Diaboliser la coke permet une forme d'exutoire, on déteste le produit car une sourde colère est présente. Surtout les lendemains.
Mais elle n'est rien d'autre qu'une substance sans morale ni intention, après moi je l'ai fait ici en tentant de lui donner du sens, en la personnifiant mais ça reste une façon de verbaliser des sensations, des émotions et ce qu'elle provoque comme effets.
C'est pas une drogue très bienveillante si je la compare à d'autres. Notamment après la fin des effets, et encore plus si on a poussé. D'autant plus que le sommeil ne viendra pas te secourir.
Il suffit de lire ici les témoignages pour voir qu'elle possède un fort pouvoir addictif, très psychologique, mais ceux qui en sont sorties, savent pour beaucoup y échapper par la suite. Peut-être comme beaucoup d'autres (alcool, etc).
Sans échapper signifie mettre les moyens personnels pour y échapper. Medecin, supprimer les "dealers" (pas simple), les contextes. Il y a un passage assez radical qu'il faudra acce …
Elle peut être très dure mais au final cassé en poudre. Très floconneuse, mais ça dépendra des "adjuvants".
Dans un monde légalisée, le marketing proposerait une poudre très agréable au snif, et pourquoi pas mentholée, goût agrumes.
Possible qu'elle soit mal conservée, humide, ou voire qu'un produit fausse le test (pourquoi pas).
Elle doit virer marron sur les tests. Bleu, c'est douteux.
Le pouvoir psy de la coke est très intense, surtout qu'en il se déclenche, le cerveau est dans un fort désir très jouissif à savoir qu'un trait va le satisfaire, et ça bastonne à fond en terme d'obsession et confusion aussi.
J'ai stoppé le truc 18 mois car ça me rendait la vie difficile.
Après ça, j'y suis retourné mais même si parfois je sens le cerveau un peu obsédé (parle fait d'avoir la lettre dans la boite, envoyée par le DM), j'arrive à souffler.
Je me fais un ou 2g tous les deux mois, voire plus, selon la thune, en solo, mais je sais m'en passer.
Ce qui régule sera l'attente, quoique faible : je commande sur le DM et la lettre arrivera entre 3 et 5 jours. Donc ce met en route cette tension où quand j'ouvre la boîte au lettre, j'aurai une déception très vite dissipée ou la joie d'avoir le paquet.
Plus ce jeu avec un dealer, appel, attendre etc. C'est plus sain.
Mais encore aujourd'hui je perçois bien cette forte identité de la coke, soit une capacité à se rendre séductrice …
Les pires descentes je l'ai eues avec des coke merdiques, mais aussi avec de l'alcool.
Cela dit, avec d'autres personnes, ont aura conclu tout de même qu'avec des coke testées (du DM surtout) assez pures, soit autour de 85%, elles étaient très gérables les lendemains. Rien à voir.
Je n'ai aucune idée de quoi pouvait être composées ces cokes de merde.
Donc par expérience la coupe joue un rôle, l'alcool aussi car le mix coke et le métabolisme de l'alcool produit de l'acide anyhydride, ça serait assez toxique.
Tente un soir de ne boire que du coca ou autre pour voir. Puis mesure aussi ta consommation de coke.
L'heure aussi, arrêter à 20h ça n'est la même chose que 3h ou 4h voire plus tard.
Hello à toi,
Si tu le sens prends rendez-vous dans un caspa afin de faire le point car oui, une bouteille de vodka par jour c'est pas mal. Puis ce Black out est très ennuyeux car tu pourrais être hyper vulnérable dans cet état.
Quand on ne contrôle plus il n'y a pas à se poser trop de question, il faut en venir à se faire aider, construire une narration de son histoire et de son addiction et surtout prendre soin de soi, plus que de l'image que l'on croit diffuser.
Pour les violences, il n'y a aucune violence qui soit acceptable, alcool ou pas elle n'ont pas être jugées comme une conséquence d'un comportement même désorienté ou provocateur, peu importe.
Merci pour vos remarques. On est sur les mêmes expériences.
Pour la fatigue, j'ai eu beaucoup moins de mal qu'avec des soirées sous coke, de qualité très moyenne, et alcool où il me fallait 4 jours pour récupérer. Avec du LSD, même bien perché pour les premiers, une sieste, une bonne nuit et c'est un retour à une forme très agréable. Même la fatigue est on dira "respectueuse" (et non brutale et difficile à vivre).
Je fais une pose sur cette substance, parce que mon cerveau n'en demande plus non plus (pas du tout un effet addictif, ça se tarit même au bout de 4 à 5 prises espacées, je me garde les buvards pour une prochaine session si l'opportunité se présente.
Si les visuels furent intéressants (mais des doses autour des 400micro), le LSD à une capacité à libérer la parole assez proche des premiers excta et ça va chercher très loin dans la verbalisation des petites choses que l'on garde un peu pour soi, ce toujours sur un terrain très empathique et amoureux on dira.
Et pour finir, …
J'ai 48, des enfants.
J'ai eu une légère addiction il y a 10 ans, puis j'ai stoppé pendant 2 ans, ensuite ce fut par a coup (tous les 4 mois). Parfois j'en reprends, mais j'évite le coté x gramme par semaine.
Rassure-toi 1 ou 2 g par semaine ça n'est pas disons très inquiétant. Faut s'offrir des pause de plusieurs semaines afin de se rassurer aussi et casser un peu les fréquences et le coté chronique.
Le irrépressible dont tu parles, c'est l'effet psychologique de la coke, qui, souvent après un verre d'alcool (ou pas si plus d'alcool) vient gratouiller le cerveau.
L'important pour toi et de veiller à ta santé, de conserver ton indépendance et de ne pas altérer ton boulot avec ça, donc de ne pas intégrer la coke dans ton quotidien professionnel, laisse là dans le cercle imperméable de tes week end.
Donc seul conseil, ne laisse pas glisser cette conso vers ton quotidien, par prévention on dira.
Jugement personnel, mais l'alcool est plus un danger sur la santé alors que tu vas plus …
Selon mon expérience :
Le corps possède une forme de mémoire et crée une accoutumance, alors entrer dans ce genre de détail je ne saurais pas te dire. Mais oui, avec la coke il y a une limite au fil des années où la fameuse montée ne sera plus présente.
Après j'ai un doute, parfois la coke pouvait être coupée avec du speed ou autre chose, créant une montée qui n'a rien à voir avec la coke. Je dis ça car plus j'ai eu de la coke proche de 80/85 (testée), plus elle était assez souple (durait plus longtemps), mais pas de pic de montée forte, et des descentes très faciles sinon inexistantes.
C'est à partir de là que d'autres choisissent d'autres méthodes que le sniff qui a ses limites.
Sauf à tenter un énorme trait mais je n'ai jamais vraiment essayé. Je dis ça quand en lisant la bio de Keith Richard par exemple il faisait ce genre d’expérience (quand il disposait encore des coke des labo Merck, avant la pénalisation, et s'envoyait d'énormes traits.
Le plateau normalement décrit un é …
Certains médecin usent des 5 C pour définir l'addiction comme une maladie :
Chronicité
Craving
Conséquences sociales/économiques etc
Perte de contrôle
usage Compulsif
Malade doit à se suffir à devoir disposer de soin et où, s'il on prend les 5 C présents de façon évidente, il y a un statut de malade qui n'a rien de stigmatisant.
La stigmatisation n'est pas dans la pathologie en soi mais dans le regard des autres, des institutions.
Voir un type en pleine précarité se ruiner au crack est bien moins stigmatisant de le regarder comme un malade que comme un vulgaire toxico à mépriser.
Donc la question n'est pas tant de savoir si une addiction est une maladie mais plus de mesurer cette addiction sur différents point, rien de binaire, il y a des "jauges" qui sont à analyser et j'en ai oublier par ailleurs : la souffrance de la personne.
Puis si tu peux ne pas mélanger coke et alcool, fais le , c'est souvent plus agréable (avis perso), et plus facile les lendemains.
Hello,
Je doute que quelqu'un t'offre une posologie pour la coke du genre "tu peux taper 2 grammes par mois ça reste raisonnable".
SI tu débutes avec le produit tu vas vite voir qu'il y a une disons "addiction" ou un appel assez particulier, soit une excitation à prendre (donc l'effet psychologique) et surtout après de l'alcool.
Ca sera à toi de mesurer à quelque point cet appel sera installé dans ton quotidien et d'analyser la place qu'il prend. Puis tu verras aussi les coûts.
Tu as juste de la chance d'avoir de la C du DM et en plus de l'avoir testée, donc de disposer d'un produit de référence presque parfait. Et normalement tu ne devrais pas avoir des descentes difficiles.
Conseil perso : regarde ta conso d'aujourd'hui puis des jours ou semaines suivantes et si tu vois une forte augmentation de la chronicité, un système où à la moindre excitation tu veux en prendre de façon "obsessionnelle", prends en note et modère ou arrête parce que la coke, surtout au début à un effet très …
Hello,
Après une série de soirées passées sous LSD et un peu de 2C-B le corps s'accoutume très vite.
J'ai pu tester des dosages (présentés comme ça) de 220micro, puis un autre de 330. L'un comme l'autre les premières fois ont eu un effet très forts, intenses et j'ai vraiment passé d'excellentes soirées.
Mais clairement après disons 3 semaines, alors certes pas tous les jours mais avec des intervalles de 5 jours puis dernière de 1, Il ne se passe quasi rien, et vous pouvez même doubler la dose.
C'est assez étonnant d'ailleurs cette absence d'effet et ça remet bien en cause les fantasmes d'un produit qui serait vu comme hyper délicat (voire dangereux).
Les drop sont aussi inutiles par ailleurs.
Je vais donc laisser de coté les petits dessins en carton pour y retourner dans quelques semaines ou mois car l'effet réduit n'a plus aucun intérêt.
Surprise et révélation pour moi, je pensais vraiment que le produit possédait un potentiel actif à chaque prise. On est loin des histoires de …
Je conseille avec cette 2C-B d'enchainer.
Tu tapes deux cachetons, puis tu dropes toutes les 2 heures.
Tente une fois le snif... prévois du serum phy à coté parce que ça va douiller.
Mais en balançant des drops tu arrives au même niveau (j'en suis à 6 fois un naza ce depuis 14h).
Chose à savoir, le LSD est complètement inhibé avec le 2C-B.
Il ne se passe rien (testé avec un buv de 320 et je peux te dire qu'il est costaud).
Après t'as le bide qui te dit "merci mec, mais putain..."
Conclusion :
J'ai reçu d'autres naza, puis des mario bros, tous testés, et ça vire à chaque fois à l'orange, puis vert intense et noir.
Seul différence, la taille du cacheton qui va virer du simple au double, voire plus.
Les uns comme les autres ont les mêmes effets.
J'en tape deux considérant que les 20mg affiché valent beaucoup moins, ensuite je drope sur 1 après deux heures, puis 2 après plus.
Même sensation de départ, soit sa grattouille et ca vient détruire le bide. J'ai testé en sniff et vu la corosivité, je comprends que les intestins morflent. Donc surcharger en omega 3, gras de poissons et les lendemains en probiotique (yaourt, choux etc).
Mais oser comparer cette substance avec du LSD n'a aucun sens, ou alors je dois dès le départ taper dans les 4 cachetons afin d'approcher une dose différente.
Mais autant avec un bon buv de LSD il y a un confort exceptionnel, ici, ça pèse en incompréhension, en sensation d'être "irrité" au niveau muqueuse (rien de ça sous LSD)
Donc f …
Ah ah, merci pour tes gentillesses !
Très agréable de te lire aussi.
Bah le 2C-B j'explore un peu et un chouya déçu par rapport à ce que j'attendais, et le dosage est assez difficile à appréhender.
Les dégâts de l'alcool font que tous ce qui peut permettre à une personne de sortir de sa souffrance sans évidemment entrer dans du sectaire sera le bienvenue.
Puis on en part égaux sur les addictions donc on ne les gère pas de la même façon et pour certains l'abstinence sera un vrai salut, pour d'autres, plus rare (mais ça représente quand même 30%), ils vivront avec l'alcool ou les drogues de façon plus raisonnable et surtout abandonneront les problèmes (sociaux, sanitaires, financiers) pour modérer.
Le podcat tendait à dire que si tu es alcoolique, c'est foutu, tu as passé la zone du non retour et que tu dois arrêter d’espérer, tout est déterminé : abstinence.
C'est évidemment faux pour l'alcool mais pour plein d'autres choses (clopes, coke, speed, keta, mdma etc... je ne parlerai …
Sans être désagréable, j'ai dû mal à trouver de la cohérence, dans ton trip, dans tout ce que tu dis, puis les suites médicales.
Possible qu'il y avait avant ce LSD un terrain de fragilité.
Quant au redrop avec du LSD... ça ne fonctionne pas. Je peux bouffer un 300 Mg et trois derrière, il semble que c'est le premier qui agit et pas du tout les autres.
Il y a beaucoup de mythes sur ce LSD et tout un tas de témoignages qui parfois sont plus une aventure littéraire et très fantasmée qu'une réalité factuelle.
Prendre pour un novice un grosse dose de champi ou de LSD sera une expérience intense, mais ca reste quoiqu'on en dise une interprétation qui conservera, les lendemains, une part de rationalité, et la description qu'on en fera sera certes très ancrée dans une fiction personnelle.
Mais je peux me tromper.
Les quelques personnes qui j'ai vu souffrir de trauma après des drogues (souvent de la weed d'ailleurs car très présentes aussi dans les pratiques... si j'exclue evidemment l' …
Nan un si petit buvard, qui te démonte à ce point autant de délires...
Nan un si petit buvard, qui te démonte à ce point autant de délires...
Alors le dealer me dit, attention ils sont titrés à 330 mircro
C'est du lourd
Je me démonte pas, j'envoie un buv et un peu d'alcool.
La qualité est excepitionnelle... Ca pète de partour et ça te noie sous un déluge de bienveillance certes pas mal soutenu d'érotisme de désir de cul bien porno.
Hello à toutes et tous,
Alors que je bute sur des paquets du DM qui n'arrive pas, surtout des pays bas, je réoganise mes boutiques, puis j'ai osé ecrire à des ricains qui ne proposaient que du marché USA/USA.
Mais ils avaient du matos de rève.
Le deal est simple : t'envoie, puis si ç a loupe pas grave. Donc avec des échanges dans un langage tres friendly à la cote ouest et aussi cette curosité sur la France qui les titillentn ils ont accépté de m'envoyer leurs buvards.
Je m'absente 2 semaines et sincèrement j'en oublie la tension de la "lettre dans la boite aux lettres".
Plaisir intense, je vois trois paquet bien évidemment du DM présents.
Tous dans un pachaging soit très délicats, avec une poche fermée, sans uv etc.... soucieux de la personne quinte vends un quelque chose.
Mais deux paquets : les buvards étaient collés dans un coin transparent... inivibles, au point que j'ai failli jeter la lettre mais une délicatesse m'interrogeait.
Je tire sur un filament.... et derrière j' …
Hello à toutes et tous,
Alors que je bute sur des paquets du DM qui n'arrive pas, surtout des pays bas, je réoganise mes boutiques, puis j'ai osé ecrire à des ricains qui ne proposaient que du marché USA/USA.
Mais ils avaient du matos de rève.
Le deal est simple : t'envoie, puis si ç a loupe pas grave. Donc avec des échanges dans un langage tres friendly à la cote ouest et aussi cette curosité sur la France qui les titillentn ils ont accépté de m'envoyer leurs buvards.
Je m'absente 2 semaines et sincèrement j'en oublie la tension de la "lettre dans la boite aux lettres".
Plaisir intense, je vois trois paquet bien évidemment du DM présents.
Tous dans un pachaging soit très délicat, avec une poche fermée, sans uv etc....
Mais deux paquets : les bivards étaient collés dans un coin transparent... inivible, au point que j'ai failli jeter la lettre mais une délicatesse m'interrogeait. …
Bon un peu déçu au final de ce 2C-B mais je vais continuer.
Comme j'ai été déçu pour d'autres raisons de la 3-MMC, du 6-ABP aussi.
Ca manque de peps (sauf en sniff, mais faut supporter le délire). Et je pensais que la partie "sensuelle/sexuelle" serait plus développé. Avec du LSD c'est beaucoup plus puissant. Le 2C-B reste cependant plus sociable et tout a fait adapté pour une soirée de club, de drague soft.
Ca reste très bien et vu le prix... on verra demain si descente ou pas. Coté psyché, je n'ai pas vu un grand voyage, pourtant j'ai chargé, mais la prochaine fois je pousserai à 30mg.
Cela dit ça dure longtemps et c'est très agréable avec toujours cette sensation de conscience de soi et de ne pas vriller. Avoir un bad trip avec ça ? Pourquoi pas, mais pour des personnes ne connaissant pas les drogues dans ce cas. 4 ou 5 grammes ou deux buv de LSD de psylo là oui on peut envisager un drama.
Faut avouer que si l'envie de droper vient titiller l'esprit au début, ensuite ça n'exist …
Donc faut passer par un fort dosage peut-être en oral, mais en sniff c'est impérial, mais immensément douloureux. Comme bouffer un sauce pimentée hyper forte, ça passe.
Ca vaut le détour, en une fois, pas plus... autant donc ce poudrer les naseaux et pleurer sa mère mais au moins ça va le faire.
Je continue dans le récit.
Alors avec un sniff d'un demi naza, j'ai douillé comme jamais... mais enfin je ressens un effet psyché plus intense et les visuels.
Mais je le répète en mode alerte général sous mégaphone : ça déchire les naseaux à un point.
L'avantage dans cette torture ; un besoin de peu de prod donc pas besoin d'un gros trait même si réduit en poudre faut quand même se le farcir.
Par contre un effet immédiat et très jouissif, bien plus qu'en l'ingérant.
Mais j'ai le pif et la gorge sous Monsanto là.
Coté gastrique c'est un carnage.
Je déconseille vivement ou alors avec un coktail hyperadapté, en sniff : je n'ai jamais eu un truc aussi brulant dans mon pif.
J'ai nettoyé au serum phy, mais ça glisse dans la gorge et la brûlure vient racler ta gorge.
Bon, coté effet c'est dans les 10 minutes plus puissant qu'en gobant. Et beaucoup plus intéressant.
Donc à voir. Se taper le piment à 1 millions sur l’échelle de Scoville avant pour cet effet ensuite ?
Et sincèrement, c'est beaucoup plus puissant qu'en mode oral.
Testé en sniff...
Nan mais la torture, c'est une souffrance terrifiante, pire que la mdma ou la 3-MMC.
La coke, peu coupée ou disons une coke très smooth, c'est du régale à coté.
Là, c'est horriblement douloureux.
pffffff
Quant à l'anglais... en trois clic tu as des traductions quasi parfaite, sinon chatgpt te fais des traductions parfaites.... je ne parle même pas de chatgpt 4 où ça devient du littéraire.
Donc oui et non sur l'aspect anglais.
Après, pour avoir eu des discussions avec des dealers ricains, ils ont une culture des drogues qui est inapprochable en France, surtout sur les psyché, ici, c'est l'union soviétique, mais ça évolue assez vite.
J'ai eu de belles discussions en tête à tête avec des ex alcooliques devenus abstinents.
On ne peut pas nier que sauf rare exception tu rencontres des gens ouverts, qui ont souffert et qui arrivent à une écoute empathique.
Je n'avais pas du tout le même alcool qu'eux.
Moi, l'alcool ne cachait rien d'autres que le plaisir de la défonce. Ou dit plus sobrement : de l'effet de la drogue. J'ai pas eu besoin d'une seance de psy pour savoir que l'alcool serait un arbre qui cacherait la forêt.
Et je parlais aussi des autres drogues : le plaisir de la substance. Mon seul est unique problème ; casser la chronicité, chose que j'avais réussi à faire avec la coke, le mdma et d 'autres... mais pas orienter mon histoire dans un registre communautaire où ou viendrait expurger son passif et son rapport avec le diable et remercier je ne sais quelle divinité transcendantale ou immanente en se saluant à la fin.
(je suis sous 2C-B là maintenant depuis 3H est ça devient très très cool). …
Je comprends la tienne et avec plus de recul je ne te cache pas que les podscate mon... saoulés.
Cette convenance à "sortir" du truc et se croire investit en plus d'une parole moralisatrice.
D'ailleurs l'un des podcats interessant est celui avec Beigbeder... il s'en tape de sa diabolisation des drogues et du "j'en suis sorti" et maintenant je crois avoir tout compris.
Elle est chiante, me gonfle avec ses réunions un peu sectaires et surtout ce ton à vouloir synthétiser son problème particulier comme un cas général. Puis ce coté egotrip du moi je est vite ennuyant.
Totalement d'accord avec toi sur la culture des drogues en France, heureusement des sites comme celui-ci corrige l'ignorance.
Le coté "culture judeo-chretienne", perso je ne n'écoute pas ces formes de pseudo psychanalise freudo-nietzschéenne qui ne mènent à rien. SI certes je suis membre d'une culture et de sa morale, j'arrive aussi à m'en libérer. Et j'ai aussi vite compris que la culpabilité sur les drogues n'avaient …