et j'ai des amis qui y ont été plusieurs fois aussi, si vraiment c'est un sujet qui t'inquiète on peut en discuter mais si tu n'as pas de comportement à ris …

Hello,
Perso les antinauseeux ou antivomitif m'ont aidé à diminuer les effets négatifs. A titre personnel j'utilise de la menthe poivrée parce qu'à la pharmacie on a rien voulu me donner.

Peut être que tu metabolises mal la codéine, j'ai lu que c'était possible dans certains cas. Avec 60mg de codéine c'est presque normal que tu aies eu peu d'effets si tu as déjà pris des opis car ça reste assez faible. Je te conseille de voir avec ton médecin pour voir s'il n'existe pas des médicaments que tu toléres mieux.

D'expérience, aider les autres ça aide à pas lâcher. Tu tiens le coup grâce à ça. Mais oui je t'encourage vivement à changer de psy et à trouver un-e bonne psychiatre car un traitement même temporaire ça t'aidera à tenir le choc. Car à un moment ça risque de retomber ou tu peux perdre le contrôle, même si c'est possible que tu tienes le coup. Ça a beaucoup aidé ma mère à tenir le cap après le décès de sa mère. Moi j'ai affronté (sous traitement) le deuil en soutenant mes proches et quand ils n'ont plus eu besoin de moi j'me suis effondrée, après t'as l'air plus costaud que moi qui suis assez fragile, mais on sais jamais je vois ça comme assurer ses arrières.

Hum, il semblerait que j'ai soulevé quelques questions intéressantes qui me depassent ! Je vais lire les réponses avec intérêt.

Pour la composante sociale, j'ai aussi des parents qui m'ont rapidement expliqué qu'ils avaient pris plein de trucs, d'ailleurs ils tolèrent pas que je prenne des opis mais alcool, weed, keta, exta, lsd, clopes, coke (jamais pris), c'est accepté voire même encouragé. Va savoir ! J'ai grandi autour d'ex-ud mais un usage même espacé des opis ou benzos par exemple n'est pas toléré parce que c'est chimique ou de la "drogue dure", pendant qu'a côté on me parle de revouloir prendre de la coke ou lancer une culture de champis. Je trouve ça un peu hypocrite mais c'est pas le sujet ^^'

[quote=Marco 68]Eheheheh tu est tox dans ton ADN, même etant enfants ¹
Nous aussi on prend de la tune pour te résoudre tes problèmes psicologique...[/quote]
Ptdr si c'est vraiment le cas alors je suis exposée de rire, comme quoi on se refait pas... Ce qui est sûr c'est que si faut on m'en injectait continuellement, j'y ai eu droit 2x2 semaines, ça expliquerait ce sentiment de familiarité et de retrouver quelque chose que j'ai ressenti à ma première prise mdr !!!

Hello!
Perso je suis passée d'une consommation excessive à une consommation que je juge raisonnée. Pour ça il a fallu que je fasse un break radical de trois mois de toutes les drogues et aussi que j'arrive à me connaître moi même (c'est toujours le cas). J'ai découvert à cette occasion que j'avais des problèmes psychiatriques que j'ignorais (j'étais déjà en dépression + anxiété généralité) comme un tdah et un trouble borderline qui expliquent beaucoup de difficultées que j'ai eu sans trouver de réponses. Mais se connaître soi même, c'est aussi connaître ses objectifs, le rythme de vie que l'on vise ainsi que de voir sa relation avec les substances et comment elles influencent notre quotidien.

Avoir une consommation raisonnée, c'est pas facile mais c'est possible. Il faut par contre avoir un système de soutien (ne serait-ce que le numéro d'un psy qu'on peut voir si y'a des soucis) car un problème dans la vie peut conduire à des rechutes. Je viens d'en faire une au décès de ma grand mèr …

Non, c'est bien de la faim, j'ai vraiment un besoin de manger genre physique. Je sais pas si c'est envie de manger ou bien faim en fait juste j'ai le ventre qui gargouille et tout donc j'pense ça devait être la faim. Je combine pas avec de la weed donc c'est pour ça, je sais que c'est bizarre et que ça devrait avoir l'effet inverse mais c'est juste comme ça

Hello,
Je suis désolée de ne pas pouvoir t'éclairer beaucoup sur le sujet, je sais juste que ça agit sur les récepteurs gaba et que j'ai vu plusieurs consommateurs de ce genre de benzodiazepines se plaindre d'un problème identique, ou d'une tolérance qui revenait très rapidement. Je ne sais pas trop comment ça fonctionne mais ça existe. Apparemment si tu as trop abusé de la substance la tolérance peut mettre un sacré bail pour descendre.
https://www.reddit.com/r/benzodiazepines/comments/xk0ne8/is_there_a_perma_tolerance_to_benzos/?utm_medium=android_app&utm_source=share

Hello,
Je suis consommatrice d'opioides, bien moins forts mais on reste dans la même classe. Ça va faire 3 ans maintenant et j'ai eu des périodes d'abus avec de l'oxy principalement. J'ai aussi ce sentiment de maîtrise mais peut être que je suis encore en période de lune de miel. Par contre il y a quelque chose qui m'a alerté dans ton post, je sais que beaucoup te l'ont dit déjà mais le fait que tu trouves la vie "fade" sans le produit et les cravings qui s'installent c'est pas bon signe... Je peux peut être me tromper, mais lorsque la vie paraît moins attrayante quand on est pas sous l'emprise de la substance, c'est qu'on se situe sur une pente un peu glissante... Quand je consommais de l'oxy environs deux fois par semaine (une période que je considère comme de l'abus, pour mon cas personnel et mes objectifs de conso qui sont très différents des tiens, je respecte ton parcours. D'ailleurs j'ai testé l'hero deux fois à ce moment là, mais après un arrêt forcé en hp sans sevrage physique …