Salut woodyx,
Je n'ai pas vraiment de réponse à ta question mais:
Ton souci fait partie des choses qui m'exaspèrent.
On veut s'en sortir, se re sociabiliser souvent, et ben non, on nous en rajoute une couche, et pas anodine ni sans conséquences…ça me flingue!
Perso, récemment sous métha (avant sub), je profite d'une période de chômage pour initialiser ce traitement, ce qui aurait été impossible si je travaillais:
Les centres assurent que le traitement métha doit se faire sous surveillance quotidienne pour gérer et juger de la dose de "confort" nécessaire au bon fonctionnement de la
substitution.
A ce niveau et à la limite, on peut dire ok.
Mais au 1er jour de traitement où j'avale mes fioles (2 fois 20) devant le médecin, il m'annonce qu'il part en vacances, et qu'il faudra que je passe tous les matins pendant 15 jours, en fait jusqu'à son retour (attention j'interdis pas les vacances…!!!-),
1. Déjà , pour moi c'est régresser, revenir à des habitudes obligatoires pour être bien du genre aller chercher sa
came tous les matins sinon je suis mal. Donc médecin=dealer
2. Mdr car après coup c'est une infirmière (adorable certe), qui me donne mon traitement chaque jour, mais qui n'a aucun moyen de mieux le doser car le médecin n'est pas là …
3. Dans ce cas pourquoi pas une prescription jusqu'à ce qu'il revienne????
Alors, c'est le bordel…Exemple; au début, je pensais peut être trop dosée car je pétais la forme jusqu'à ne pas dormir. Mais réveils constants ou manque à 3h du mat, donc pas assez dosée.
Résultat: symptômes de manque et personne pour modifier la prescription initiale donc souffrances jusqu'à ce que ce gentil monsieur revienne!
Désolée, me suis lâchée…
Et te concernant, tu peux peut être faire autrement, comme en témoigne bighorsse, car pas comme elle mais d'une autre manière, il y a quelques années un centre m'a prescrit la métha directement car je bossais. C'est le trait d'union à Boulogne.
Maintenant, je sais pas par contre s'ils ont changé de politique ou pas.
Bon courage!!