Sevrage et c'est pas évident

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Lola_
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Eh oui, encore une... Hélas.

Le pire dans tout cela, c'est que à  la base, c'est pour enlever une douleur de dos (sciatique, hernie) qui traîne, que les médicaments ont toujours été pour moi, que pour aller mieux, que je n'étais pas une addict comme certains (2 petits comprimés le soir pour aider à  ne pas avoir trop mal la nuit) et pas sur une énorme durée (une très bonne année).

Mais voilà , j'en ai eu marre de m'accrocher à  ça et qu'au final, j'avais toujours mal. Donc je me suis décidée d'arrêter du jour au lendemain. La violence!!!

Au départ, une gastro qui n'en n'est pas une. Un rejet de toute nourriture, plus envie de manger (moi qui venait de faire les courses...) rien ne passe. Un sentiment de lassitude, de fatigue, que tout vas mal, que rien n'ira mieux, une fatigue intense avec la nuit des sortes de crise d'angoisse, de lourdeurs dans les jambes, de ne pas trouver sa place dans le lit. Et l'envie de rien.

Pourtant, en arrêt pour mon dos, je me dis que je peux faire ce qui le plait, manger ce que je veux et prendre le temps de le faire. Mais non.

Je ne prends rien en compensation, sauf des tisanes et plantes anti-stress, calme.

Je suis à  6 jours sans codéïne, du mieux?? Je ne sais pas. Toujours mal au ventre, soucis de sommeil, et à  ne pas savoir quoi faire de sa peau.

Et ce qui m'énerve, c'est qu'on ne le dit pas ce qui va vous arrivez avec ce médicament. Même à  dose minim, dans l'espoir de ne plus souffrir. Non parce que soyons sérieux, les contre indications de tous les médicaments font peur.

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noibé
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Carrément
D'ailleurs c'est quand il y a un problème qu'on se met à  lire
"Effets seconds",et rarement avant de consommer.
Mais faut être conscients que dans sa notice le labo ratisse large car c'est cette notice le principal bouclier juridique,alors pour se protéger ils vont en mettre un max,ils débouteront la plupart deS plaignants en faisant comme ca !!
Amicalement

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Ricoson
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Bonjour Lola.

Au départ, une gastro qui n'en n'est pas une. Un rejet de toute nourriture, plus envie de manger (moi qui venait de faire les courses...) rien ne passe. Un sentiment de lassitude, de fatigue, que tout vas mal, que rien n'ira mieux, une fatigue intense avec la nuit des sortes de crise d'angoisse, de lourdeurs dans les jambes, de ne pas trouver sa place dans le lit. Et l'envie de rien.

Tu décris le manque que beaucoup connaissent sur ce forum.
En revanche, tu ne nous dit pas ce que sont ces "deux petits comprimés".
Si c'est du Néocodion, cela ne me parait pas beaucoup, mais cela doit être surement autre chose.

En tout cas, (j'ai vu que tu avais posté en présentation), bien venue sur PA.

Rico@Son.


Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!

La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divertissement et leur inconséquence.

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Lola_
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Daffalgan codéïné ou efferalgan, ou les deux, que je devais prendre en complément d'efferalgan dit normaux 3 fois par jour.

Je sais minim par rapport à  d'autres et c'est ça qui m'inquiète. Même si la quantité ne prime pas sur le fait de prendre ça pour se sentir bien, et ça sans s'en rendre compte au début. Et après on se dit non, c'est pas ça, puis ba si au final. tout ce cheminement dans l'esprit. Moi qui refuse toute forme d'addiction (comme le tabac) depuis toujours pas bingo.

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Lola_
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Ayez une semaine d'arrêt et conclusion:
une semaine d'insomnies et ça épuise... wink
une semaine de bide à  l'envers, mais avec un mieux, plus de diarrhées. Mais toujours pas faim.
une semaine a se demander ce que je peux faire de ma carcasse à  part errer.
une semaine de douleur dans les jambes, tendues, la même sensation quand enfant on avait de pics de croissance.

Depuis hier, je tente d'établir une liste de choses à  faire, même si c'est sortir les poubelles. Bon, je ne sais pas si ça aide, mais ça force à  se bouger un peu.

J'aurai aimé savoir encore combien de temps à  se sentir ainsi? Et pas dormir? Mais je sais que ça dépend des organismes, de la prise de chacun... Mais j'aimerai dormir d'un vrai sommeil qui répare, même quelques heures.

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Lola_
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Retour lundi à  la case doc.

Je ne dors pas depuis une semaine, j'ai mal au dos(sciatique) et je gagne une cure de Lyrica. Du coup, je me renseigne sur le net à  savoir ce que c'est mais ça fait peur?? Ai-je raison?

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YourLatestTrick
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Hello, je connais un peu le lyrica pour en consommer régulièrement.
C'est utilisé pour les douleurs neuropathiques, pour certaines épilepsies spécifiques ...
L'induction peut être spéciale, pas mal d'effets secondaires pas nécessairement désagréables. Ceux ci s'estompent vite. Gaffe si tu prend des benzos en plus, effet sédatif ++++ .
Tout dépend du dosage et de ta sensibilité après, mais pour le type de douleur pour lequel il est prescrit, il est efficace.
A noter un effet anxiolytique marqué ( je ne sais plus si en France on a l'amm pour cette indication.)

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Lola_
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J'ai 50mg au départ(7jours)  puis 100mg 3fois par jour sur 7jours.

Je prendrai que ça, enfin j'ai rien de prescrit en plus.
Après, ma sensibilité pour le moment c'est m'en sortir de la codo. En règle général: addict à  rien sauf la zik, mais une jeune fille sensible et anxieuse par nature.

Mais j'ai peur de reprendre un truc aux effets pas top et de retomber dans un nouveau cercle. Mais la douleur elle est toujours là .

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YourLatestTrick
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Le lyrica devrait soulager tes angoisses ainsi que tes douleurs.
Moi j'en fais un usage récréatif, mais vraiment de temps en temps. Rien à  voir avec les opi en terme de plaisir et de potentiel addictif, selon moi. Ce n'est d'ailleurs pas du tout le même mécanisme. Si tu devais le rapprocher d'un produit courant, ça serait plus les benzos (le lyrica joue notamment au niveau GABA si je ne me trompe pas). Mais ses propriétés en font un bon antalgique spécifique au douleurs liées aux atteintes nerveuses.
La posologie que tu mentionnes correspond à  une bonne phase d'induction, tu ne devrais pas ou peu voir d'effets secondaires, à  part probablement une certaine somnolence.
Courage !

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Lola_
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Je te remercie.

J'avoue je suis perdue maintenant et méfiante surtout, mais là  j'ai une douleur à  gérer, en plus d'insomnies et les derniers effets du reste de mon sevrage brutal.

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Lola_
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Encore une nuit à  ne pas dormir, à  avoir les jambes tendues, sensation que je dois aller courir un marathon. J'en puis plus TT moi qui suis une marmotte dormir à  peine 4heures par nuit ça devient rude.

L'arrêt de la codo c'est pour mieux tombé dans les somnifères ensuite?? thinking

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Aïwa
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Enseignante de 55 ans... un accident de voiture en 1998, entorse cervicale banale.... le lendemain au boulot, pas le choix... fallait bosser ! douleurs de plus en plus intenses, soulagées par le tramadol, 15 ans de tramadol pour tenir le coup et d'en arriver à  un burn out en 2008. Effets secondaires de plus en plus importants (attention, concentration, mémoire, épisode douloureux en cas de manque, effets boostants et l'inverse, doses de plus en plus importantes. 250mg par jour, et encore, je n'en étais pas au 400 mg max !!! En congé maladie depuis 3 ans, plus de vie professionnelle, sociale et affective...

bref, le 6 juin, hospitalisation en service neurologie pour sevrage médicamenteux. Il m'a fallu quelques mois pour prendre une telle décision, aidée d'une psychiatre et d'une neurologue.

6 jours d'hospitalisation, on m'a fait dormir avec du laroxyl en perfusion.... un légume ! et au bout de 6 jours, on me met dehors, juste un courrier pour le traitement futur : laroxyl 50 mg par jour et du diazepam 5 mg matin et soir !!!

Quelle violence !!!!

Un vrai légume.... juste consciente pour assurer le minimum vital. Je vis seule, impossible de conduire, je fais comment pour faire les courses ??? la chance d'avoir quelques relations amicales qui le font pour moi.

Je n'ai pas supporté le traitement, le toubib m'a baissé les doses, mais je n'ai rien pris. Le peu de conscience qu'il me reste refuse tout produit chimique pour le moment, je prends juste un anti inflammatoire et un diazepam le soir car pas moyen de dormir : des épisodes douloureux au niveau des cervicales....

C'est le 20ème jour aujourd'hui, sans presque aucune substance chimique : c'est hyper difficile, mais je tiens. Ce qui me fait tenir : de l'auto hypnose, de la chaleur (coussin chauffant) ou du froid (baume du tigre), du repos.... et le désir de guérir (pas une question de volonté, une envie...).

Je ne sais pas combien de temps je vais mettre pour me "retrouver" mais une petite certitude : le corps humain est une belle machine, elle sait se réparer toute seule, et je ne l'ai pas écouter.....

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Lola_
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Au risque de me répéter, ce qui me choque, m'afflige, c'est que à  la base, c'est pour diminuer une souffrance et on nous apporte d'autres.

Je sais bien, je ne suis pas si naïve, les médocs c'est pleins de substances pas forcément toutes roses, mais de là  à  nous filer des petites doses d'opiacés et après faire la morale sur l'utilisation de certaines drogues. Ok on peut se droguer mais faut prendre la voie légale des groupes pharmaceutiques, c'est ça??

En tout cas je suis comme vous Aïwa, l'envie d'aller de l'avant et de sortir de cette merde. S'écouter. Comme j'ai fait pour envie de m'arrêter, ça m'a pris un jour comme ça. Mon corps semblait dire: stop. Comme il l'a fait avec les anti-inflammatoire quelques mois avant.

En tout cas courage!! On va y arriver, ça aussi c'est une certitude. La volonté aide, mais la fatigue est fourbe et te fait penser que dormir pourrait re être si simple avec un peu de codo.

Demain je retourne chez le médecin. Il est gentil mon doc, mais un peu mou. On verra s'il comprend qu'il faut bouger un peu plus que me reproposer Ixprim et compagnie.

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Ofée
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Bonsoir Lola !

Je viens répondre sur ton sujet car j'en ai ouvert un qui porte presque le même nom et je trouve ça plus intéressant de partager avec toi ici.

Pour info, il y a aujourd'hui 2 semaines que je ne prends plus de codéine. J'en ai pris 8 mois environ dont 140mg par jour pendant 2 mois avec le dicodin.

Depuis samedi dernier je dors 7h par nuit. Apparemment les insomnies c'est fini !
Petits conseils : bois beaucoup d'eau la journée, le soir dans la douche passe un jet d'eau très froid sur les jambes. Ça soulage vraiment ! La nuit dors les jambes un peu surelevées et place un savon de marseille (l'original) au bout du lit sous le drap housse. Tout cela plus des petites séances de relaxation. Ça aide !

Bon après perso je fais de grosses migraines le soir et c'est vraiment fatigant. Avant d'être sous codé je prenais un anti dépresseur et de l'atarax. C'était pour soigner une dépression post natale mais au final ça m'aide bien a affronter ce sevrage et cette vie sans codé.

Nous devons écouter nos corps et parfois les médicaments peuvent quand même aider.

Courage !

"Tout ce qui ne tue pas nous rend plus fort"

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Ricoson
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Bonjour Lola.

Cela fait a peu prés deux semaines maintenant.
De MON avis, cela fait une étape déjà  de franchie, et j'imagine que physiquement, cela doit aller progressivement mieux.
La fatigue peut durer encore un peu, le coté cognitif, beaucoup plus, et c'est le plus souvent l'appétence, et l'appétit qui fait le plus défaut. C'est la que les "désirs" et/ou les "pulsions" titillent parfois certains circuits récemment endormis, et qu'il faut trouver ou retrouver du plaisir dans "d'autres choses".

Mais, cela revient doucement, avec des hauts et des bas.

Que la force soit avec toi.

Rico@Son.

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Lola_
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Inscrit le 19 Jun 2014
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Merci beaucoup. Vos messages me font bien chaud au cœur. La fatigue amène le blues et étant un peu seule dans cette épreuve, pas évident tous les jours.

Oui, c'est vrai que manger est plus une contrainte en ce moment. Même si je me dis, au diable les conseils des diététiciens, là  je mange ce que je veux, j'aime. Mais bon, j'ai pas envie de grand chose. Si j'ai eu faim hier. Punaise j'y croyais plus. Donc je vais dormir un jour, mais bon étant une méga dormeuse, c'est ce qui me stresse et gêne le plus. Puis me relaxer j'ai toujours eu du mal. Je suis tendue en permanence. Je reprends la piscine ça détend et délasse un peu, et la sciatique on verra après.

Mais ça va, je bois depuis toujours beaucoup d'eau, tisanes, thés (bon lui je l'ai stoppé j'en veux plus pour le moment)

Je vais tenter l'eau froide, et surélever mes jambes. Mais pourquoi du savon de Marseille sous la housse, je connaissais pas.

Merci encore et courage aussi Ofée pour tes maux de tête.

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Ricoson
Adhérent PsychoACTIF
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Mais bon, j'ai pas envie de grand chose. Si j'ai eu faim hier

Une envie, un peu d’appétit, l'appétence pointe son nez ? drapeau-blanc

L'envie de faire va revenir, tu as l'air "motivée".

Rico@Son

Dernière modification par Ricoson (26 juin 2014 à  21:06)


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enjy
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Inscrit le 25 Jun 2014
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Purée qu'elle M..... Cette codéine ! J appréhende le sevrage car déjà  essayé et au bout de deux jours j étais tellement mal que j en reprenais pour plus à  avoir à  supporter ces symptômes. Mais depuis la semaine dernière, g pris RDV dans un centre d aide et RDV avec un médecin Addictologue dans un Hôpital. De plus je l ai avoué à  mes proches (ça m  
à  fait du bien)  
Je sais que ça sera pas plus facile pour décrocher de cette saloperie mais j ai besoin de être entouré.  
Je voudrais savoir combien de temps dure et comment se passe le sevrage et si après on y pense toujours ? A savoir que j ai du lysanxia aussi à  prendre. Courage à  vous tous et bravo pour ceux qui ont réussi ou qui essai d arrêté

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prescripteur
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Je t'ai répondu dans "presentation"
Amicalement

copie



A priori un "bon" sevrage est assez long = plusieurs mois. La difficulté rencontrée' par la plupart est l'impossibilité de descendre en dessous d'une certaine dose. Dans ces cas le TSO peut se justifier voir le wiki

http://www.psychoactif.org/psychowiki/i … u_tramadol



Mais ton addictologue pourra t'expliquer tout cela.
Amicalement



Dernière modification par prescripteur (Aujourd'hui 10:11)

Dernière modification par prescripteur (27 juin 2014 à  10:15)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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noibé
Psycho sénior
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786 messages
Salut
Un truc valable pour n'importe quelle drogue:quand on est dépendant et que l'on arrête ce n'est pas le lendemain ou il doit rester quelques traces du produit dans l'organisme le plus dur mais le surlendemain que les choses sérieuses commencent .
Amicalement

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Ofée
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Alors Lola ?
Comment se passe ton sevrage ?

De mon côté aujourd'hui le cap des deux semaines est passé et je me sens super mal...
Moi qui te donnais mes petites astuces de grand-mère genre "sevrage à  la dur les doigts dans le nez"... je commence à  comprendre le côté "dent de scie" du sevrage...
En fait en début de semaine, j'ai commencé à  sentir de nouveau les effets de mon AD. J'ai même eu le droit à  2/3 petits effets secondaires typiques. Du coup je me sentais plutôt sereine. Et je me suis dit qu'il allait prendre le dessus ! Mais là  depuis hier soir c'est l'horreur ! J'ai des migraines presque constantes qui ne sont calmés ni par l'atarax et encore moins par le doliprane. Ma tête va exploser ! Obligée de porter des lunettes de soleil même à  l'intérieur. Des nausées, des courbatures dans la nuque, le dos, les jambes et des vertiges pour accompagner les maux de tête et une impression de faiblesse générale...

Pfff... Du coup j'y comprends plus rien, et c'est clair que l'envie d'avaler un cachet est omniprésente, pour que mon corps la ferme !

Est-ce mon AD qui n'est plus assez efficace parce que dépassé par mon sevrage de codé ? Faut-il augmenter le dosage de ce côté ? Ou un autre médoc ? J'aimerais me dire, ça passera, pas besoin de traitement, mais c'est faux ! Ces douleurs dans la tête sont juste horribles !!!
drugs

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Lola_
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Ofée, je suis comme toi à  deux semaines pleines. Et bien, je vais toujours pareil, pas de dodo, pas faim, même si j'ai eu faim l'autre jour, mais j'ai envie d'avancer donc je me bouge (ballade, peinture, ...) je suis retournée voir le médecin pour dormir, j'ai des somnifères. On verra. Je me dis là  ce que je veux c'est dormir. Je ne pense même pas au effet de la codo ou ma douleur de dos toujours là , juste dodo. C'est ce qui compte, après je me dis déjà  sans ça, plus en forme, ça ira bien mieux.

Je tente de trouver aussi des trucs pour atténuer la douleur. J'ai fait l'eau froide sur les jambes hier soir, j'ai eu moins mal, mais j'ai de l'homéopathie aussi pour ces douleurs. Donc effet des deux, ou ça se calme, on verra. Mais en tout cas, chaque petites douleurs de moins est une victoire et ça me réjouit.

Ofée t'es pas retournée voir le docteur pour lui en parler???

Enjy: courage, je me dis que pour réussir son sevrage, il faut aussi le vouloir. Et on est pas forcément prêt à  certains moments. Moi, ça m'a pris du jour au lendemain, et je me suis presque baffée parfois pour y arriver. Si j'avais voulu avant, aurais-je réussi?? En tout cas courage. Je pense que déjà  le plus gros c'est de se dire qu'on a un soucis et d'avoir envie de réussir.

Rico@Son: merci! Oui motivée, j'aime pas qu'on me dise quoi faire, alors c'est un médoc qui va me faire non mais ^^

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Lola_
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16 messages
J'ai dormi!! Bon certes avec un peu d'aide, oui réveillée pleins de petites fois dans la nuit, mais pas d'insomnie à  être debout 2heures à  tourner en rond, à  plus quoi savoir faire de ma peau. Mais pas grave, un dodo quand même. Une grande victoire.

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Ricoson
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Il y en aura d'autres.....
TKT comme dirait mon fils.

Rico

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Tonyno
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Inscrit le 28 Jan 2018
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Slt j'en suis à mon 5em jour sens dicodin honnêtement aujourdhuit sa va mieux je dort pas la nuit mais bon ce matin mes jambe parte pas dans tout les sensé sa va j'espère sa restera comme sa jes juste des sueur chaude et je prend rien à côté sevrage a la dure c fesable courage tout le monde

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