) "no soucy j'passerai". Et un jour problème de traitement, surdosage donc trou d'1 semaine, je panique, je déteste la sensation de manque, je résonne plus dans ces cas la donc hop je passe chez cet "ami" pour "dire bonjour" et là un client se pointe (dans ma tête "ah y'a moy de pécho, ouf je vais éviter le manque, je destress). Finalement non, aujourd'hui je me déçois, j'ai l'impression d'avoir foutu en l'air 6ans de substitution, la pression familiale n'aide pas même si malgré tout, heureusement qu'il y a la famille, mais obliger de se cacher (forcément), de faire attention à , mentir (j'avais presque oublié tout ça et pourtant ça revient tellement vite!!) etc... C'est l'été, y'a le soleil (relatif en Picardie mais bon...
) pourtant ça faisait bien longtemps que tout n'avait pas été aussi sombre. Je pourrais en parler à mon centre (j'ai toujours été honnête avec eux et ils sont super) mais la peur de décevoir fait que je garde tout pour moi, mon traitement devrais être réadapter, je le sens mais trop honte de la rechute donc pression supplémentaire. Donc oui, j'ai échouer...je le pense même si au fond de moi je sais que le prod ne m'aura pas encore une fois.Hors ligne
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), souffrir en silence (puisque 25ans et revenus chez mes parents depuis 2ans...Merci Maman Je t'aime!!!) donc de me cacher pour ne pas montrer et les inquiéter un peu plus...
), ma façon d'me protéger c'est de m'enfermer mais en même temps ça fait chauffer mon cerveau d'avoir autant de temps pour la reflexion donc ce n'est certainement pas la meilleur soluce...Hors ligne
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