Salut !
Je suis passé de la coke avec comme loi "jamais tout seul chez moi", puis comme sécurité : c'est mes potes qui géraient avec les dealer à...
Marre d'avoir de la merde, je suis aller sur le DM et j'aie de la bombe, puis les soirées aussi coke se sont estompées, on vieillit, donc j'en suis arrivé à taper seul chez moi.
C'est une autre ambiance où les conversations avec les autres se substituent en conversation avec toi même ou sur des réseaux sociaux, au WhatsApp. Au moins t'a plus un Uber à payer à des heures angoissantes et des boissons.
Puis j'ai stoppé car trop d'accoutumance et besoin de dose de cheval pour avoir un minimum d'effet comme "avant" (et flippe d'avoir une OD chez moi.
C'est comme d'autres substances tu me diras. MDMA, lsd, en convivialité, puis seul chez soi.
J'insiste un chez soi chaleureux que tu kiffes, ton nid douillet.
Pour la coke, je reste très heureux de ne plus avoir cette saloperie de descente où il fallait rentrer et souffrir le temps du trajet …
[quote=Zarathoustra]Sreconnor[/quote]
Oui, c'est limite mais je ne te fais pas la pub de la MDMA. C'est juste un conseil où dans la recherche d'un produit, et mal utilisé, mieux vaut d'orienter vers autre chose plut^ot qu'absorbé des doses énormes qui seront toxiques.
Quand tu décides de sniffer la mdma, en considérant que c'est de la bonne et bien tu morfles, ça pique et ça vient secouer tes naseaux.
Par contre l'effet est assez kiffant. Moins qu'une bonne dose en digestif donc en plug que tu avales.
Mais oui ça pique.
Hello à toi,
Moi la coke c'était radical. Alors sans vanité j'ai une grosse sexualité, mais avec la coke c'est très vite la débandaison furieuse.
Pour narrer le truc.
j'étais avec une nana (rencontrer sur Tinder), une furieuse. Elle décide de fucker sous coke, moi je doute (cat je me connais), on tape de gros traits et arrive ce que je redoutais : je débande mais grave.
J'ai confiance en moi je lui dit, laisse moi dépasser l'effet de la coke et ça va revenir.
Elle super cool accepte, on sort sur Paname, puis deux heures après je reprends mon souffle. elle reprend de la coke et moi no Way.
Bref, la coke sur moi sur une débandade mais terrible... Sauf en descente ou ça revient et là ça tape pas mal.
Mais en terme de jouissance de toute façon je n'ai jamais eu plus cosmique et plus puissante que sous LSD. Là tu as des jouissances de folies.
Hello,
Difficile d'expliquer les effets de gaz. J'avais à une époque de la cristal (vendue comme telle et testé à 90%) qui était une vrai référence. Sur dix personnes tu en avais facile trois qui tripes mal, était dans une état nauséeux et m^eme en bad tripote les autres tapaient le plafond, et en redemandaient.
Et le plus intéressant c'est qu'à chaque fois les mêmes personnes malades l'étaient encore une fois pour d'autres sessions.
Un ami qui était très "coke", ne supportait mes mdma, alors qu'elles étaient très faciles.
Pour te répondre, j'ai démarré en groupe, surtout dans des club, festival techno, puis en soirée, appart, musique, puis à deux(voire trois), moment plus intimes, qui seul, à triper chez moi, jusque des 7h du mat de folie.
Et j'ai tout arrêter. Rien que penser MDMA, mon corps développe des nausées (véridique).
Ca reste pour moi la drogue la plus géniale dans le domaine pas trop addictif.
Celle qui te fais developper des sentiments, des pensées, des comportement …
L'alcool reste la dope number one, parce que disponible partout et finalement ça reste érable dans une vie sociale.
Son pouvoir dopaminique est exceptionnelle. Tu peux même enchaîner ton tafe, ton sport, peut-etre faire une pause d'un ou deux jours et enchainer ensuite.
Person je suis en lutte avec elle, mais j'ai supprimer pas mal de "moments", et il me reste le "tout seul chez moi" car dans un contexte propre.
Je peux rester un mois sans voir si je ne suis pas chez moi dans mon confort par exemple, et sans avoir aucune envie de boire.
J'ai tout sevrer, la coke, la mdm, la 3-MMC, le LSD (bon facile), la clope, est la seule dope qui me suit reste l'alcool. C'est un pitain de plaisir et ce malgré avant par exemple une dépense de plus de 1000 calories en sport (muscu et cardio).
Je ne suis pas à me lever et tiser c'est toujours tard le soir, mais c'est bien installé.
Ce qui me tue le plus c'est que mon esprit ne réclame plus de coke, que j'ai bien consommé ou de la mima, jamais pl …
Le gros défaut de la coke c'est qu'elle ne se termine pas vers un un bon sommeil comme l'alcool ou d'autres substances.
Tu peux taper de 18h à 4h du mat et ensuite ça va être l'enfer pour ta vie pour ta nuit, avec une descente terrifiante sauf si tu la casses avec de la chimie.
C'est très cruelle une descente de coke, pas autant qu'un craving de crack ou d’héroïne, mais il faut subir l'impossibilité de dormir et des effets tellement douloureux, qui certes seront plus faciles avec des prod moins coupées.
Hello,
Marrante la question car il y a pas mal de paramètre avant d'y répondre.
Déjà la qualité de la coke, les adjuvants.
Mais prenons une coke comme il y en a beaucoup aujourd'hui, donc prise dans la brique. Soit une pureté relative non plus au mix du dealer mais aux types qu dans la forêt colombienne ou péruvienne auront plus ou moins de talent.
Parce que sincèrement nous en somme là. Terminé le dealer de merde de paname qui te coupe ta coke au doliprane, aujourd'hui le qualitatif s'est déplacé dans vers les mains de ceux qui produisent, donc il y a forcément (et c'est vérifiable) des degrés de qualité.
Une coke très correcte issue du bloc directement te sature le nez assez tardivement, voir pas du tout. Mais ton pif lui subit une inflammation et quand il dit stoppe, je pense qu'il faut arrêter, sinon c'est ton coeur qui va lui stopper de battre.
Avec de la super coke j'ai remarqué que ça n'est plus cette saturation nasale qui pose un problème mais des effets différents et su …
Hello,
C’est un phénomène assez compréhensible dans le sens où il sera assez facile de droguer quelqu’un avec du GBL vu le peu de quantité pour arriver à ses fins, qu’avec tout autre chose. Même si de nombreux viols sont commis sous alcool ou d’autres substances, le GBL reste en soi un moyen très efficace pour plomber quelqu’un, c’est en ça qu’il faut comprendre sa mauvaise réputation, son efficacité. Quelques millilitres. Et son coté sédatif puissant, chose beaucoup plus compliquée avec de l’alcool (je veux dire qu’il faudra boire beaucoup avant de sombrer, c’est un autre contexte).
On ne comptera pas le nombre de coma éthylique qui se sont soldés par des abus car au final la victime aura été dans le même état. Et sur le plan comptable le GHB sera bien loin derrière l’alcool. Sauf que d’en mettre dans un verre suppose dès le départ une intention criminelle.
J’en ai pris à une époque mais j’ai vite arrêté en lisant les témoignages notamment sur l’addiction, et je trouvais aussi la …
Salut à toi,
Ce croire sous MD pour deux jours c'est un mythe, de même qu’enchaîner du LSD sur plusieurs jour restent un fantasme pour cinéaste de la nouvelle vague (donc des trous du cul de fils à papa pédophiles).
Le mieux est de taper le premier soir et ensuite d’oublier les effets de la drogue les jours suivants. De kiffer le festival sous psychotrope, et de le vivre sans ou avec de bonnes bières.
Salut à toi,
Ce croire sous MD pour deux jours c'est un mythe, de même qu’enchaîner du LSD sur plusieurs jour restent un fantasme pour cinéaste de la nouvelle vague (donc des trous du cul de fils à papa).
Le mieux est de taper le premier soir et ensuite d’oublier les effets de la drogue les jours suivants. De kiffer le festival sous psychotrope, et de le vivre sans.
Salut à toi,
C'est très sain de se poser tes questions, et d'avoir des avis.
Toute personne bienveillante ici connaissant bien la substance sera heureuse de te
rassurer sur le produit. Si tu n'as pas de troubles anxieux, de pathologie sévère c'est déjà une bonne chose.
Ensuite il te faudra du matos de qualité et testé par des proches. Et selon les dealer ils auront dosé, soit te dire commence par un demi taz ou tant de milligramme si c'est de la mdma.
Entoure toi de gens fiables, des personnes avec de bonnes valeurs.
C'est le plus important pour les premières fois.
Les premières fois imposent des descentes sur les jours suivants et c'est assez dur, comme une contrepartie de la joie sublimée, soit un rééquilibre. Là aussi, être bien accompagnée d'ami(e)s qui connaissent le fait est rassurant.
Salut à toi,
Heureusement j'ai dans mon entourage des gens qui ne prennent pas de la coke, mais j'ai tellement eu des soirées "parisiennes" où la poudre était présente partout.
Moi, la coke c'était un trio avec deux ou trois, potes puis en solo. Mais en société ça me gavait car les traits étaient trop petits et j'aime les troncs d'arbres, donc je trichais, mais c'est pas cool de tricher car tu te sens junk. Le protocole de la coke dans la salle de bain avec des traits est devenu un standard.
On est passé des soirées joyeuses et zygomatiques aux soirées intello sous coke, on se masturbe l'intellect.
Baiser sous coke, quel intérêt ? C'est bien mieux sous alcool et autres substances. Même l'eau est très adaptée. Bon sous LSD surtout sur la fin du plateau c'est démentiel.
Arrêter la coke c'est bien plus facile qu'arrêter l'alcool ou les opioïdes.
Tu vires les dealer et les soirées où ça tape. …
Salut à toi,
Je ne consomme plus de coke parce que les effets d'autrefois ne sont plus aussi jouissifs et quand je tape fort je ressens plus les effets négatifs du produit, comme si mon corps avait installé des contre pouvoirs.
Le pire c’est que j'ai cru à un système de sevrage, soit 3 ans sans taper et bien noway. (Et de la coke de superbe qualité).
Donc me voilà libéré quelque part d'une substance que j'aimais bien.
Pour le coté sexe, sincèrement, sauf sur les 20 premières minutes, après c'est tellement vasoconstricteur la coke que je ne comprends pas la plue value.
J'ai eu le même rapport à la mdma. Le cerveau semble avoir mémorisé la chimie et même des années après les effets sont gérés.
Hello,
Perso quand je tapais j'ai vite arrêté l'alcool.
D'ailleurs je l'ai fait sur d'autres substances, sauf le LSD car ça se conjugue plutôt bien.
L'absence d'alcool avec la coke fera un lendemain plus cool. Au début de tapais coke et alcool, surtout bière. Puis j'ai découvert (et avec des prises bien plus lourdes) la coke et Perrier, et le lendemain fut bien plus gérable.
Le pire pour moi ? Coke et Weed.
Salut,
J'ai des années de conso (je n'ai pas tapé depuis 3 ans) mais quand j'entends que l'on peut dormir après une soirée coke, je ne comprends pas (et j'ai des ami(e)s qui me le disent aussi, soit ils dorment).
Perso sauf au début, sinon je n'ai que de la coke direct du bloc, et forcément avec des qualité différentes.
Mais jamais en 25 je n'ai eu la capacité de pouvoir dormir après une bonne soirée de sniff, jamais. J'ai même bouffé des anxyio de potes, eux, dormaient mais moi je ruminais et me branlais pendant 4 heures, avant enfin d'aborder le sommeil.
Sous coke il m'est impossible de dormir. Je pensais que c'était lié au produit car encore une fois j'ai vu tant de gens ronfler avec, mais moi, je suis une pile electrique, même sous lexomil.
Salut à toi,
Sur l'alcool, déjà faut virer la dévalorisation de soi et entretenir cette culpabilité que l'on retrouvera d'ailleurs dans tous les excès. L'existence est trop courte pour s'offrir se tsunami de haine de soi, même dans les moments les plus difficiles. Après j'en reste à une conscience où on ne blesse personne d'autre que soi.
Coke, alcool, crack, mdma et medoc et puis 3-MMC et GBL et j'en passe, même le sucre, le gras, les addictions sont multiples.
Il faut trouver le mécanisme de la dépendance, ou tenter de le comprendre, et éviter, enfin si possible, de l'enrober dans de la morale.
L'addiction ou la dépendance aura des causes, attention l'avalanche : sociale, génétique, comportementale, culturelle, accidentelle, psychologique, physiologique etc
Faut aussi avouer qu'acheter un litre de Ricard ou de vodka dans une bonne boutique se soldera par un sourire d'un dealer assermenté et ça peut même devenir un moment de grâce sociale si c'est un breuvage de haute valeur ajou …
Alors quand je "tapais"...
Sur des prod du DM, testé autour des 80% et vraiment de qualité.
J'avais ma technique de prévention un peu pourave :
Je prenais 2g, j'en jetais le tiers (et oui...), j'en mettais de coté deux gros traits (le plaisir d'en avoir encore quelque part), et ensuite je m'enfilais le reste, mais ça n'était pas linéaire. Des gros pour commencer, puis plus petits. Vers la fin j'avais le coeur qui battait la chamade et le pif qui commençait aussi un peu à saturer. Mais c'est surtout un effet physiologique en fin de course qui m'inquiétait (grosse montée, avec des vertiges, j'avais peur du coeur qui lâche et c'est ça qui m'aura fit arrêter la coke).
Donc un bon 2G, avec un tiers jeté dans les toilettes,me tenait pour la soirée et c'était un peu trop.
J'ai lu, entendu, vu aussi des personnes qui se tapaient des traits énormes, sans avoir une OD ou des malaises.
Je n'ai jamais aimé le "petit trait sociable", aucun intérêt. C'est bien la montée et le plateau qui est …
Hello à toi,
J'ai envie de te dire que tu peux cumuler du sport, de la zique, de la peinture ce que tu veux ça ne résoudra en rien les envies de boire.
Je tate de la guitare depuis des années, je fais pas mal de sport, et ça ne m'a pas empêché de tiser lors de ce 18h/22h. Par contre ça permet d'évacuer, d'avoir un corps moins meurtri, et pour le coté gratte, tu t'amuses toujours autant.
C'est très psychologique au début l'addiction alcoolique avec en plus des dealer dans tous les coins, sauf à vivre dans un blède, et encore, tu t'arrangeras je pense à avoir des réserves.
Essaie de percevoir les moments où tu ne bois pas, avec telle personne, dans telle contexte et de les répéter.
L'idéal serait d'avoir une vie ultra remplie et de ne plus avoir le luxe de boire, mais c'est assez difficile à construire.
Déjà évite de te détester, c'est une première étape.
Hello,
Bon, j'ai disons trouvé une solution qui fonctionne pour le moment.
Je peux tenir une semaine sans boire, surtout dans un contexte assez simple, avec ma compagne, chez elle ou chez moi, le cerveau ne demande rien et c'est assez étonnant cette plasticité. Aucun manque, aucune envie, même avec des bouteilles ici et là.
Puis une fois dans un autre contexte, soit chez, dans mon cocon et seul, avec mon confort, ma zone de confort, l'idée d'être un peu défoncé le soir prend le lead, c'est plaisant. C'est comme ça. Tant que je ne franchis pas le rubicon soit boire la journée, voire le matin, et que les doses restent les mêmes...
Je vais parier sur la même histoire des autres psychotropes, soit un espacement des prises, puis une fatigue de la substance. Bien que l'alcool reste hyper efficace comme shoot.
Boire une bière ou un verre de vin, sincèrement je n'éprouve aucun plaisir. Comme prendre un petit trait de coke, aucun intérêt. C'est l'effet high qui reste le plus intéressant, …
Alors pour avoir une bonne connaissance de cette effet, laisse tomber avec la coke.
Avec la mdma tu vas avoir une super bandaison de folie, mais impossible d'envoyer la purée.
Avec la coke faut vraiment attendre la fin de descente pour espérer un premier truc potable.
Les pro du chemsex savent conjuguer avec les cocktails, ils vont te prendre de la 3-MMC, de la coke et du viagra, donc le viagra viendra combler l'absence de bandaison.
Mais le grand mythe de la coke, où le type se tape une super levrette sur le cul de sa meuf... oui, sur les 20 premières minutes. Après ça reste une came très vasoconstrictrice donc pas du tout adaptée à l'intumescence.
Simple expérience parimi des dizaines d'autres. J'ai un super plan Tinder et la coquine veut de la C, pas le temps de commander sur le DM, je passe par un pote, qui ceut absolument que l'on tape avant dans un super club jazz d'ailleurs, j'arrive chez elle à bloc et impossible d'avoir une queue potable.
Elle, super conciliante, me prop …
Il faut comprendre qu'il y a DES addictions et non pas un schéma un peu linéaire.
Perso la coke j'ai eu assez peu sur ma conso et pourtant quand j'ai rencontré des addictologues j'étais loin des cas les plus addictes.
Je tapais Deux fois par semaines au plus haut.
Mais j'ai juste ressenti que la prise devenait problématique.
Il y a pas mal de littérature sur l"addiction et puis chacun aura aussi son seuil de tolérance.
Je le répète assez souvent ici, mais j'ai tellement eu de flip sur nombre de substance que j'ai complètement ignoré l'alcool, et c'est bien cette substance qui me pose un soucis aujourd'hui.
C'est un vrai paradoxe parce que j'ai flippé sur nombre de substances et me voilà un peu prisonnier sur celle qui reste la plus légalisée. Bref.
La coke de mémoire possède une vrai attirance super puissante, on ne peut pas le cacher. Je m'en suis détacher non parce qu'elle ne me parlais plus mais dans le registre du sniff j'arrivais aux limites et je n'avais plus des sensation …
Après je te rejoins sur l'addiction.
Si il y a encore une fois des substances qui sont plus addictives que d'autres, le problème de l'addiction dépasse parfois la substance.
Et Le contexte de la prise de drogue jouera un pouvoir plus puissant que la substance.
L'addiction dépasse souvent la volonté même si la volonté jouera énormément. Mais parfois on voudrait juste avoir la volonté d'avoir la volonté, et c'est un laborieux chemin.
L'alcool répond énormément à la solitude. Non que les alcooliques soient seuls, pas du tout, mais il vient s'installer dans un quotidien où les soirées sont trop longues, où l’ennuie demeure ou aussi l'effet dopaminique est devenu tellement une référence que son absence est un problème.
Nous ne sommes plus capable d'avoir des soirées simples, banales et une prise d'alcool, tellement facile, vient sublimer une soirée banale et une soirée festive. …
Merci AlifLam pour ton post.
Tu as tout à fait raison. Il y a un bug.
Aujourd'hui j'avance. J'arrive à poser des espaces et même quand j’achète des boutanches, il y une relation avec le corps et l'esprit. Ca n'est plus si facile, et je me suis vu poser les bouteilles dans le frigo puis ne pas y toucher.
Je crois pas mal à la méthode Coué, non comme un sujet scientifique, plus comme une obsession que l'on se pose et qui va à force de répétition prendre forme. Je l'ai fait avec tant de substances dont je suis libéré aujourd'hui.
Le bug alcoolique il est maintenant compris pour moi : c'est une explosion dopaminergique. Faut juste que je corrige le tir et que substitue l'alcool à autre chose.
Donc la solution va venir, enfin je crois, par espacer, puis espacer encore plus, puis espacé.
La substance possède un potentiel addictif, si je prends la crise des opiacés j'ai tendance à me dire qu'être addict à l'Oxycontin ou en Fentanyl ça doit être une véritable épreuve qui dépasse les for …
Ce qui est galère ça n’est pas l’alcool en soi, ça reste une drogue avec ses propriétés, à la seule différence que l’on stigmatise à outrance d’autres substances alors que celle-ci bénéficie d’une publicité qui si on inversait les choses (par exemple l’alcool prohibée et interdite) en légalisant la coke, nous aurions une apologie du produit qui serait étonnante, avec un marché efficace pour en vendre sous toutes les formes, sous toutes les textures et les saveurs (la coke à la menthe ou la pétillante coke au gingembre, la coke made in france).
Mais je parle surtout de l’addiction, c’est ça le problème. La perte de contrôle à savoir que le premier verre mènera forcément vers la dose que réclame l’addiction. Il n’y a plus cette liberté de se dire “je vais boire deux pintes et basta”. Non. n’y même maîtriser ses ivresses où les gérer.
Ca peut paraître prétentieux mais après le troisième jour de sevrage, c’est l'énergie, la joie et un plaisir puissant qui s’installe (et non une tristess …
L’alcool c’est ce qui ronge des millions de personnes, rien qu’en France.
Ca répond à la solitude, au mal être, à une transition de drogue, à un dérapage que l’on ne contrôle plus, à une situation où la substance en tant que telle à pris le pouvoir et faut avouer que son pouvoir est extraordinaire. En plus tu as des dealers partout.
On pourra être hyper vigilant sur toutes les autres drogues, et même tomber dans l’addiction assez étonnante, j’exclue les opiacées, le crack qui sont un peu à part. J’ai une amie qui eu un accident dans le Rhode island, elle aura était soignée à l’oxcycontin, elle est passé au Fentanyl, elle est complètement dépendante de cette merde. Alors qu’elle ne buvait pas et ne fumait pas. Elle est devenue complètement accro.
Mais l’alcool c’est autre chose. Quand j’écoute cette merde de Darmanin qui voit la beuh comme une merde et qui voit le vin ou l’alcool comme un sujet culturel…. mais quel piètre personnage.
On 'a je pense une vision très édulcorée du nomb …
Hello à toutes et tous,
J’ai testé le Selincro. C’est arrivé à un moment où je me suis dit “on n’y va, on démarre”.
J’ai pris la petite pilule puis j’ai laissé faire. J’avais en plus une séance de sport le soir de prévue (en gros de la fonte, du vélo, de la corde à sauter et surtout du travail des jambes, squat).
1 heure:
J’étais un peu dans un état pas désagréable avec une absence de ruminations à vouloir prendre du vin très prononcé. Effet doux, mais effet.
Sur cet aspect des choses, soit la coupure avec la spirale addictive qui à un certain moment et dit avec simplicité et amour d’aller chercher tes bouteilles, et bien le Selincro fonctionne plutôt bien - chez moi - je n’ai pas cédé et c’était très simple. Ca coupe les crêtes.
En salle j’ai commencé à ressentir des vertiges et une crainte, pendant l’effort, de tomber en syncope, donc j’ai limité, mais j’ai perçu aussi une fatigue, une paresse que je n’ai pas d'habitude. Je me suis tapé un sauna, tout c’est bien passé. Sinon …
Après avoir rejoint le club, je peux t'assurer qu'il y a vraiment tout un panel de personnalité souffrant plus ou moins d'addictions à l'alcool différents, des parcours différents et bien évidement des points communs, mais lors des sessions de groupes (je prends celles du capsa, j'y vais rarement mais j'y vais) c'est très passionnant parfois d'écouter les uns et les autres raconter "son" histoire sur cette drogue, puis les façons dont les préventions se sont articuler autours de leur vie.
Il y a très certainement des (et non une seule causalité) causes et des raisons qui nous pousse à boire. Pour clarifier les causes sont ce dont nous en sommes un peu dépendants et plus ou moins dominées ou en réception, les raisons sont relatives à plus de psychologie, de comportements, de science humaine et peuvent à mon sens être approchées différemment, mais bref.
Déjà, tu le dis toi même de façon peut-être implicite, mais si l'alcool sentaient le purin, et te faisait mal dès le premier verre c' …
Oulala respire mec.
Dans les drogues et restons en à la coke on, cherche à pousser plus loin.
Si j'abuse du cliché, on tape, puis on sniffe plus fort, puis ça ne suffit plus, les uns arrêtent, les autres veulent pousser plus loin. On passe soit au crack, soit à l'iV, soit on tate vers la meth. bref le chemin naturel c'est le stimulant.
Te culpabilise pas sur là ou tu en est mais soit conscient là ou tu en es.
Pas question de te juger juste : te sens tu capables de faire un break.
Pas pour toi.
Pour ton corps
une sorte de contrat un peu dépersonnalisé où tu te dis, putain sa mère je vais pendant 10 mois me faire une abstinence monastique, puis tu verras après.
Crois pas qu'un médecin va te filer une super pilule rose avec en face une infirmière en porte jarretelle et des nichons à te faire bander pour te motiver à arrêter.
La difficulté de l'addiction parfois c'est une personne qui veut traverser une autoroute et qui se pose la question si ses lacets sont biens faits pour pas …
Faible expérience.
Déjà essayé.
Je te fais le topo.
Un ami d'ami, Colombien. (j'étais à Barcelone) Il nous offre trois cokes. Sa colombienne, une péruvienne, et une bolivienne. Les trois étaient très neigeuse sinon la colombienne plus marquée par une odeur de Kerozen.
Donc on goutte. A savoir c'était la première fois de ma vie que j'avais une coke aussi fluide, neigeuse, aérée.
J'ai pas su différencier vraiment. Sinon que j'ai préféré la colombienne mais j'avais déjà dans le pif les deux autres, et hormis le caractère doux et et très agréable de la péruvienne, j'ai vite était submergé par la dernière.
Autre expérience : Madrid. On tombe chez un pote qui était en retard et nous dit de taper dans sa boite. bon, on n'y va. Différents pochons, on les ouvre et de suite on voit selon la textrure que ça n'est pas la même source. l'une fluide, l'autre le cailloux, l'autre un peu des deux.
Et bien on était tous super mal avec ce mélange.
Autre experience : Je reçois de la colombienne …