Soulager des douleurs physique

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Buddha
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Bonjour je vais donner un maximum de détails sur moi.

J'ai 21 ans, je mesure 1m88 pour 65 kilos, j'ai arrêté les cours en 2nd à  cause de douleurs qui ont commencées à  me bouffer socialement depuis l'âge de 13 ans. Voilà  mes futurs conseillés, j'ai un dysfonctionnement temporo mandibulaire, une béance tubaire, une scoliose des cervicales, et je ne peux plus VIVRE, être aussi angélique et plein de vie qu'autrefois, en plus de me faire mal cela me cause des troubles de la concentration, de confiance en moi, ça limite considérablement mon vrai moi et me détruit un peu plus chaque jour.

J'ai toujours été anti drogues alcools, avant de me rendre compte qu'il y avait une partie thérapeutique qui m'aiderait à  me retrouver, j'ai commencé par l'effet analgésiant que me procurait le whisky dans le placard de mon beau grand père, par prendre du vin dès qu'il y'en avait à  table. Puis après en avoir eu plein le cul de tout, je me suis dit qu'il y avait forcément une médecine alternative pouvant assommer la douleur, me rendre volonté, force que tout être doit avoir pour accomplir ce qu'il souhaite, une drogue, un dopage.. Et après de multiples recherches je suis arrivé jusqu'à  faire pousser une plante de cannabis. Une variété riche en cbd, indica, apparemment utiles aux souffrant de scléroses en plaques. C'est actuellement en bocaux, verdict dans 2 semaines.

Mais comme je passe plus mes journées à  cogiter qu'à  faire autre chose, entre temps, j'ai cherché d'autres produits, j'ai compris que la codéine (sans paracétamol à  cause du foi oui) ou plus directement le "neo codion" vendu sans ordonnances pourrait m'assommer et m'offrir un état de bien être, j'ai compris que le speed/metamphétamine serait l'idéal pour me booster psychologiquement/socialement, j'ai lu que les nootropiques pouvaient être une autre alternative : http://peaknootropics.com/shop/phenibut-capsules/

Mais j'ai aussi lu et vu la déchéance des camés en sevrage (courage). Je me demandais si il y a une chance que ça n'arrive pas ? Ou du moins de l'éviter. Car j'ai pris la décision de prendre une de ces drogues, en ayant la ferme conviction que je ne basculerai pas dans l'héroïne, ou d'autres drogues psychoactives qui je me doute n'ont rien de thérapeutiques.

Je veux en découdre avec ça et arrêté de voir des médecins qui ne savent pas faire leurs jobs dans leurs propre spécialité, à  moins que mon but soit de devenir encore plus misanthrope.

Même si je suis détruit dans 10 ans, je veux à  peu près ce temps la sous ces substances pour réaliser des rêves qui sont à  ma hauteur artistique. J'ai besoin de profiter de mes capacités naturelles, de retrouver mon corps, de pouvoir faire ce que j'ai envie de faire quand j'en ai envie, si on m'ôte ce pouvoir je sombrerai dans une dépression encore plus profonde.

Merci de me balancer le plus d'infos, de me sensibiliser, de m'aider parce que j'en ai plein le cul.

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coluche
Psycho sénior
Inscrit le 19 Jun 2016
953 messages
Bonsoir ,
Je vais te donner mon avis sur le sujet sachant que cela n'engage que moi .
Si jetait dans ton cas , je chercherais un médecin qui me coresponde,  qui comprenne ma souffrance et qui arrive à  soulager mes souffrance . Il existe de nombreux médicaments anti douleur de différents paliers .
Sache que l'auto médication par le biais de différentes drogues n'est pas une solution . D'une part parce que pour te les procurer tu passe du coter de l'illégalité avec tout ce que sa entraîne comme probleme , soit des soucis en plus alors que apparemment tu en as déjà  beaucoup.  Mais aussi parce que le fait de consommer des drogues pour alléger tes souffrance va peut être t'aider  le temps que la drogues agisse mais à  coter de sa tu aura le revers de la médaille . Problème sanitaires , problème de dépendance,  problème financier , problème social... je ne vais pas rentrer dans les détails Google est la pour sa . Donc mon avis sur la question est de ne pas sautô médicalisé par des drogues dont tu ne connais absolument pas la composition et qui obligatoirement t'ameneront vers d'autre problème qui te créerons encore plus de souffrance .   
Ha moin que tu soit suicidaire mais dans ce cas je ne veut pas participer à  ton suicide en te donnant de mauvais conseils.
A la limite tu pourrais éventuellement essayer le cannabis qui pour certaine personne apaise bien les douleur .
Mais le mieux serais de te trouver un bon médecins qui te comprenne ... il ya des 100  ene de médecin en France donc c'est obliger qu'il yen ai un qui te corresponde  ..
Voilà  je te donne simplement mon avis sachant que je ne suis pas médecin mais tout de même soucieux de ne pas aggraver ta situation.
Péace coluche

Dernière modification par coluche (02 décembre 2016 à  19:16)


Les psychiatres, c’est très efficace. Moi, avant, je pissais au lit, j’avais honte. Je suis allé voir un psychiatre, je suis guéri. Maintenant, je pisse au lit, mais j’en suis fier.”

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Anonyme 473
Banni
Inscrit le 11 May 2016
212 messages
Si tu prends du cannabis, peu de chances que tu finisses par te réveiller en sueur en pleine nuit, gelé, les boyaux tordus, parceque t'as pas eu ton joint du soir : L'addiction est faible, plus faible que la clope, l'alcool, et, bien sûr, l'héro.
Quand au manque... J'ai jamais vu personne en manque de weed, j'peux pas te dire, mais je connais des gros fumeurs et même sans bédo pendant 2 semaines, ils n'avaient pas l'air de mal se porter.

En revanche, la codéine...
C'est un opiacé. De la famille de la morphine et de l'héroïne, donc.
Si tu fais pas gaffe, t'auras même pas besoin de basculer dans l'héroïne pour connaître la déchéance d'un camé en sevrage.

Le speed, j'me prononce pas, j'me suis pas trop documenté dessus.

Fais attention, en revanche, il se pourrait bien, pour certaines de ses substances, que le contraste avec ta vie quotidienne (qui, ne le cachons pas, est très dur) y donne un gout de reviens-y très prononcé...

Mais quoi qu'il en soit, tu peux, je pense, très facilement survivre 10 ans après avoir touché à  la drogue, Filousky en est la preuve !
(Sauf si par "vivre", tu entends "vivre sans addictions" : si c'est possible, l'affaire n'est quand même plus la même ^^)

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Syam
गोविन्द राधे राधे श्याम गोपाल राधे राधे
Inscrit le 26 May 2015
3358 messages
Bien entendu qu'il est possible d'éviter les horreurs du sevrage d'opiacé quand on est consommateur quotidien. Il suffit de toujours avoir sa dose. C'est le cas d'un tas de gens sous opiacés pour des douleurs.

Mais la codéine ne suffira qu'un temps (si même elle fonctionne) car elle a un plafond d'efficacité qui sera atteint un jour ou l'autre. Arrivé là  on se retrouve avec la douleur plus une dépendance.

D'autre part les opiacés peuvent aussi augmenter la douleur (tout en la soulageant mais ça signifie une augmentation rapide des doses) dans le cas des douleurs chroniques. Actuellement l'école dominante c'est d'éviter les opiacés pour les douleurs chroniques, mais certains spécialistes continuent de recommander les opiacés faibles (codé, trama).

Dans ton cas je recommande de prendre rendez-vous au centre anti-douleur et d'essayer toutes les alternatives sans opiacés, et si elles ne soulagent pas, alors d'envisager les opiacés. Parce que les opiacés redonnent une vie décente, plus que décente, normale, sans le handicap! Au moins tant qu'on es sous traitement. Mais comme la médecine n'accepte pas de doser à  l'infini, le fait est, un jour on se retrouve face à  un os. A toi de voir.

Si la médecine acceptait de donner des dosages sans limite quantitative, un tas de gens pourrait tout simplement mener une vie normale grâce aux opiacés. Mais les décideurs qui ne connaissent pas ce genre de douleurs, ont prévu que non, les handicapés doivent rester handicapés même si on a les moyens de supprimer leur handicap. Non mais des fois - il manquerait plus pendant qu'on y est que les cons deviennent intelligents ou que les pauvres deviennent riches.

Les décideurs ne sont ni handicapés, ni pauvres. Parfois cons mais ils ne le savent pas donc cela ne les dérange pas.

Bref on peut débattre tant qu'on veut de la théorie, mais on vit dans un monde pratique, et de fait un traitement à  vie avec une dose suffisante au fil de l'accoutumance te sera refusée. Si tout le reste échoue, vois si malgré le problème qui se posera un jour, tu veux retrouver une vie normale pendant un certain temps. Personnellement je trouve que ça se défend vraiment comme choix (à  savoir que c'est le mien et que pour le moment j'ai pas de regret) mais les risques d'hyperalgie, d'accoutumance et d'effets secondaires sont vraiment réels. Et craignos. D'où ma suggestion d'essayer les autres options d'abord, CBD, cannabis, Laroxyl, hypnose, sport, psychothérapie. Tout ça est proposé par le centre antidouleur, demande à  ton médecin traitant de te donner un rendez-vous avec le centre antidouleur et prends ton soucis en charge sérieusement. Si tu es tellement mal que tu n'arrives plus à  prendre rendez-vous, aller à  l'hopital etc, effectivement la codéine pourrait aider, mais dans un premier temps, juste pour tes RdV - ne prends pas l'habitude avant d'avoir exploré les autres pistes. Je mets le cannabis avant les opiacés car il pose quand même moins de problèmes - il en pose, mais quand il fonctionne bien, et ça arrive, c'est quand même un traitement bien moins lourd que les opiacés.

Dernière modification par Syam (02 décembre 2016 à  19:48)


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pierre
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Ici nous ne t'aiderons pas à  choisir quel produit défonce le plus, meme si c'est pour tes talents artistiques.

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coluche
Psycho sénior
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953 messages

pierre a écrit

Ici nous ne t'aiderons pas à  choisir quel produit défonce le plus, meme si c'est pour tes talents artistiques.

Je pensez que pour des talent artistique on pouvez ..   lol


Les psychiatres, c’est très efficace. Moi, avant, je pissais au lit, j’avais honte. Je suis allé voir un psychiatre, je suis guéri. Maintenant, je pisse au lit, mais j’en suis fier.”

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Syam
गोविन्द राधे राधे श्याम गोपाल राधे राधे
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Non mais en plus j'ai éludé le sujet pour répondre en toute logique sur mes sujets de prédilection, mais j'aurais du préciser : je suis convaincu qu'il faut avancer très doucement produit par produit et avec beaucoup de prudence. L'idée qu'on va faire ses courses et prendre en même temps un opiacé, des amphet, du cannabis et un peu de tout comme si ça allait ou même pouvait transformer les citrouilles en carrosses, c'est extrêmement dangereux. C'est déjà  très dur d'apprivoiser UN produit et d'arriver à  en faire un bon usage sans dérailler dans le cas où il nous apporte un réel mieux être... C'est dur mais c'est possible. Par contre opter directement pour la polytoxicomanie dans aucun discernement... C'est bel et bien l'assurance de se prendre un mur en bonne et due forme. Par exemple les stimulants n'ont absolument aucun intérêt pour traiter les douleurs. C'est pas de conseillers en drogues que notre visiteur a besoin, c'est d'un suivi aussi rapidement que possible en centre antidouleur. Vraiment - et Pierre a plus que bien fait de recadrer.

Dernière modification par Syam (02 décembre 2016 à  20:24)


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coluche
Psycho sénior
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953 messages
je pense que notre ami a reçu les meilleurs conseils qui puisse lui être donner dans le but de ne pas à graver sa situation et meme éventuellement essayer de l'améliorer.  Après c'est sur que si le but de sa question et de savoir comment se defoncer le plus , comme pierre la dit ce n'est pas ici  qu'il aura ces réponses ... à  lui de voir donc mais au moins on laura conseiller au mieu

Les psychiatres, c’est très efficace. Moi, avant, je pissais au lit, j’avais honte. Je suis allé voir un psychiatre, je suis guéri. Maintenant, je pisse au lit, mais j’en suis fier.”

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Syam
गोविन्द राधे राधे श्याम गोपाल राधे राधे
Inscrit le 26 May 2015
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Merci Coluche.

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