sevrage prolonge des antidepresseur et benzo

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geoff22luga
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bonjour jaimerais avoir des reponse c pour sa que je lance cette discution desole pour les faute voila mon histoire le 14/02/2015 g fais un burnout mais ct surtou lier a une grosse cadance de travail je sui maçons et je me sui sevrer rapidement de lalcool car je buvai 10 bieres par jour je pense que c sa le declencheur du strees javais juste besoin de repos je sui allai voir le docteur (pour une grande fatigue et du stress c tout)il ma di il fau prendre des antidepresseur et benzo qui va avec sinon tu ten sortira pa la plus grosse ereur de ma vie que g faite c la que mon cauchemar commence au debut je prenais seroplex et un benzo que je me souvien pa du non au bou de 6 mois jessaye darreter ce poison car beaucou de symptome avait apparu (jarrivai plus a lire ecrire concentration de la peur sueur tension nerveuse nervositer le stress a augmenter et bien dautre )bref en arretant je comprenai pa se qui marivai je croyai que la depression avai enpirer ducou je repris le traitement et la tentative de suicide je savai plus ou je campai javalais une 100 de cachets par chance 2 jour de coma aucune sequel c ma fille qui ma sauver javai regurgiter quelque cacher et la petite a di a sa mere papa a manger des bonbon sa fesai 2 jours que gt allonger quel avai rien vu puisque je dormais beaucoup ducou apre sa un psy ma suivi et ma donner un autre traitement cymbalta et xanax 1g 3fois par jour sa me faisai quasi rien gt tellement sur les nerfs ducou quelque temps apre je me renseigne correctement sur le sujets et je tombe sur se fameux sevrage prolonge que les medecin (tueur sur ordonnace) ne precise pa je remercie fortement carole advice elle ma ouvert les yeux elle et sur youtube grace a elle g entrepi un sevrage g pri ces poison pendant 20 mois g mi casiment 10 mois a arreter sa le pire etais le xanax g du le coupe au cuter de nombreuse fois ct un enfer jamais jaurai pu croire con peu autan soufrir dans son corps en meme temp g arreter lalcool en ete dernier donc un an. le 1/11/16 javais tout arreter anti et benzo sa fais 6 mois que je tien le coup c un vrai defi mais je baisse pa les bras jendure se sevrage prolonger je me voile pa la face jen ai pour des anne a souffrir je fais du sport je vai courir un peu car physiquement c dur je bois plus pa de cafe ni coca et aucune saloperie jessaye daider mon corps du mieux que je peux je sui seul dans ma soufrance mes amis me calcule plus ma femme me parle presque plus mai c comme sa c dur de leur faire comprendre les mots ne suffise pa apparament je sui un faible mai bon un faible ne peu pa endurer tout sa je me releverai tou seul sen laide de personne desoler de divaguer un peu mai fallai que je vide mon sac ma question esque ya des gens qui son parvenu a vaincre se sevrage combien danné faut til pour se sentir libre de son corp merci de votre attention jespere que pour vous sa ira aussi baissai pa les bras avec le mental on arrive a beaucoup de chose .

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11142 messages
As tu lu ?
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … de_sevrage

Si tu as des questions après lecture , à  ta disposition.
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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geoff22luga
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Inscrit le 08 Jun 2017
5 messages
bonjour oui javais deja tou lu et g bien compris que g etais enpoisonnai par les medecin merci pour votre soutien on ai abandoné par tou le monde car le sevrage nai pa reconnu mai il et bien reel et beaucoup de personne se fon pieger a vie dans sa .

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zenoupazen
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76 messages
Bonjour.

J'ai vécu des étapes un peu similaires (burn-out, alcool, anti-dépresseurs à  de nombreuses reprises et anxiolytiques idem) et personnellement je pense qu'il ne sert à  rien de vouloir jeter le bébé avec l'eau du bain. Je m'explique.

Oui certains médecins (et certains psychiatres) peuvent avoir parfois la main lourde et le recours facile à  ces médicaments, et oui en particulier la prescription de benzodiazépines sur de longues périodes n'est pas très raisonnable car les benzos ont un fort pouvoir de dépendance + accoutumance (c'est-à -dire qu'en plus ils perdent de leurs effets ou alors il faut augmenter les doses). La dépendance aux benzos est réelle et ce n'est pas parce que c'est un produit légal que c'est le sevrage le plus facile à  réaliser, loin s'en faut. Pour les anti-dépresseurs, à  mon avis c'est un peu (voire beaucoup) différent et je ne parlerais pas vraiment de dépendance à  proprement parler (ce n'est que mon avis), ce qui n'empêche pas qu'il est fortement conseillé de les réduire de façon très progressive.

Ceci dit, ces médicaments apportent aussi de vrais bénéfices et comme souvent, c'est la balance bénéfices/risques qu'il faut prendre en compte de façon plus globale.

Après un burn-out et une dépendance à  l'alcool, des AD et des benzos ne sont pas forcément à  considérer comme une réponse idiote et un "empoisonnement", même si je peux comprendre que tu le ressentes comme ça. Peut-être, en tout cas c'est vraisemblable, que tu en avais besoin à  ce moment là  et va savoir si ça aurait été mieux ou pire sans ces médicaments. Outre le côté stress / dépression, les benzos sont aussi utiles en début de sevrage alcoolique pour éviter les risques de delirium tremens, qu'on ignore souvent mais qui peuvent être mortels... c'est quand même pas rien... bon par contre dans ces conditions c'est je crois de l'ordre de 7 à  10 jours. Et même avec un AD ça me semble justifié pour une durée de quelques semaines le temps que l'AD agisse. Donc pas 2 ans de prescription de benzos. Mais bon je ne suis pas ton médecin (ni médecin du tout d'ailleurs) donc encore une fois c'est juste ma propre expérience.

Ce qui me semble important aujourd'hui, c'est de te fixer sur le positif. Après un burn-out il y a 2 ans, tu dis que tu as réussi à  arrêter l'alcool depuis un an et les médicaments depuis 6 mois. Et bien félicitations pour tout ça, ce n'est pas rien !

Après c'est la reconstruction qui est longue et qui est souvent très progressive, à  tel point d'ailleurs que j'ai remarqué que souvent j'avais l'impression de ne pas avancer, alors qu'en fait si je regardais sur une période plus longue (du genre : où j'en étais il y a 6 mois ou 1 an ?) les progrès étaient réels.

Tu dis que tu fais du sport et je pense que c'est une très bonne chose car outre la simple santé physique et la forme, le sport produit des endorphines naturelles, sources de bien-être. Ensuite c'est une question de goûts, il y a plein de choses qui peuvent aider à  aller mieux et à  gérer son stress et ses émotions, de la simple ballade dans la nature à  des activités comme le yoga, la relaxation ou la méditation. Retrouver l'envie de faire aussi et des petites choses qui te font plaisir, une activité, une passion.

Voilà  pour ma part. Encore une fois ce n'est que ma propre expérience, tu prends ce qui te convient et tu laisses le reste, pas de soucis. Bon courage à  toi pour continuer à  remonter la pente, tu as quand même déjà  fait une belle partie du chemin.

Dernière modification par zenoupazen (10 juin 2017 à  14:20)

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geoff22luga
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merci pour ta reponse pour moi c medicament ne soigne pa mai il te detruise par ma propre experience apre chaque corps et different mai je constate que beaucoup tro de gens ne son pa eclairer sur les danger de c medicaments une fois con prend ce poison on ouvre une porte qui et tre dure a fermer .juste pour savoir tu en ai ou dans le sevrage jesper que c pa tro dur pour toi les gens ne comprenne pa a quel point c violent interieurement pour eux t un faineant qui reste a la maison depuis que g pri c merde je sui vraiment different tre nerveux violent irritable je pense a de tres mauvaise chose sen compter tou le reste avant sa gt quelqun de joyeux qui rigoler souvent qui aimai la vie mainan g un mal detre que javai pa avant de les prendre  je pense que c le manque de la drogue avec le temps sava sestomper et tou le reste aussi il fau pa lacher c toi qui gagne point barre il faut faire abstraction de toute c chose et avancer si tu veux mexpliquer les symptomes que ta u ou si tu veu parler pa de souci on doit sentraider car avec c merde on devien un monstre depourvu de sentiment meme apres 6 mois g toujours le gout des medicaments dans la bouche des vertige comme si gt un peu bourré une concentration pa terrible la memoire du mal lol tension musculaire tre douloureuse douleur estomac et intestin aussi depuis que g arreter lad quand je me couche g comme les jambes anestesier mais sa me le fait moins fort la vue trouble etc jesper que sa pourra aider des gens faudrai que la verité eclate c pa possible de detruire autan de vie comme sa bon courage a vous qui liser je vous comprend vraiment ne lacher pa .

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Recklinghausen
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Salut,

Je m'excuse par avance car je pense que mes mots ne vont pas dans ton sens.

Tu parles quand même de burn out ! C'est pas une simple petite déprime !

Tu étais quelqu'un de joyeux AVANT ton burn out. Le fait d'avoir été atteint de cette " maladie " ( ou de ce syndrome ) a changé la donne.

Il fallait bien que le médecin te propose un traitement médical adapté car le risque de suicide est présent lorsqu'une personne est atteint d'épuisement professionnel et n'est plus capable de gérer le stress du quotidien qui lui est infligé.

Malheureusement, il n'existe pas d'autres procédures médicamenteuses que la prescription de benzodiazepines et d'anti depresseur.

Tu allais tellement mal à  cette époque que tu as même fait une tentative de suicide, qui s'est heureusement soldé par un échec.

Au vu de tes mots, j'aurais tendance à  penser que le burn out a fait place à  une belle dépression.

Et que tu as peut-être arrêté tes médicaments un peu trop tôt.

C'est un peu " facile " de tout mettre sur le dos des médicaments. La vérité est surement ailleurs, ne penses-tu pas ?

Tu sembles ne pas aller bien du tout.

Si tu ne souhaites pas reprendre ce type de médicaments, je t'engage à  prendre contact rapidement avec un psychiatre pour entamer une psychothérapie dans les plus bref délais.

Peut-être qu'il serait pertinent de consulter un phytothérapeute pour entamer un traitement de fond à  base de plantes ?

Je t'engage à  ne pas rester dans l'état de souffrance que tu vis ( subis ) actuellement.

Prends soin de toi,


Reck.

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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zenoupazen
Adhérent PsychoACTIF
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76 messages

geoff22luga a écrit

juste pour savoir tu en ai ou dans le sevrage jesper que c pa tro dur pour toi

Pour te répondre sur ce point, je suis en toute fin de réduction progressive de mon AD qui s'est faite sur environ 6 mois en accord avec mon médecin traitant. Quant aux benzos j'en ai eu de nouveau pour accompagner la fin de la réduction de l'AD si besoin mais je n'en prends pas quotidiennement et au pire c'est 1/2 le soir donc pas énorme.

Et non ça va, je n'ai pas trouvé cette réduction difficile, je me sentais prêt à  la faire et on a bien étalé dans le temps. Après je ne dis pas que je fais des bonds de cabri en criant youplaboum, je sais que j'ai encore du chemin à  faire pour me débarrasser d'une grande fatigue qui perdure et aussi pour retrouver de l'envie de faire. Par contre j'ai déjà  repris le boulot depuis un peu plus d'un an, ça a été un peu dur au début mais au final je ne le regrette pas car ça m'a obligé à  me donner des coups de pied au c.l et évité de trop tourner en rond seul chez moi.

Mais bon, ce n'est pas la première fois que je pends des AD étant un peu dépressif chronique (et les drogues n'aident pas forcément sur le long terme, mais c'est un autre sujet), donc c'est un processus que je connaissais déjà  assez bien (par contre le burn-out c'était une nouveauté pour moi et c'est chaud, ça laisse vraiment sur le carreau, d'ailleurs je rejoins pas mal ce que dit Reck de ce point de vue là  même si je le dis autrement).

Bonne soirée.

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geoff22luga
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Inscrit le 08 Jun 2017
5 messages
bonjour reck et zen  merci pour ta reponse mai la tentative de suicide c faite apre avoir pri c merde tellement sa mavai changer et pui maitenent sava a peu pre a pars tout c sympyome depui le debut je nai aucun probleme psycologyque c un epuisement du corp mai depuis que g pris c merde sa ma changai mentalement jaurai jamais penser que des medicaments peuvent autan detruire ta personnalité apre comme je disai chaque corps et different sur moi sa ete tre violent et je pense ne pa etre le seul jesper que pour vous sa ira zenoupazen bon courage pour arreter et reprendre ta vie normale je suis etoner que tarrive a travailler avec des cachet sa doit etre tre dur parsque la fatigue et intense esque c medicament on calmer ton stress car moi pa du tou sa la meme enpirer depuis le debut je le gere come je peux je me force a faire tou se que je peux avec ce que la vie me donne pour linstant je tien le coup et je c avec le temp on i arrive c tre long a guerrir si tu veux regarder (carole advice sur youtube) elle a de tre bon conseil sur le sevrage elle meme sen et sorti a mi des annes en sen sortir bon courage a vous et merci de vos reponse

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ilis
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Inscrit le 13 Jan 2023
1 message
comment allez vous maintenant ? je suis dans ton cas ?

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