Cannabis et transpiration abondante

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Eddy054
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Bonjour à  tous.

Avant toute chose, je tiens à  dire que j'ai remarqué que les usagers de ce forum sont ici pour des problèmes liés à  des drogues "dures". Drogues que je ne consomme pas. Si mon problème lié à  une drogue "douce" n'entre pas dans le cadre de ce forum, je m'en excuse d'avance.

Je suis un fumeur régulier de shit/weed depuis environ 3ans. Depuis septembre 2010 et mon entrée en classe préparatoire, j'ai jugé bon de réduire ma conso au seul joint du soir. Pas de problème jusque là .
Mais devant la quantité de travail, les effets du canna me rendant feignant, peu motivé etc... j'ai décidé de dégager ce joint aussi pour ne fumer plus que le week end, et surtout plus seul.
J'ai pensé que c'était une bonne idée d'arrêter progressivement. C'est à  dire que je m'en fumais un ou deux avant de dormir tous les soirs de la semaine, cette semaine je ne l'ai fait que 2 soirs + samedi, et je compte n'en faire qu'un pour la semaine à  venir.
Je n'ai pas de réel problème pour m'endormir vu que mes journées restent fatiguantes mais je transpire plus qu'abondamment dans la nuit, à  tel point que mon lit est trempé au réveil, ce qui me réveille même certaines nuit. les soirs ou j'ai fumé, pas de problème.
Google m'a appris que ce problème était courant chez les fumeurs, mais je n'ai trouvé aucune réponse apportant des solutions. Voila mes interrogations:
-Existe il un moyen de réduire cette horrible sueur? (à  part dormir sur une serviette)
-Est ce une bonne idée d'arrêter progressivement?
-Est ce que je devrais aussi arrêter le week end avec les potes pour que ca ait un effet?

Mes études sont ma priorité et je voudrais vraiment mettre toutes les chances de mon coté.

Merci d'avance, ça n'a l'air de rien, mais tout ceci me travaille beaucoup.

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filousky
Modérateur
Inscrit le 14 Dec 2008
11530 messages
Bonjour à  toi Eddy,
Au point où tu en es, tu peux arrêter totalement la weed. La transpiration excessive la nuit, je l'ai des fois, mais ne relie pas cela à  la weed. C'est surtout lorsque je dors chez des potes avec une couette. Là , une seule solution, dormir en peignoir de bain avec une serviette en dessous et une au dessus. Avec ces deux précautions, je n'ai jamais été réveillé comme dans un tee shirt trempé avec des frissons. C'était pour le premier point. Pour les points deux et trois, ta réponse est dans ton texte vers la fin. Bonne chance, bon courage et rates pas l'embranchement. Je suis passé d'une consommation excessive à  rien du tout avec juste deux nuits difficiles en haute montagne. Après, plus rien........ pendant quelques années !
Maintenant, je ne connais pas les paramètres qui t'ont amené à  fumer, ni l'ampleur que le problème prend pour toi. Il se peut aussi que ta consommation que tu avoues assez faible te soit bénéfique autant que maléfique, je ne peux le savoir, toi si !
Bien à  toi
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Eddy054
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Inscrit le 10 Jan 2010
6 messages
Merci pour la rapidité de la réponse.
Donc l'absence de réponse sur Google provient sûrement de l'absence de solution.
Je pense que je vais arrêter comme un grand quitte à  tremper mes draps. Il semblerait que le plus dur soit déjà  passé.
Encore merci et bonne continuation.

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reskaper
en route pour le soleil
Inscrit le 27 Apr 2007
3346 messages
Salut eddy
salutation a toi ,
comme je passait dans le coin (pas pour me marrer .., mais pour des choses sérieuses..hem sinon y a d autre forum bien plus drôles ...
alors oui absolument je peux te rèpondre donc ..

j ai arrèter depuis quelques temps de fumer 
j ai donc passé 8 jours a transpirer comme une vache  donc 5 sans quasi dormir ..ou que quelques heure (c était assez éprouvant .

ce qui était bien , c est que j ai fait plein de rêve , ou plutot que je m en souvenais  ..nuance (des cauchemar horrible aussi j en ai fait et  c est moins bien parce que très réaliste dans ces périodes de sevrage )

Tous dépend je pense de l individu et du temps de  consommation , de la fréquence ..ect..
ainsi que de la bonne foi de celui qui a vraiment arrêté.

donc oui j ai transpirer beaucoup dans ces pèriodes ,
dans ce genre de cas un petit truc , utiliser des matelas a ressort qui laisse passer l air en dessous  et le matin au moins c est sec et on transpire moins
de la sauge en infu peut être , mais j ai pas essayer



bonne chance pour tes ètude , je pense que dans ce genre de travail la fumette de rue  n est pas la meilleur pour la mémoire ..
d ou l importance  de pouvoir un jour acheter des produit accompagné d une notice des effet de se qu on achète .. qui diffère beaucoup d une plantation  a l autre ou d une variété d une autre
une èpoque qui un jour peut...?? verra le jour


bien a toi et  bonne chance

une goutte d eau dans un océan..

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Eddy054
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Inscrit le 10 Jan 2010
6 messages
Merci à  toi aussi Reskaper pour ta réponse qui me motive encore un peu plus pour arrêter.

Sinon, le bruit court que la transpiration excessive serait un moyen pour le corps d'éliminer les saletés qu'on a accumulé dans notre corps. A ce compte là , peut être qu'il faut mieux laisser tout sortir? Une sorte de purge purificatrice ?

Merci, en effet pour ces études qui demandent des capacités d'assimilation assez impressionantes c'est vraiment pas le bon plan... D'ailleurs, c'est le sentiment d'avoir du mal à  apprendre qui m'a fait franchir le pas.

Bien à  toi.

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Alain Will
ancien Vice-Président
Inscrit le 14 Oct 2008
9618 messages
Salut Eddy,

Juste bienvenue... je ne saurais pas te répondre ; la seule chose que je peux dire c'est qu'en transpirant, le corps peut éliminer des toxines. Mais ensuite ce qui provoque cette transpiration chez toi, je sais pas... Est-ce lié ou pas à  l'arrêt de l'herbe ? Tu n'es pas "angoissé" ?

Par contre si tu transpires beaucoup, faut pas te déshydrater non plus... Bon courage et succès pour tes études wink

Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.

Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)

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Eddy054
Nouveau membre
Inscrit le 10 Jan 2010
6 messages
Merci vraiment. Ça fait vraiment plaisir de voir qu'il y a des personnes pour écouter et partager.

En effet je suis du genre à  vite me stresser pour des trucs ayant plus ou moins d'importance.
Mais vu que c'est uniquement les soirs sans joints qui provoquent des grosses suées... Je vois difficilement comment ca pourrait ne pas être lié =/
Du coup, je bois des quantités impressionnantes en ce moment!

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reskaper
en route pour le soleil
Inscrit le 27 Apr 2007
3346 messages
je pense aussi que le fait de transpirer est une bonne façon d éliminer les toxines et c est  plutôt bon signe et  surtout que tu bois beaucoup donc du coup tu élimine aussi pluss
et il y a aussi des personne qui transpire plus que d autre ..de la tète souvent  je transpire

un bon truc pour récupérer c est un demi citron dans en peu  eau chaude (accompagné d  en peu d huile d olive si tu la supporte )
a jeun  le matin  tu bois ça ça redonne la pèche et purge l organisme de ces toxines

avantageux  aussi en cas de refroidissement :)


bon courago

une goutte d eau dans un océan..

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Eddy054
Nouveau membre
Inscrit le 10 Jan 2010
6 messages
Heureusement, parallèlement à  cet inconvénient, le matin j'arrive à  me lever sans problèmes. Ce qui était pas le cas il y a encore peu de temps du fait du bédot. (je pense que le fait que mon lit soit inondé m'incite à  en sortir au plus vite aussi)

Le coup du citron me tente bien j'essaye dès demain matin, mais sans huile!

Merci.

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sativa67
Banni
Inscrit le 13 Apr 2007
2474 messages

Eddy054 a écrit

Bonjour à  tous.

Avant toute chose, je tiens à  dire que j'ai remarqué que les usagers de ce forum sont ici pour des problèmes liés à  des drogues "dures". Drogues que je ne consomme pas. Si mon problème lié à  une drogue "douce" n'entre pas dans le cadre de ce forum, je m'en excuse d'avance.

nous ne sommes pas sectaires et une consommation de cannabis peut être "problematique" ..je sais de quoi je parle...

Bienvenu à  toi

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Siam
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Inscrit le 19 Nov 2009
36 messages
Salut Eddy,

Pardon d'avance, mais je n'ai pas de réponse à  t'apporter. Je n'ai fumé ni shit ni herbe (du moins, ça se compte sur les doigts d'une main:je n'aimais pas ça).

Tout ce que ton message m'inspire, c'est que tu sais où sont tes priorités (tes études). Tu devrais donc surmonter tes problèmes sans trop de difficultés. Oui, je sais, ça ne t'est pas d'une grande aide. Une pharmacienne m'a dit que des personnes sous méthadone qui transpiraient trop -c'est un des effets secondaires- prenaient un ttt homéo (Veratrum Album). A vérifier. Consulte ton médecin, d'autres solutions existent.

Ton message a attiré mon attention car contrairement à  toi, je n'ai pas eu le courage de m'accrocher à  mes études alors que j'aurais pu faire une prépa à  l'aise (je ne me vante pas: vu que c'est anonyme qu'est-ce que j'y gagne à  part me bercer d'illusions. Et là , j'ai assez donné, crois-moi). J'ai passé la majeure partie de ma terminale L-en 2000- en psychiatrie, aux urgences ou à  la rue. J'étais ma pire ennemie. Mais, et aujourd'hui encore je ne me l'explique pas, j'ai eu mon bac les doigts dans le nez. Je me rappelle encore l'épreuve d'anglais littéraire où l'examinatrice, sentant que j'improvisais (je sortais de l'h.P Marchand) m'a dit: "écoutez, mademoiselle, votre devoir mériterait 17/20( avec un grand sourire...), mais visiblement vous n'avez pas travaillé. Donc, je vous enlève 2 points pour que vous compreniez que sans travail vous n'arriverez à  rien". C'était à  la fois une bénédiction-pour ma self-estime- et une malédiction- j'ai cru, gamine que j'étais, qu'en ne foutant rien je continuerais à  tout réussir, alors pourquoi faire des efforts?

J'ai 28 ans fin février et même si le plus dur est passé, j'essaie, pathétiquement et, j' en ai peur, VAINEMENT, de reprendre mes études. Oui, je sais, ça pue la déprime en ce début d'année; mais vaut mieux faire chier des inconnus, que tes amis...quoique...

"Je n'ai pas de position. Je n'ai pas de parti, je suis simplement bouleversé car j'appartiens tout entier à  cette violence. Je saurai justifier chacun de mes agissements et justifier l'injustice qui m'habite, je saurai trouver les mots pour dire combien ils m'ôtent toute possibilité de vivre" Wajdi Mouawad, dramaturge

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Eddy054
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Inscrit le 10 Jan 2010
6 messages
Bonjour à  toi Siam,

Première chose, la plus importante je pense, tu ne mais fais surtout pas chier en me faisant partager ton histoire. On a toujours quelque chose à  apprendre les uns des autres. Et si le fait que je t'écoutes et te répondes peux t'apporter quoi que ce soit, alors c'est avec grand plaisir que je le fais.
Rapport à  tes études, je suis dans l'incapacité la plus totale de te dire ce qui est possible pour toi. Sincèrement désolé. Mais le simple fait que tu essaies de t'y remettre est pour moi ce qui est le plus à  l'opposé du pathétique. J'hésitais entre courage et mérite alors je mets les deux.
(Une personne de ma famille reprend à  ce propos une fac, à  plus de 40 ans)
Néanmoins, j'ai peur qu'on ne s'égare vers un hors sujet. Alors, si tu souhaites parler plus ou quoi que ce soit, je peux bien sur te laisser mon e-mail (j'allume le pc quelques fois par semaine).
Je vois que 10 ans après tu n'as pas oublié les mots de ton examinatrice. Souviens toi en toute ta vie, ça pourrait t'épargner bien des maux. (joli non ?) Le travail c'est tout ce qu'on a...

Pour ce qui concerne le problème pour lequel j'ai posté, voilà  donc mon 5ème jour sans shit et ma 4ème nuit sur une serviette. La quantité de transpiration est devenue tolérable depuis hier, et je retrouve un cycle normal de sommeil. Sans parler que je ne commate plus jusque 10h en cours...
Merci à  tous ceux qui ont posté pour me répondre, le moindre mot m'a été d'une aide précieuse!

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reskaper
en route pour le soleil
Inscrit le 27 Apr 2007
3346 messages
Super
J espère que tu as pu tenir le coup ...

avec du recul  je pense aussi que le fait d avoir passé tous ces jours a transpirer peut aussi venir du fait que je n ai pas compensé la fumette par des cigarettes
ça fait 5 ans passé que je fume plus de ces saloperies de clopes, et c est surtout cela qui a été difficile il faut le dire wink

je crois que tous dépend aussi de ce facteur dans le ressentis du sevrage ...car beaucoup de personne crie victoire parce qu ils on arrêté le cannabis , mais ils fument deux paquet par jour de cigarette ==
Et là  ça vaut pas la peine d arrèter la beu j en suis certain
la cigarette est une drogue , comme toute les drogue ..et très addictive car faite pour accrocher

amicalement

absolument sativ il n y a pas de drogue douce, c est le rapport avec le produit qui est déterminant

une goutte d eau dans un océan..

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filousky
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Inscrit le 14 Dec 2008
11530 messages
Merci à  tous, j'en ai appris encore. Il va falloir que je m'achète un stock de serviettes éponges ...............
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Parpaioun
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Inscrit le 03 Nov 2015
5 messages
Bonjour
J'ai 38 ans et je fume depuis 18 ans...cela fait un mois et demi que j'ai arrêté de consommer régulièrement
J'ai commencé à  fumer car mon mec de l'époque dealait et j'avais toujours été tenté de tester...sauf que j'ai apprécié l'effet et me suis retrouvée accro...je fumais dès le réveil, ça ne m'a pas empêché de faire des études, de trouver un bon job et puis en 2004, j'ai arrêté de fumer dès le matin mais me précipitais sur ma boulette dès le retour à  la maison...j'ai eu des petites périodes de sevrage sans jamais vraiment décrocher car tout le monde fumait autour de moi et je ne fumais pas parce que tout simplement je ne trouvais rien (dealer en prison par ex)
J'ai arrêté le shit car trop trafiqué et ça me provoquait des herpès
J'ai consommé longtemps de la weed et puis depuis le printemps dernier galère sur galère pour trouver...de fil en aiguille j'ai réussi à  m'en passer, à  arrêter de m'angoisser que j'allais faire des cauchemars....
Je suis passée de 10 clopes par jour à  un paquet au début puis j'ai tenté de calmer le jeu.
Je me suis retrouvée un soir à  errer dans la rue pour trouver un grat après un nombre incalculable de lapins de pseudo fournisseurs...et là  prise de conscience...j'ai 38 ans et je suis là  prête à  demander à  un ado de me dépanner...je suis rentrée et me suis faite à  l'idée qu'il était temps d'arrêter...
Donc depuis mi septembre, je n'achète plus rien, j'arrête de chercher à  acheter et je fume occasionnellement quand un pétard tourne devant moi (généralement le weekend)
Psychologiquement je le vis bien mais j'ai des bouffées de chaleur incroyables au début la nuit je trempais mon lit...puis au fil des semaines ça me prend dans l'aprem, puis maintenant le matin.
J'ai fait des analyses car je m'inquiétais d'être malade...tout va bien...j'avoue je n'en ai pas parléà  mon doc
beaucoup de mes proches me disent que ça vient de mon sevrage et quand je lis les discussions de ce forum je suis rassurée
Donc voilà  y a t il moyen de stopper ces bouffées de chaleur ? Combien de temps cela va t il encore durer ? Je suis à  la limite de reprendre pour arrêter ces bouffées de chaleur et me dis que ce serait très stupide vu ce que ça m'a coûté depuis le printemps....
Désolée pour la longueur de mon histoire mais il est important je pense de planter le décor....merci pour votre aide

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Mister No
Pussy time
Inscrit le 04 Aug 2014
8406 messages

J'ai arrêté le shit car trop trafiqué et ça me provoquait des herpès - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2019 … =d#p201901

Autant pour la fatigue, je compatis, autant pour l'herpès ou autres, faut pas non plus tout mettre sur le dos du cannabis... quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage.

J'ai fait des analyses car je m'inquiétais d'être malade...tout va bien...j'avoue je n'en ai pas parléà  mon doc - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2019 … =d#p201901

Comment as-tu fait des analyses si ton médecin n'est pas au courant de ce qu'il t'arrive ? thinking
Ensuite, la sudation, je ne l'ai ressentie que durant les premiers jours de sevrage de cannabis... Tu transpires ou c'est uniquement des bouffées de chaleur ?


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Parpaioun
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Inscrit le 03 Nov 2015
5 messages
J'ai dit à  mon doc que j'avais des bouffées de chaleur sans lui préciser l'arrêt de la fumette.
Bouffées de chaleur la journée et transpiration la nuit...je vais essayer de palier avec des huiles essentielles dans un premier temps...voir si ça se calme...
Reprise des cauchemars cette nuit...lit encore trempé....tout ça m'épuise ?

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Mister No
Pussy time
Inscrit le 04 Aug 2014
8406 messages
Tant que tu fais des cauchemars, c'est que tu dors au moins. Je compatis, les mauvais rêves en période de sevrage de cannabis sont les pires, une forme de réalité qui t'éprouve au delà  du moment du réveil. Mais normalement, ça devrait se tasser et surtout, tu vas dégager du temps et de l'énergie pour parvenir à  faire ce que tu voulais.
Bon courage, mais ça devrait se tasser. Maintenant, le mieux serait que tu trouves un médecin pour en discuter, au besoin te rassurer ou te filer un coup de main ponctuel, prévenir un coup de "déprime"... pas rester seul sur ce coup, pasque les forums, c'est mieux que rien... mais tu peux aussi te donner le droit d'en parler.

Dernière modification par Mister No (05 novembre 2015 à  18:32)


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Mascarpone
Vieux clacos corse pas coulant
Inscrit le 19 Sep 2015
4222 messages
Salut,

38 ans.....Certe, c'est peut être un peu jeune...Mais est ce que tu as fait un dosage pour savoir si tu ne serais pas ,déjà , entrée en pré-menopause?

Je dis peut être une connerie, mais tes symptômes m'ont fait penser à  ça.....

Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!

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Mister No
Pussy time
Inscrit le 04 Aug 2014
8406 messages
De mon côté, j'ai pensé aussi à  une cause externe au sevrage ; le chauffage vient juste d'être rallumé et si pas de thermostat ou un chauffage trop fort pas adapté au changement de temps, la nuit peut vite être inconfortable.
A mon avis, la bonne température pour dormir avec une bonne couette ne doit pas être trop élevée. ça coûte pas grand chose de tester la température de la chambre ou de baisser le chauffage la nuit.
D'expérience, c'est agréable d'avoir en dessous de 19 pour dormir... juste un peu gênant pour le moment du lever ou pour aller se doucher. Je dis ça pasque je suis pas très pyjama et que j'aime dormir dans la même tenue que le jour de ma livraison sur cette planète.

Dernière modification par Mister No (06 novembre 2015 à  09:35)


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Parpaioun
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Inscrit le 03 Nov 2015
5 messages
Pas de chauffage dans mon immeuble car il fait trop chaud à  l'extérieur pour que le collectif se déclenche donc entre 14/16 degré dans ma chambre....
Pas de problème de déprime non plus lol tout va bien au contraire je fais beaucoup de choses ?
Le doc a poussé les examens et d'après ce que je lis sur le sevrage canabique, les sueurs froides n'excédent pas une dizaine de jours...
Donc c'est probablement autre chose...
Merci pour vos réponses ?

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Acid Test
PsychoAddict
Inscrit le 28 Sep 2014
2966 messages
Interessant ce que tu racontes là  !
J'ai été jusqu'à  tres récemment un énorme fumeur de cannabis !
J'ai fumé pendant 30 ans et j'en étais arrivé à  fumer jusqu'à  5 g par jour ( et pas de la merde, des marocains testés à  30% de thc par médecin du monde !) , au moins 15 joints/ j et à  cause de problemes de tachycardie et d'extra systoles , ainsi que de problemes à  une oreille qui semblait entre autres liés au cannabis ( je ressentais une pression dans l'oreille qui évoluait négativement avec la fume semble t'il ) ,  j'ai du arrêter ( je bosse dans le son et suis musicien et la musique a toujours été ma priorité par dessus tout le reste !) !
Je précise que je n'ai jamais ressenti de gêne à  quelque niveau que ce soit avec le cannabis ( hormis les problemes cités plus haut advenus depuis quelques temps ) , en ce qui concerne le taff et mes activitées,au contraire, ça me calmait et là  je suis plutot en mode pile électrique !
Je sent que plus je vais arreter la drogue , plus je vaus etre sans pitié avec les connards  prohibitionnistes  !!
Je l'ai fait progressivement sur 4 ou 5 mois et là  ça fait deux ou trois jours que je n'en ai pas fumé et je tournais à  un ou deux joints seulement les derniers jours mais depuis une semaine , je transpire comme un porc nuit et jour ( et cette nuit j'ai fait un reve étrange alors que je ne me souviens jamais de mes reves depuis des années !) !
Je pensais que c'était peut etre du à  mon traitement morphine mais je me demandais justement si ça ne pouvait pas etre lié plutôt à  mon arret du cannabis !
C'est tres désagréable, surtout avec cet autre traitement que je dois gérer  en plus !

Dernière modification par pleasurepulse (08 novembre 2015 à  10:49)

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Parpaioun
Nouveau membre
Inscrit le 03 Nov 2015
5 messages
C'est vrai que c'est super gênant quand ça t'attaque la journée....je me retrouve en sueur devant mes clients...étant une femme, j'ai le droit à  "vous êtes quand même jeune pour la ménopause " et je suis bien d'accord sur ce point...j'attends impatiemment les résultats des nouvelles analyses et mis à  part jouer de l'éventail à  ces moments là  je n'ai pas d'autres solutions pour le moment...on me propose des traitements homéopathiques de ménopausées mais si ce n'est pas la cause je ne vois pas l'intérêt...
Cela fait 10 jours que je n'ai pas fumé un bedo et effectivement je déborde d'énergie....déjà  qu'avant j'en avais beaucoup lol
Je vais reprendre la natation semaine prochaine histoire d'évacuer un peu ?

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Acid Test
PsychoAddict
Inscrit le 28 Sep 2014
2966 messages
Si c'est vraiment du au cannabis, net'en fais pas , ça va passer !
Si ça fait déjà  10 jours, je ne pense pas que va continuer encore tres longtemps ( enfin j'espere et pour moi aussi ! Lol ) !
Je croyais que j'étais en manque de morphine par moments mais en lisant ton post, je me suis souvenu des fois où j'étais en manque de cannabis et ça me faisait la meme chose !

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Mister No
Pussy time
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8406 messages

Je vais reprendre la natation semaine prochaine histoire d'évacuer un peu - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/p2025 … =d#p202594

La natation, c'est très couchlock, très indica... surtout la descente. ça active aussi fortement l'appétit. Toute ressemblance avec les effets d'une plante n'est probablement pas fortuite.

A runner’s high depends on cannabinoid receptors in mice
Johannes Fussa,b,1,2, Jörg Steinlea,1, Laura Bindilac, Matthias K. Auerd, Hartmut Kirchherre, Beat Lutzc, and Peter Gassa
Author Affiliations

Edited by Leslie Lars Iversen, University of Oxford, Oxford, United Kingdom, and approved September 4, 2015 (received for review July 29, 2015)

AbstractFull TextAuthors & InfoFiguresSIMetricsRelated ContentPDFPDF + SI
Significance

A runner’s high is a subjective sense of well-being some humans experience after prolonged exercise. For decades, it was hypothesized that exercise-induced endorphin release is solely responsible for a runner’s high, but recent evidence has suggested that endocannabinoids also may play a role. Here, we demonstrate that wheel running increases endocannabinoids and reduces both anxiety and sensation of pain in mice. Ablation of cannabinoid receptor 1 receptors on GABAergic neurons inhibits running-induced anxiolysis, and pharmacological blockage of central and peripheral cannabinoid receptors inhibits analgesia. We thus show for the first time to our knowledge that cannabinoid receptors are crucial for main aspects of a runner’s high.

Abstract
Exercise is rewarding, and long-distance runners have described a runner’s high as a sudden pleasant feeling of euphoria, anxiolysis, sedation, and analgesia. A popular belief has been that endogenous endorphins mediate these beneficial effects. However, running exercise increases blood levels of both β-endorphin (an opioid) and anandamide (an endocannabinoid). Using a combination of pharmacologic, molecular genetic, and behavioral studies in mice, we demonstrate that cannabinoid receptors mediate acute anxiolysis and analgesia after running. We show that anxiolysis depends on intact cannabinoid receptor 1 (CB1) receptors on forebrain GABAergic neurons and pain reduction on activation of peripheral CB1 and CB2 receptors. We thus demonstrate that the endocannabinoid system is crucial for two main aspects of a runner's high. Sedation, in contrast, was not influenced by cannabinoid or opioid receptor blockage, and euphoria cannot be studied in mouse models.

endocannabinoid running exercise anxiety anandamide

http://www.pnas.org/content/112/42/13105.abstract

COURIR PROCURE LES MÊMES EFFETS QUE LE CANNABIS, AFFIRME UNE ÉTUDE

anandamide, cannabis, course, endocannabinoïde, endorphine, euphorie du coureur, marijuana, récompense, sourispublié le 25/10/2015
 
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Tous drogués ? (Ph. Elvert Barnes Via Flickr CC BY 2.0)
Tous drogués ? (Ph. Elvert Barnes Via Flickr CC BY 2.0)
S’entraîner à  la course est bien meilleur que consommer du cannabis. Mais il n’empêche que les deux activités auraient beaucoup en commun, selon une nouvelle étude effectuée chez les souris – dont on sait par ailleurs qu’elles constituent un modèle très proche de celui des humains.

Si l’on savait depuis longtemps que faire du sport déclenche les endorphines, en particulier la course de fond, les chercheurs montrent que finalement ces endorphines ne participent pas (ou peu) à  l'”ivresse du coureur” : ce sont les endocannabinoïdes qui lui procurent ce sentiment de bien-être.

EUPHORIE DU COUREUR ET CANNABIS

Ceux qui pratiquent la course – mais cela vaut sûrement pour les autres sports d’endurance – connaissent cet effet “second souffle” où tout à  coup les douleurs et lourdeurs physiques s’estompent et où l’esprit connaît un moment de plénitude et d’euphorie.

L’effet, qui peut intervenir durant l’effort où après son arrêt, est notamment lié à  l’invasion du cerveau par des substances qu’il sécrète. Et jusque-là  l’on évoquait le rôle des “endorphines” dans ce processus, soit la production au niveau cérébral de molécules opioïdes, les mêmes que celles de l’opium.

Mais la nouvelle étude bat en brèche cette affirmation pour démontrer que l’effet est plutôt du type cannabis, du moins chez la souris : la course déclencherait la production des mêmes neurotransmetteurs qui apparaissent lorsqu’on fume de la marijuana, en particulier un “endocannabinoïde” nommé anandamide (contraction de “ananda”, signifiant béatitude en sanskrit, et “amide”, signalant la forme moléculaire de la substance).

DES SOURIS COUREUSES

Pour démontrer cela, les chercheurs ont entrainé à  la course 234 souris mâles et les ont testé pendant plusieurs semaines, à  raison de 10 à  12 souris par jour en moyenne, pour une série de tests (chacun répété plusieurs fois avec différents groupes de souris).

La première expérience, avec 32 souris, visait à  tester leur comportement : les 3 premiers jours, toutes les souris ont été enfermées dans une cage avec une roue tournante afin de les familiariser avec l’exercice. Laissées libres de leurs choix, elles ont en moyenne couru 5,4 km/jour.

Puis les chercheurs ont bloqué les roues pendant 2 jours, pour les faire récupérer, et ont scindé le groupe en deux : le 6e jour, seules 16 souris ont pu bénéficier d’un déblocage de la roue pendant 5 heures – et elles s’y sont données à  cœur joie. Les autres n’ont pas pu courir.

LE TEST DE LA BOITE SOMBRE-LUMINEUSE

C’est alors que les chercheurs ont soumis l’ensemble à  deux tests dont on sait qu’ils permettent d’évaluer chez la souris l’anxiété (ou stress) et la douleur ressentie : l’expérience de la boite sombre-brillante et celle de la plaque chauffante.

La première est un montage où deux boites, l’une obscure l’autre exposée à  la lumière, communiquent par une ouverture. Il a été démontré qu’une souris placée dans un tel environnement inhabituel tend naturellement à  se réfugier dans l’obscurité : ses incursions du coté lumineux sont d’autant plus nombreuses que son niveau d’anxiété est élevé. Or les souris joggeuses ont par ce biais montré que leur anxiété était moindre.

LE TEST SUR PLAQUE CHAUFFANTE

Le deuxième test, celui de la plaque chauffante (à  53 °C), mesure la sensibilité à  la douleur : et encore une fois, les souris sportives réagissaient moins violemment (temps de latence entre l’immobilité et les mouvement réactifs) que les autres.

Ces tests ont été répétés ensuite mais cette fois en mesurant les taux d’endocannabinoïdes et d’endorphines dans le sang des souris. Puis avec des inhibiteurs de ces substances. Puis enfin (pour confirmer les résultats) avec des souris modifiées génétiquement afin de ne pas produire d’endocannabinoïdes.

METTRE EN LUMIÈRE LE RÔLE DU SYSTÈME ENDOCANNABINOàDE

Dans chaque test, les chercheurs ont constaté que le taux d’endorphines dans le sang n’influe pas sur l’anxiété ni la sensibilité à  la douleur, ce qu’ils expliquent par le fait que ces molécules sécrétées dans le sang ne peuvent traverser la barrière encéphalique et donc atteindre le cerveau.

En revanche, ils ont montré qu’il y a un lien fort entre le taux de molécules du système endocannabinoïde, qui passent la barrière, et le comportement moins anxieux et sensible à  la douleur des souris coureuses.

L’étude a ainsi permis de relativiser l’effet des endorphines et, au contraire, mettre en avant l’importance du système endocannabinoïde dans les effets ressentis par les joggeurs – et, supposent-ils, pour tout un ensemble de sports d’endurance. Mais bien sûr cela ne signifie pas qu’il faut compenser le manque de course par du cannabis (l’inverse étant .

Romà¡n Ikonicoff

http://www.science-et-vie.com/2015/10/c … une-etude/

Dernière modification par Mister No (09 novembre 2015 à  09:20)


Just say no prohibition !

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Parpaioun
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Inscrit le 03 Nov 2015
5 messages
Je n'aime pas courir et je me suis blessée au genou donc privé de roller lol et piscine c'est bien pour le genou et le reste
Hier j'ai craqué, on m'a proposé à  fumer donc j'ai fumé...trop tentant. ..j'ai fait un bon bad...plus l'habitude...tellement mal que j'ai dormi chez ma pote, je me sentais pas de rentrer chez moi

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