C'est pas la
came en l'occurrence qui tue dans ce que tu racontes, mais un mélange dans lequel dans le désordre entrent en compte :
- Les pratiques (la façon d'injecter, le manque de
RDR etc) et les maladies qui s'en suivent.
- L'abus de la substance (qui n'est pas imputable seulement à l'
héroïne).
- La prohibition qui empêche la
RDR, marginalise et ruine les consommateurs.
- Les aprioris sur la toxicomanie qui rendent très difficiles les démarches de soin.